Nom Date de fond. Logo | Signature Ville Adresses Quantité de pianos Commentaires Médailles             AUTIÉRO Joseph | ANTIERO (1858 - 1919)(²) Facture de 1896   1875   VOIR AUSSI ... ... autres avec le nom : AUTIERO F. (°1924) à Nyons et Gaetan AUTIERO (°1876) à Lyon sur cette page et un autre à Avignon     Avignon 3, rue Saunerie (*1893)(*1895)(*1896)  30, rue des Marchands (F1896)(*1897)(*1898)(*1903)(*1905) 20, rue de la République (*1909) rue des Marchands (x1906) 5, rue des Marchands (*1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)(**1921)(*1927)(*1929) 4, rue des Marchands (x1926)    'Luthier' et facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1893-1929 [depuis 1867 (*1929)] AUTIÉRO Frères (*1893)(*1895)(*1896) AUTIÉRO Jh. (F1896) AUTIÉRO Joseph (*1905)(x1906) 'Geigenbauer u. Musikinstr.-Händler' (x1906) ------- 'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Phonographen-Handlung' (x1912) ANTIERO Joseph & Fils (*1913) AUTIÉRO Victor Fils, fils et successeur (**1921)(x1926)(*1929) AUTIÉRO Victor est né en 1887 (²). Probablement seulement luthier. 'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Sprechm.-Handlung' (x1926)   LEPLAT 1875   "Pianos et orgues, payables en 36 mois (3 ans) au Ménestrel, maison Leplat, 1, avenue Victor Hugo (en face l'hôtel de la Croix-d'or) - Vente de Pianos et Harmoniums de tous facteurs, payables en 36 mois, au comptant 20 % de remise. Pleyel, Erard, Mangeot, Gaveau, Soufletto [sic], Bord, Kriegelstein, etc. En un mot tous les Facteurs français et étrangers. - tous les pianos sont garantis 20 ans. - 75 pianos en vente - Ateliers de réparations - Un accordeur est toujours à la disposition du public." Journal d'Annonay, 05/06/1886, p. 4 "Pianos Leplat, (Médailles aux Expositions) Au Ménestrel, rue de la Gare, 13, Valence. La maison Leplat se recommande d'elle-même par la bonne renommée de sa nombreuse clientèle et les soins particuliers qu'elle apporte aux choix de ses instruments qui sont garantis sur facture. Grand choix de Pianos Erard, Pleyel, Herz, Gaveau, Bord, Aucher, depuis 650 fr. Pianos d'occasion (affaires exceptionelles) depuis 300 fr. - Accords, Réparations, Location, Echange (Facilités de paiements).  -  AVIS. - La maison Leplat informe le public qu'elle vient de s'attacher Deux nouveaux accordeurs-réparateurs ex-contre-maitres des célèbres maisons Erard et Pleyel, ainsi qu'un spécialiste pour les réparations d'orgues, harmoniums et toute la lutherie. Toutes les réparations de pianos ou autres instruments sont garanties." La Croix de la Drome, 26/08/1894, p. 4 "LEPLAT, I., 13, avenue Félix-Faure. Pianos de toutes marques, location, accords et réparations. Instruments à cordes et à vent. Abonnement à la lecture musicale, succursale à Romans." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1903, p. 717 (gallica.bnf.fr)   Valence Romans Avignon   MAISON PRINCIPALE : 1, avenue Victor Hugo (en face l'hôtel de la Croix-d'or)(***1886) 13, rue de la Gare (xx1890)(*1894)(*1895)(*1897)(*1898)(x1906) 13, avenue Félix Fauré (*1903)(***1904)(*1905)(*1906) 12, avenue Félix-Fauré (*1907)(*1909) 12, rue de la Gare (x1912) 12, avenue de la Gare (*1913) à Valence SUCCURSALE :  à Romans (x1906) SUCCURSALE :  rue de la Republique (?), Avignon   Facteur et/ou marchand de pianos droits et éditeur de musique ca. 1886-1913; (x1906) LEPLAT (xx1890), 'Musikal.-, Piano- u. Harmonium-Handlung' à Valence LEPLAT I. (*1893) LEPLAT E. (?) LEPLAT A. (*1895)(*1897)(*1898)(x1906) LEPLAT I. [ou J.] (*1903)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(x1912) à Valence 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Händler u. -Reparateur' (x1906) ------- 'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' (x1912) Repris par FAURÉ Félix (*1913) Romans 'Musikal.-, Piano- u. Harmonium-Hdlg.' (x1906) - à Romans TÊTE D'UNE FACTURE Facture de 1893     METZNER Camille Théophile (1836 - 1884)(⁸)   METZNER sur l'Exposition de Reims, 1876 Nancy-Artiste 28/02/1884, p. 48 (kiosque-lorrain.fr)   Bulletin de Société Artistique de l'Est, 01/1902, p. 219 (gallica.bnf.fr) Le cri de Nancy, 20/03/1909, p. 22 (kiosque.limedia.fr) 1875   TITRE 'Editeur et fournisseur du conservatoire de Nancy' (*1909) METZNER sur ce site BIOGRAPHIE NÉCROLOGIE 1884 - "Nancy-Artiste vient d'être frappé dans la personne de son fondateur et directeur, M. Camille Metzner, décédé le 25 mars. M. Metzner était élève du Conservatoire de Leipzig, où il avait été le condisciple de M. Hans Richter. Depuis une dizaine d'années il avait abandonné la pratique de l'art qu'il aimait avec passion." Le Ménestrel, 13/04/1884, p. 160 (gallica.bnf.fr) "Nous recommandons aux sociétés chorales, le chœur, le CHANT DU SAPEUR-POMPIER, de METZNER. En vente chez l'auteur, à Nancy. Du même auteur, et à la même adresse: un 0 SALUTARIS, pour ténor ou mezzo-soprano." Le Progrès musical. Journal artistique et littéraire, 01/01/1868, p. 3 (gallica.bnf.fr) "A partir du 15 octobre 1876 - La Maison C. METZNER, 7, RUE DE LA POISSONNERIE, OUVRIRA UNE SUCCURSALE - Rue des Dominicains, 17, à Nancy. - Musique, Pianos, Harmoniums, instruments de bois et dé enivre, ACCORDS & RÉPARATIONS." L'Espérance : courrier de Nancy, 13/10/1876, p. 4 (kiosque.limedia.fr) "FABRIQUE DE PIANOS - HARMONIUMS - Instruments de bois et de cuivre - MUSIQUE - 7, rue de la Poissonnerie. 7 (Ne pas confondre avec le n° 19) NANCY TARIF DES PIANOS C. METZNER N° 1. Cordes droites. 850 f N° 2. id. 950 N° 3. Cordes obliques. 1,050 N° 4 id. 1,200 Dépôts des Pianos des Maisons ERARD, PLEYEL, HERZ, GAVEAU, ELHÉ [ELCKÉ], BORD, etc. rendus franco et aux mêmes prix qu’en fabrique. Location de PIANOS et d’HARMONIUMS permettant de devenir le propriétaire d’un instrument loué. Conditions spéciales. - GRANDE LOCATION DE PIANOS ET D’HARMONIUMS. - Envoi franco au dehors. - VENTE ET ABONNEMENTS DE MUSIQUE - Abonnements pour le dehors depuis 12 francs par an. RÉPARATIONS EN TOUS GENRES DE PIANOS accordeurs de la Maison font des tournées régulières au dehors " Annuaire administratif, statistique, judiciaire, agricole, commercial et industriel du département des Vosges année 1879, p. 353 (kiosque.limedia.fr) "NANCY, rue de la Poissonnerie, 7. - PIANOS PLEYEL - (Forte remise) - Chez C. METZNER." L'Espérance : courrier de Nancy, 18/09/1880, p. 4 (kiosque.limedia.fr) PUB Publicité dans Vosges Annuaire général de Léon Louis année 1882, p. 288(kiosque.limedia.fr) Publicité DUPONT-METZNER 04/12/1925 (kiosque.limedia.fr)   Nancy Saint-Dié Verdun Remiremont Longwy MAISON PRINCIPALE : 34, rue Malzéville (*1871-73) Succursale : 17, rue des Dominicains (y1876) [7], rue de la Poissonnerie (y1875)(y1879)(y1880)(y1882)(avant 1884) 7, rue Gambetta (*1884)(*1893)(*1894)(*1895)(*1896)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909) (x1912)(*1913)(**1921)(**1922) à Nancy SUCCURSALE : 11, quai du Parc (*1903)(*1905)(x1906)(*1907)(*1909)[chez LAUG] à Saint-Dié SUCCURSALE : 6, rue de l'Hôtel-de-Ville (chez WINANDY Pierre - 1912)(x1912)(*1913) à Verdun SUCCURSALE : à Remiremont (x1906) SUCCURSALE : 33, rue de Metz (1909) à Longwy   Facteur et/ou marchand de pianos droits et éditeur de musique ca. 1871-1922 [depuis 1873 (*1913)(**1921)(**1922) ou depuis 1871 (carte publicitaire)] Nancy METZNER E. (y1879), 'Fabrique de pianos' METZNER C. (y1876)(*1884) 1876 - "M. C. Metzner, fabricant de pianos de Nancy, vient d’obtenir, à la suite du concours à l’exposition de Reims, une mention honorable. La mention porte : Grande égalité de son dans toutes les parties de l’instrument. Le jury n’a pas cru devoir distribuer pour cette industrie d’autres récompenses que des mentions honorables. Il y avait cinq exposants." L'Espérance : courrier de Nancy, 29/06/1876, p. 3 (kiosque.limedia.fr) METZNER C. & DUPONT Vve. (1886) 1886 - "Nancy. — Formation de la Société en nom collectif veuve METZNER-DUPONT (musique et pianos). — Durée : 10 ans." Archives commerciales de la France, 12/05/1886, p. 589 (gallica.bnf.fr) METZNER & DUPONT (xx1890), 'Musikal.- u. Instrr.-Handlung' à Nancy METZNER Vve. (*1893)(*1894)(*1895) METZNER Vve. & DUPONT (*1896)(*1897) DUPONT-METZNER [Auguste] (*1889)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)(**1921)(**1922) 'Musikal.-, Piano- u. Instrumenten-Handlung u. -Reparatur-Werkstatt' (x1906) ------- 'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung' (x1912) ------- 'Musique Ab.-Pianos-Instruments-Phonos-Editeur' (**1921) à Nancy St. Dié 'Musikal.- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906) à St. Dié Verdun 'Musikal.-, Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Händler u. -Stimmer' (x1912) à Verdun "Après sa formation de pianiste au conservatoire de Dresden, Camille METZNER revient à Nancy en 1855 où il était né le 6 octobre 1836, fils d’une famille d’émigrés allemands de Saxe installe à Nancy depuis le début du siècle. Pendant près de vingt ans, il est professeur de piano et détient, autour de 1870, un dépôt de pianos destinés apparemment à la location. En 1875, il reprend le magasin de pianos et de musique ouvert par Jean Baptiste FRANTZ de Metz. Peu après, et bien que non formé à la facture de pianos, il commence à vendre des pianos sous la marque « METZNER », instruments achetés chez un autre fabricant auxquels il apposait sa plaque d’adresse. Décédé prématurément le 28 mars 1884, son magasin a été continué par son épouse qui propose encore pendant quelques temps des pianos « METZNER ». A partir de 1889, elle est associée à Auguste Louis Emile Dupont sous la raison « Vve C. METZNER – DUPONT » suite au mariage de celui-ci avec la fille Lucie Virginie de Céline METZNER le 19.9.1889. La maison constituera l’un des principaux magasins de musique de Nancy et se spécialisera également dans l’édition de musique. Pendant quelques années, la maison avait des succursales à Saint-Dié et à Verdun." (⁸) Les facteurs de pianos à Nancy, J. M. Stussi  VOIR AUSSI ... METZNER à Angers, et voyez içi, les autres avec le nom DUPONT -   Voir FRANTZ (°1878) à Metz en bas sur cette page. DUPONT-METZNER Auguste (site) INFO EXTRA Les facteurs de pianos à Nancy, par J. M. Stussi    Mention honorable Reims, 1876 | 1e prix Sydney, 1880 | Médaille de bronze Melbourne, 1880 | Hors concours Nancy, 1909 PERACCHIO Angelo Jean Louis | PARACCHIO (1854 - ?) Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1909, p. 764 (gallica.bnf.fr) 1875 BIO "PERACCHIO (Angelo) né à Turin (Italie) le 9 août 1854; naturalisé depuis 1888. Violoncelle-solo au théâtre de Saint-Etienne. Professeur de musique au conservatoire de Saint-Etienne." Loire : dictionnaire, annuaire et album, 1899, p. 443 (gallica.bnf.fr) TÊTE D'UNE FACTURE Facture de 1906 Saint-Etienne 35, rue Gambetta (xx1890) 351, rue Gambetta (*1891) 35, rue Saint-Louis (*1895)(*1896)(*1897)(*1898) 4, place Hotel de Ville (*1903)(*1905)(*1906)(*1907) 6, place Hotel de Ville (x1906) 9, Passage de Sainte Cathérine (*1900)(F1906) 5, rue de la Paix (*1909)(x1912)(*1913)(**1921)(*1929) 5, rue Aristide Briand (*1952)   Facteur et/ou marchand de pianos droits et d'orgues ca. 1890-1952 'Musikal.- u. Instr.-Handlung' (xx1890) 1891 - "1015° PERACCHIO (Paul-François-Félix), né le 27 février 1885 à Saint-Étienne (Loire), y demeurant, 351, rue Gambetta [père né le 9 août 1854 à Turin (Italie)]. Déclaration souscrite le 27 octobre 1891, en vertu des articles 9, § 2, et 8, § 4, du Code civil, devant le juge de paix du canton Sud-Est de Saint-Etienne." Bulletin officiel du Ministère de la Justice, 01/1891, p. 640 (gallica.bnf.fr) 1891 - "1016° PERRACCHIO (Louis-Jacques), né le 23 septembre 1888 à Saint-Étienne (Loire), y demeurant, 351, rue Gambetta [père né le 9 août 1854 à Turin (Italie)]. Déclaration souscrite le 27 octobre 1891, en vertu des articles 9, § 2, et 8, § 4, du Code civil, devant le juge de paix du canton Sud-Est de Saint-Etienne." Bulletin officiel du Ministère de la Justice, 01/1891, p. 640 (gallica.bnf.fr) 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung u. Reparatur-Werkstatt' (x1906) ------- 'Musikal.-, Piano-, Harmonium-, Musikinstr. u. Saiten-Handlung' (x1912) PERACCHIO A. Vve. & Fils (**1921) PERACCHIO Frères (*1929)     PUJOL Jules | QUJOL 1875   "Pujol ( J.), facteur et accordeur, de pianos vente et location, accord, échange, pianos neufs et d'occasion, boul. Voltaire, 160." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1877, p. 1346 (gallica.bnf.fr)   Paris   160, boulevard Voltaire (*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(xx1890)(arr.11) 134, Boulevard Voltaire (**1883)(**1884)(**1888)(*1893)(*1897)(z1900)(z1902)(x1906)(*1909)(*1910)(x1912)(*1913)(arr.11) 3, rue de Mare (**1904)(**1911)(**1912)(arr.20)   Facteur et/ou marchand de pianos droits et accordeur de pianos ca. 1875-1912 'Pianohandlung' - 'Auch Musik' (xx1890)(x1906)(x1912) PUJOL Alfred (**1904), 'Accordeur de pianos' Repris par OBRY Jules (*1913) Les murailles politiques françaises: La guerre-La Commune. Paris-Provine, 1874, p. 998 VOIR AUSSI ... PUJOL à Paris, et un Pierre Joseph PUJOL comme associé de Gabriel PLEYEL (°1827), et deux PUJOL à Barcelona, Espagne   AUTIÉRO Gaetano Facture de 1927 1876   "MAISON DE CONFIANCE FONDEE EN 1876 - GAËTAN AUTIÉRO - Luthier - Fournisseur de l'Armée et du Conservatoire - 18, Rue de la République, - Avignon Grand choix de Pianos et Harmoniums neufs et d'occasion de tous facteurs. Accord. Réparations. Échange. Location. Abonnement à la lecture musicale. Fournitures complètes pour Musiques, Solfèges, Méthodes. etc. - ACCESSOIRES POUR BILLARDS Grands Magasins d'instruments de Musique en tous genres et de meilleurs facteurs de Paris. Dépositaire des Cylindres et Disques PATHÉ. - Ne Pas Confondre." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1909, p. 1012 (gallica.bnf.fr) VOIR AUSSI ... ... autres avec le nom : AUTIERO F. (°1924) à Nyons et Joseph AUTIERO (°1875) sur cette page, à Lyon et un autre à Avignon     Avignon 28, rue des Marchands (*1897)(*1905)(x1906) 30, rue des Marchands (F1896)(*1903) 18, rue de la République (*1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)(**1920)(**1921)(x1926)(F1927) 6, rue Mignard (??)   Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1876-1927 [depuis 1874 (x1926)] AUTIÉRO Frères (*1893)(*1895)(*1896) AUTIÉRO Gaetan (x1906)(x1912)(*1913) 'Musikal.- u. Piano-Handlung' (x1906) ------- 'Händler mit Pianos, Musikinstr. u. Phonographen' (x1912) AUTIÉRO F. Jean, succ. (ca. 1920) AUTIERO F. J. fils (**1920)(**1921)(*1922) MONTAGARD A., successeur (x1926)(F1927) 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1926) AUTIERO Jean, successeur de Gaetan AUTIERO & MONTAGARD (F1927)     COSTIL Edouard           1876   "CAMBRIOLEURS SURPRIS FAUBOURG SAINT-HONORE - Le gardien de la paix de planton devant le poste de potice du quartier du Roule était très intrigué, la nuit dernière, de constater que les sous-sols des magasins de M. Costil, facteur de pianos, 221, faubourg Saint-Honoré, étaient éclairés. Il s'approcha et vit alors qu'un des barreaux de ter du soupirail s'ouvrant sur le trottoir était deacellé. Accompagné de trois de ses collègues. l'agent pénetra chez M. Costil. Deux individus y furent trouvés et appréhendés. Les deux cambrioleurs André Meillan, âgé de dix-huit ans, électricien, 3, boulevard Exelmans, et Emile Legusdecoq, vingt ans, charcutier, rue du Buis, à Levallois-Perret s'étaient glissés dans les magasins en passant par les sous-sols. Une fois dans la place, ils n'avaient pas perdu leur temps un coffre-fort éventré et un secrétaire fracturé témoignaient, en effet, de leur activité lis avaient pris dans ces deux meubles nné somme de 1.715 francs. C'est Meillan qui avait organisé l'expédition. L'électricien avait été, pendant quelque mois, au service de M. Costil en qualité de chasseur. Il fut renvoyé l'année dernière il la suite de certaines indélicatesses qu'il avait commises Connaissant parfaitement les magasins de son ancien patron, il avait pu facilement convaincre son camarade que rien n'était plus aisé et moins dangereux que ce cambriolage. On voit qu'il s'était trompé." Le Petit Parisien, 07/05/1909, p. 2 (gallica.bnf.fr)  - "La nuit dernière, vers trois heures, le gardien du square du Roule entendant au bruit dans les magasins de M. Costil, fabricant de pianos, courait chercher deux gardiens de la paix, et surprit, avec eux, deux cambrioleurs, qui cherchaient à fracturer le coffre-fort de M. Costil. Ces deux malfaiteurs avaient déjà dérobé dans différents tiroirs de bureaux une somme de 1,800 francs." Le Figaro, 07/05/1909, p. 4 (gallica.bnf.fr) "COSTIL ; maison spéciale pour l'achat et la vente des pianos d'occasion, pianos droits et à queue D'ERARD, PLEYEL, HERZ ; pianos droits depuis 300 fr. location depuis -12 fr. par mois, échange, réparations, commission, exportation, pianos neufs, facture supérieure 36 mois de crédit, tous les piano sortant de la maison sont garantis, rue St-Honoré, 348." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1880, p. 1589 (gallica.bnf.fr) "COSTIL, RUE DE RICHELIEU, 95. SUCCURSALES : Faub.-St-Honoré, 221, avenue de Messine, 2, rue de Clichy, 37. MAISON spéciale pour la VENTE et LOCATION, de pianos de tous facteurs, VENTE par ABONNEMENT depuis 25 francs par mois. — Choix exceptionnel de pianos d'occasion, droits et à queue: ERARD, PLEYEL, HERZ, etc., aux conditions les plus avantageuses. PIANOS d'étude depuis 300 francs. — Harmoniums D'ALEXANDRE et ani. es. Tous les instruments fournis par la maison sont GARANTIS. ACHAT de tous pianos d'occasion, accords, échange. réparations, spécialité de CLAVECINS ANCIENS." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1898, p. 2146 (gallica.bnf.fr)   Paris 348, rue Saint-Honoré (**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(arr.1) adresse principale : 95, rue de Richelieu (**1886)(**1888)(y1889)(x1890)(xx1890)(xx1894)(*1896)(*1897)(**1898)(z1900)(*1902)(z1902)(*1903)(*1904)(x1906)(**1907)(*1909)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(**1913)(arr.2) 266, rue du faubourg Saint Honoré (*1913)(arr.8) 46, rue Tocqueville (avant 1931)(arr.17) 2, rue Amboise (z1900)(z1902)(arr.2) 1, rue de Berlin (z1900)(z1902) [maintenant rue de Liège](arr.9) Succursale : 221, rue du faubourg St-Honoré (y1889)(xx1890)(*1893)(**1898)(z1900)(*1902)(z1902)(*1903)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(x1922)(z1931)(arr.8) SUCCURSALE : 2, Avenue de Messine (y1889)(x1890)(xx1890)(*1893)(*1895)(**1898)(z1900)(*1902)(z1902)(*1903)(x1906)(*1909)(*1910)(arr.8)(voir THOMAS A.) SUCCURSALE : 37, rue de Clichy (*1897)(**1898)(z1900)(*1902)(z1902)(*1903)(x1906)(*1909)(arr.9) 76, rue de Passy (z1900)(z1902)(arr.16)   Facteur et/ou marchand de pianos droits et éditeur ca. 1877-1934 'Pianohandlung' (xx1890) COSTIL (z1900) COSTIL Edouard & Edgard, son fils (**1905) COSTIL E. Père (yy1914), 'Occasions : Erard, Pleyel, etc. - Achat - Echange - Vente - Location' Edgard COSTIL "COSTIL (Edgard), éditeur de musique. M. Edgard Costil est le plus jeune des éditeurs de musique. Non seulement il tient, vis-a-vis de ses confrères, le « record de l'âge », mais aussi celui de l'activité et de l'esprit d'organisation. Merveilleusement doué pour l'administration, devint, à peine sorti du régiment, le collaborateur de son père, facteur de pianos distingue et réputé, qui avait déjà crée, qui est propriétaire de trois maisons de Vente, Location et Echange de pianos; magasins merveilleusement agencés (bondés de pianos de tous les facteurs) et qui sont situés, l'un au n° 95, rue de Richelieu, l'autre, n° 37 rue de Clichy, et enfin le 3me, n° 2, avenue de Messine. M. Edgard Costil, attiré vers la musique, font en continuant son concours aux trois maisons de son père, a fondé au n° 2̃21, rue du Faubourg -St-Honoré (square du Roule) une quatrième maison ou il exploite non seulement le commerce de musique (vente et abonnement, les pianos (vente, location et échange), mais encore l'édition de musique. Ses magasins, vastes et spacieux, sont aménagés dans le « modern-style » que comporte et exige l'élégante clientèle du quartier de l'Etoile en plus d'un énorme assortiment de musique, on trouve dans cette maison un abonnement des plus complets et des employés affables et intelligents. M. Edgard Costil s'est spécialisé dans l'édition de musique pour orchestre qu'il publie avec un luxe inconnu jusqu'à ce jour; il a su réunir une collection qui renferme les meilleures leuvres des excellents compositeurs Landry, Weiller, Thuillier, Courras, Flaminio, Leo Pouget, Melé, Dequin, etc., etc.  Musicien, compositeur lui-même, le très sympathique Edgard Costil publie, sous le pseudonyme de "de Tilsco" de charmantes et délicates compositions qui sont dans les répertoires et obtiennent le plus franc succès, entre autres: au pays blue, valse; Tentation, valse; Nuit de juin, valse, qui ont été tirées chacune, en premier tirage, à 5,000 exemplaires." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1903, p. 594-595 (gallica.bnf.fr) COSTIL Fils, 221, rue du faubourg St-Honoré (1893-1931); (**1907) 1907 - "Séparations de biens - Paris. — COSTIL (Edgard), pianos et musique, 221, faub. St-Honoré et sa femme née WILLARD - 17 juin 1907 - A. P." Archives commerciales de la France, 28/08/1907, p. 1087 (gallica.bnf.fr) COSTIL Père (**1912)(x1912)(**1913), 'Facteur de pianos' et 'éditeur de musique' 'Piano- u. Harmonium-Handlung' - 'Auch Musikal.' (x1912) Repris par MAQUAÏRE H. après 1912 ? 1931 - "PARIS. — Modification. — Société dite PIANOS COSTIL, 46, Tocqueville. — Transfert du siège, 221, fg St-Honoré. — 20 oct. 1931. — G. P." Archives commerciales de la France, 16/11/1931, p. 5200 (gallica.bnf.fr) 1934 - "PARIS - modification - Soc. Pianos COSTIL, 221, rue du Faubourg-St-Honoré. — Cession de parts. — G. P." Archives commerciales de la France, 18/06/1934, p. 3050 (gallica.bnf.fr) Repris par LEGUERINAIS (°1856) PUB Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers : Firmin Didot et Bottin réunis, 1889, p. 1829 (gallica.bnf.fr) Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce, 01/01/1931, p. 1966 (gallica.bnf.fr)     LABROUSSE Joseph (1853 - ?)                 1876   "Labrousse (J.), grand choix de pianos d'occasion de tous facteurs depuis 100 fr., pianos Erard, Pleyel, Hertz, etc., spécialité de pianos à queue, rue de Rivoli, 46; fabr. rue de la Verrerie, 11." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1881, p. 1522 (gallica.bnf.fr) "LABROUSSE (J.) (A), Fabrique de pianos. 8 médailles aux Expositions universelles et nationales. Exposition Chicago, Section Française, Hors Concours. Exposition internationale de Bruxelles 1897 collectivité. Diplôme d'Honneur. Maison spéciale pour l'achat et la vente des Pianos et Harmoniums d'occasion. Pianos droits et à queue ERARD, PLEYEL, etc. depuis 200 francs. Pianos mécaniques et pianistas. Facilités de paiement. Location depuis 10 francs par mois. Tous les instruments sortant de la Maison sont garantis sur facture. RUE DE RIVOLI. 46. Ateliers, rue du Temple. 41. SUCCURSALES : 14 et 51, même rue." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1898, p. 2147 (gallica.bnf.fr) "LABR0USSE (J.), Fabrique de pianos. 10 méd. (V)(A)(O) ; Expos. univ. St-Louis 1904. Grand prix et méd. or en collectivité ; Expos. Univ. de Liège 1905, Grand prix en collectivité; expos. individuelle, dipl. d'honneur; Pianos électriques, PIANOS & HARMONIUMS - Achat, vente d'occasion. Pianos droits et à queue ERARD, PLEYEL, etc., depuis 200 fr. Pianos mécaniques et pianistas. Facilités de paiement. LOCATIONdepuis 10 fr. par mois. Tous les instruments sortant de la Maison sont garantis sur facture, RUE DE RIVOLI, 51, Théléph. 107.64; succursales, boul. des Batignolles, 64. - Téléph. 585.93, et r. de Rivoli, 14." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1907, p. 2494 (gallica.bnf.fr) "LABROUSSE (J.) - Fabrique de pianos. - 10 médailles - Diplômes d'honneur, Grand prix, aux expositions universelles St-Louis. Liège. Londres. PIANOS ÉLECTRIQUES, PIANOS & HARMONIUMS - Achat, vente d'occasion. Pianos droits et à queue ERARD, PLEYEL, etc., depuis 200 fr. Pianos mécaniques et pianistas. Facilités de paiement. LOCATION depuis 10 fr. par mois. Tout les instruments sortant de la Maison sont garantis sur facture, RUE DE RIVOLI, 51. -T. Gut.07.64 ; succursales, boul.des Batignolles, 41. - Central 91.41, et r. de Rivoli, 14." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1914, p. 2786 (gallica.bnf.fr) "Impossible que vous ne trouviez pas le piano de vos rêves dans un des magasins Labrousse. Ancienne dynastie de facteurs de pianos, les Labrousse proposent un choix [...]." Paris pas cher, 1993, p. 304   Paris Saint-Ouen   22, rue Rambuteau (*1876)(arr.4)  4, rue  Bourtibourg (*1878)(**1878)(**1879)(arr.4) 9, boulevard du Temple (**1885)(**1888)(1889)(arr.3) 46, rue de Rivoli (**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(y1889)(**1898)(xx1889)(x1890)(xx1890)(*1893)(***1896)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906) (*1913)(**1913)(arr.4) FABRIQUE : 11, rue de la Verrerie (**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(arr.4) ATELIERS : 36, rue de la Verrerie (**1885)(y1889)(xx1890)(*1893)(arr.4) 33, rue de Rivoli (?)(arr.4) 14, rue de Rivoli (**1907)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(arr.4) SUCCURSALES : 14 & 51, rue de Rivoli (z1900)(z1902)(yy1914)(arr.4) SUCCURSALE : 64, boulevard des Batignolles (**1907)(**1911)(**1912)(x1912)(**1913)(arr.8) 1, rue Boursault (**1911)(**1912)(**1913)(yy1914)(arr.17) ATELIERS : 16, rue Boursault (x1922)(arr.17) Fabrique : 41, rue du Temple (**1898)(z1900)(z1902)(x1906)(**1911)(**1912)(**1913)(yy1914)(arr.3) 221, rue du faubourg Saint-Honoré (**1911)(1946)(1956)(arr.8) SUCCURSALE : 41 [bis], boulevard des Batignolles (**1914)(yy1914)(**1921)(x1922)(**1925)(1927)(*1935)(1960)(arr.8) 3, boulevard des Batignolles (z1931)(arr.8) à Paris ATELIERS : 34, rue Arago (z1931) à Saint-Ouen   'Facteur de pianos' droits et pianos à queue ca. 1876-1938 [depuis 1876 (z1931)] Joseph LABROUSSE est né le 21 octobre 1853, Limoges, Haute-Vienne, facteur de pianos à Paris. Fabricant jusqu'en 1960, créateur du plus petit piano à queue, elle fût pendant des décennies le partenaire privilégié des grandes marques françaises PLEYEL, ERARD et GAVEAU. LABROUSSE Pierre Joseph Léonard (1889)(x1890). Il était marié avec Henriette Césarine WEINGARTNER, fille de Jacques WEINGARTNER (°1849)(¹²) LABROUSSE J. (y1889)(xx1890)(z1900)  'Pianohandlung' (xx1890) 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912) LABROUSSE Fils (1913) 1913 - "Vendeur : Labrousse (époux) - Acquéreur : Labrousse (fils) - Domicile élu pour les oppositions : 18, Rivoli - Entrée en jouissance : 1 janv. 1914 - Fonds vendu : Constit. en dot. de deux F. de pianos : 51, Rivoli (C. du 5)" Archives commerciales de la France, 12/11/1913, p. 1490 (gallica.bnf.fr) LABROUSSE G[aston] (x1922)(**1925)(z1931)(*1935)(*1938)(1957) 1927 - Il était Trésorier chez le Syndicat des pianos et orgues de France, ou Chambre syndicale des facteurs de pianos et orgues de France (163, rue Saint-Honoré) ca. 1927. Bulletin de la Chambre de commerce de Paris, 07/05/1927, p. 621 (gallica.bnf.fr) 'Piano SIMPLEX', un pianino des années '50. Plus tard fabrication par MUSSARD. PARIS - "81. LABROUSE (P. Joseph L.), à Paris, rue de Rivoli, 46.— Pianos." Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 6 (gallica.bnf.fr) PARIS - "156 — Labrousse. - Paris, rue de Rivoli, 46. Pianos droits." L'Exposition du théâtre et de la musique, Paris, 1896 : catalogue officiel de l'Exposition, 1896, p. 95 (gallica.bnf.fr) LIÈGE - "LARROUSSE Joseph - M. Labrousse présentait un piano possédant un ensemble de qualités fort satisfaisantes. Il parait au rapporteur particulièrement intéressant de constater que M. Labrousse, qui recherche peu les affaires d'exportation, n'ait pas hésité à se joindre à ses importants confrères pour augmenter la puissance du bloc de l'industrie des instruments français; on ne saurait trop l'en féliciter." Rapport [instruments de musique], par G. Dutreih ; Exposition universelle et internationale de Liège, 1905, Section française, Classe 17, 1909, p. 39 (gallica.bnf.fr) PARIS - "De telles splendeurs vont-elles donc rejeter dans l'ombre les pianos Klein et Labrousse, les seuls qui aient osé s'abriter au « Pavillon des Chemins de fer » ? En aucune façon, car ces envois n'ont pas de commune mesure. Autant vouloir comparer entre eux des antipodes. A des clients heureux, privilégiés, d'humeur libérale, on destinait tantôt des modèles d'une suprême élégance. Ici, au contraire, pour des ressources médiocres, on recherche surtout l'économie, sans renoncer absolument à la qualité. Une visite à ces deux « stands montre l'état actuel du problème. Vu l'exiguité, le manque de place des intérieurs modestes, Labrousse s'est attaché à construire le plus petit piano à queue du monde. De leur côté, les pianos droits eux-mêmes, tout aussi sobres, ont cherché à s'effacer discrètement, à se faire oublier d'année en année, leur taille est allée en diminuant." Le revue de Paris, 01/12/1937, p. 649 (gallica.bnf.fr) 1891 - "M. Lombard, âgé de 75 ans, demeurant à Saint-Mandé et travaillant chez M. Labrousse, facteur de pianos, rue de la Verrerie, 36, est mort en arrivant à l'atelier. Le vieillard avait été fappé de congestion." La Croix, 10/01/1891 (gallica.bnf.fr) PUBLICITÉ Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers : Firmin Didot et Bottin réunis, 1889, p. 1830 (gallica.bnf.fr) Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce, 01/01/1931, p. 1966 (gallica.bnf.fr)   Liste des exposants, 1878 | Liste des exposants Paris, 1879 |  Médaille de bronze, 1889 | Liste des exposants Chicago, 1893 | Liste des exposants Paris, 1896 | Grand prix fact. coll. Bruxelles, 1897 | Grand Prix Luoisiane, 1904 | Diplôme d'honneur Liège, 1905 | Médaille d'or, 1920 | Liste des exposants Paris, 1937 LAFONTAINE Jules     1876   PARIS - "LAFONTAINE. - France. - Pianos droits à cordes croisées ; montage pour tenir toujours en place la mécanique ; mouvement de pédale perfectionné." Chouquet, Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle de 1878 PARIS - "83. LAFONTAINE (Jules), à Paris, rue de Charonne, 170. — Piano à queue, petit modèle, pianos droits à cordes croisées. Nouveaux pianos à cadres en fer à cordes verticales obliques et à queue croisées. Pianos de luxe sur commande. Mention honorable à l'Exposition 1878." Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 6 (gallica.bnf.fr) "J. LAFONTAINE - Fabrique de pianos, 170, rue de charonne, 170 - Pianos droits et obliques - Pianos à cordes croisées et à queue - Après trente-trois ans d'expérience et être resté pendant une dixaine d'années contre-maitre dans une des principales fabriques de pianos, M. Lafontaine crut pouvoir tirer parti de sa longue pratique et des connaissances spéciales qu'il avait acquise dans sa longue et savante carrière; après avoir fait la réputation d'une maison, il songea à en créer une, et il le fit en 1876 et le succes lui prouva bientôt qu'il avait raison. Nous ne croyons pouvoir mieux faire que de donner un spécimen de sa fabrication et de ses prix. N°3. A cordes demi-obliques - avec mécanique à double répétition, peigne en cuivre, ressort de noix, sommier de cheville, barré en fer et boulonné, sommier en fer prolongé, boulonné, tenu par quatre barres de fer. Sept octaves, trois cordes, du la au la. Hauteur 1 mètre 20, largeur 1 mètre 43, profondeur 0 mètre 60. Palissandre, consoles sculptées .... 1,100 fr.- N°3bis. Grande demi-oblique -Avec mécanique à double répétition, peigne en cuivre, ressort de noix, sommier de cheville, barré en fer et boulonné, sommier en fer prolongé, boulonné, quatre barres de fer au sommier d'accroche, grand cylindre avec plateaux, porte-lampe, orné de trois panneaux à pans coupés, consoles sculptées à trois cordes, sept octaves, du la au la. Hauteur 1 mètre 20, largeur 1 mètre 43, profondeur 66. Palissandre .... 1,300 fr  (la suite )   Paris 168-170, rue de Charonne (**1879)(arr.11) 170, rue de Charonne (*1878)(**1878)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(arr.11) 163bis, rue de Charonne (**1898)(arr.11) 176, rue de Charonne (z1900)(*1909)(arr.11)   'Fabrique de pianos' droits et pianos à queue ca. 1879-1909; (1878) Probablement élève de GAVEAU (°1847) : 1862 - "Atelier de M. Gaveau. - MM. Vigé, Georges Siegrist, Hutinet, Josset, Terris, Lamar, Dutarte, Coutillac, Lafontaine." Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862, p. 54 (gallica.bnf.fr) 'Pianofabrikant' (xx1890) (la suite) (la suite) N°4. Grand modèle oblique. - avec mécanique à double répétition, peigne en cuivre, ressort de noix, sommier de cheville, barré en fer et boulonné, au sommier d'accroche, grand cylindre orné de trois panneaux à pans coupés, avec plateaux porte-lampe, trois cordes, sept octaves, du la au la. Consoles sculptées à feuilles d'acanthe. Hauteur 1 mètre 24, largeur 1 mètre 48, profondeur 0 mètre 66. Palissandre .....1,400 fr. - N°5. Grand modèle à cordes croisées. Avec mécanique à rallonge, double répétition, barré en fer et boulonné, grand sommier de cheville, barré en fer prolongé maintenu par cinq barres en fer, grand cylindre orné de trois panneaux à pans coupés avec plateaux porte-lampe, trois cordes, sept octaves du la au la, consoles sculptées à feuilles d'acanthe. Hauteur, 1 mètre 28; largeur 1 mètre 47; profondeur, 0.67. Palissandre ....1,600 fr. Ce grand piano à cordes croisées, ayant de plus grandes dimensions que les modèles précédents, possède une puissance de son qui peut rivaliser avec celles de pianos à queue, petit modèle. C'est tout ce que l'on peut désirer de mieux comme solidité, et peut satisfaire à toutes les exigences de la musique moderne. Cette nomenclature nous dispense de tout éloge et l'on voit les perfectionnements que M. Lafontaine a su apporter à toute fabrication." Catalogue général descriptif de l'exposition : section française / Exposition universelle de Paris 1878, p. 7 (gallica.bnf.fr) "LAFONTAINE, maison fondée en 1877, réwmpensée exp. unv. 1878, pianos droits et à cordes croisées ; manuf. et bureau, Charonne, 170." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1881, p. 1522 (gallica.bnf.fr)   Mention honorable Paris, 1878 / Médaille d'argent Paris, 1889 MANGEOT Frères & Cie | MONGEOT Frères & Cie 1876   MANGEOT sur ce site   EXPOSITIONS ARTICLES Cliquer sur les liens ci-dessus. Pour lire les commentaires sur les expositions, cliquer sur le lien ci-dessus. Brevet de 1876 : "113,654. Brevet de quinze ans, 6 juillet 1876; Mangeot, représenté par Barrault, à Paris, boulevard Saint-Martin, n° 17. Système d'instruments de musique à double clavier." Bulletin des lois de la République française France, 07/1877, p. 925 (gallica.bnf.fr) 'Piano à claviers renversés'. Piano imaginé par MANGEOT Frères de Nancy, en 1878 Dictionnaire des instruments de musique, Jacquot, 1886 : Qu'on s'imagine deux pianos à queue posés l'un sur l'autre de façon que les deux claviers se trouvent immédiatement superposés comme les claviers de l'orgue. Jusque-là cette disposition n'aurait pour avantage que de mettre à la portée des deux mains de l'exécutant deux pianos séparés et complets. Mais ce qui fait l'originalité du piano de M. Mangeot, c'est que le clavier supérieur a les sons graves à la main droite et les sons aigus à la main gauche : la série des sons est renversée. Au lieu d'aller du grave à l'aigu de gauche à droite, comme on l'a toujours pratiqué depuis qu'il y a des instruments à clavier, elle va de droite à gauche en descendant. (Histoire Anecdotique du Piano, p. 40) -  'Piano à claviers renversés' : Et voyez un exemple dans le MIM, à Bruxelles (histoire et avec des fragments audio) INFO EXTRA 'Le piano à claviers renversés de MM. Frères MANGEOT & Cie, ses recources au point de vue de la composition et de la virtuosité avec des exemples d'appui', par Jules Zarebski et Oscar Comettant, dans Le Ménestrel, 19/05/1878, p. 196-197 (gallica.bnf.fr) et  Le Ménestrel, 28/07/1878, p. 275-277 (gallica.bnf.fr)  Autre article sur le piano aux claviers inversés dans 'L'Idée libre. Littéraire, artistique, sociale, 01/1904, p. 492-493 (gallica.bnf.fr)  Blog de Réné Pierre   J. M. Stussi, Facteurs de pianos de Nancy, Strasbourg, Le Mans, Mâcon et Angers. Doc. Personnels (⁸)   Paris Nancy     64, rue Neuve-des-Petits-Champs (**1873)(*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(*1878)(**1878)(**1879)(arr.2) 37, avenue de l'Opéra (*1878)(arr.1) 21, avenue de l'Opéra (**1880)(**1881)(1882)(**1883)(*1884)(**1884)(arr.1) 334, rue Saint Honoré in Paris (1886)(**1888)(arr.8) 3, rue du 29 Juillet (*1893)(*1895)(*1896)(arr.1) 51, rue de la Bastille (*1929)(arr.4) à Paris 9, rue Constitution (x1862)(*1871-73) 17, rue Jardiniers (*1871-73) Usine et manufacture à Nancy   'Facteurs de pianos' droits et pianos à queue ca. 1873-96 MANGEOT Frères & Cie à Nancy (x1861) Les fils de Pierre Hyacint MANGEOT, qui lui succèdent étaient Alfred et Eduoard-Joseph vers 1859. MANGEOT Frères & Compagnie à Paris E. MANGEOT (°1859) successeur ca. 1886 1884 - "Dissolution de Sociétés [...] 114, 17 janv, Mangeot frères et Cie pianos, 21, avenue de l'Opéra (D. 25 janv.)." Journal des sociétés civiles et commerciales, 1884, p. 18 (gallica.bnf.fr)     -     "Paris. — Dissolution, à partir du 17 janv. 1884, de la Société MANGEOT frères et Cie, fab. de pianos, av. de l'Opéra, 21. — Liquid. : M. J. Mangeot. — Acte du même jour. — D." Archives commerciales de la France. 27/01/1884, p. 108 (gallica.bnf.fr) 1898 - Mort de Edouard Joseph MANGEOT - voir ARTICLES 1889 - En 1889, un facteur de pianos, Edouard MANGEOT, fonda le Monde musical, journal destiné particulièrement, dans sa pensée, à être l'organe de la facture instrumentale, mais qui, peu à peu, fit une large place aux comptes rendus des concerts. Aujourd'hui dirigé par le fils de son fondateur, le fonds musical insere également des articles d'esthétique musicale. (*1925) La firme cessait la fabrication des pianos avec la mort d'Alfred. 1878 - "M. Lucien Comettant, fils de M. Oscar Comattant [sic], le directeur de l'Institut musical épouse Mlle Mangeot, fille du grand facteur de pianos de Nancy, dont M. Lucien Comettant est le représentant à Paris. La cérémonie aura lieu samedi prochain à Nancy. Les témoins de M. Lucien Comettant sont M. Charles Gounod et M. Jourde, directeur du journal le Siècle." La Presse, 02/12/1878, p. 4 (gallica.bnf.fr) 1936 - "C'est ainsi que j'eus l'occasion de connaître celle qui devait devenir ma femme, charmante jeune fille qui s'intéressa tout de suite à favoriser mes penchants artistiques. Fille de M. Edouard Mangeot, réputé facteur de pianos nancéen, Mlle Madeleine Mangeot, aînée de sept enfants, me fit connaître son père, fondateur du journal Le Monde Musical, qu'il avait créé avec l'appui confraternel des membres de la facture instrumentale, après avoir connu de graves déboires financiers à la suite de l'invention curieuse d'un piano à double clavier. Je fus accueilli à bras ouverts dans cette belle famille qu'une femme de grand coeur et de belle énergie dirigeait avec un courage que les pénibles événements semblaient avoir stimulés. De suite, je trouvais à me rendre utile au journal où je ne tardais pas à tenir place importante." La Nouvelle revue, 01/05/1936, p. 181 (gallica.bnf.fr) "Pianos Steinway, pianos à queue et pianos droits, Mangeot frères et Cie, seuls concesttonnaires. Dépôt unique à Paris, 64, rue Neuve- des-Petits-Champs, magasin de vente." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1873, p. 1241 (gallica.bnf.fr) "Mangeot frères et Cie, pianos à queue à cordes croisées, et pianos droits FRANCO-AMÉRICAINS, méd. (O) à l'exposit. Univ. 1878, Nve-des-Petits-Champs, 64." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1879, p. 1396 (gallica.bnf.fr) "MANGEOT & FRÈRES ET CIE, pianos à queue à cordes croisées, pianos droits, PIANOS À DOUBLES CLAVIERS RENVERSÉS, b. s. g. d. g., méd. O 1878 ; exportation, 21, avenue de l'Opéra." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1881, p. 1523 (gallica.bnf.fr)   Médaille d'or Paris, 1878 LECOMTE 1877   Brevet de 1876 : "115,065. Brevet de quinze ans, 17 octobre 1876; Lecomte, représenté par Armengaud jeune, à Paris, boulevard de Strasbourg, n° 23. Système de piano à tons célestes." Bulletin des lois de la République française, 01/1878, p. 77 (gallica.bnf.fr) Catalogue ULLMANN 1907 Paris 5, rue le Peletier (**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(1882)(**1883)(**1884)(**1888)(arr.9) 47, rue de Paradis [Poissonnière ?] (*1893)(*1896)(arr.10) 11, rue de Faubourg Poissonniere (*1909)(arr.9)   Facteur et/ou marchand de pianos droits, harmoniums et boîtes de musique ca. 1877-1909 LECOMTE L. & Cie dès 1877 1881 - "Constutitions de sociétés [...] 82. 15 mars. Leconte et Cie [sic], méthode Allart pour accompagnement de plain-chant et pianos, 5, rue Le Peletier (P. A. 27 mars)." Journal des sociétés civiles et commerciales, 18/01/1881, p. 39 (gallica.bnf.fr) 1882 - Faillite en 1882 : "Faillites de sociétés [...] 1251. 19 décembre. Lecomte et Cie, pianos et orgues, 5, rue Le Peletier (A. P. 20 décembre)." Journal des sociétés civiles et commerciales, 11/1882, p. 193 (gallica.bnf.fr) LECOMTE L. & Cie (**1880)(**1883)(**1884)(**1888) ULLMANN Jacques (*1893)(*1896), Successeur de LECOMTE & Cie 1913 - "ULLMANN (Jacques), fabricant d'instruments de musique et exportateur : maison Ch. et J. Ullmann. ULLMANN (Charles), fabricant: exportateur d'instruments de musique." (x1913) - Voyez Charles ULLMANN 'Piano-exécutant, artiste pneumatique électrique' (Ch. & J. Ullmann, founded Odeon as the International Talking Machine)   Médaille d'argent Bruxelles, 1897 BARON Auguste L. (1854 - 1931) 1878   NÉCROLOGIE 1931 - "Monsieur Auguste Baron, facteur de pianos. Leur père, grand-père, oncle, cousin et allié, pieusement dècédé à Toulouse, à l'âge de 77 ans et vous prient de vouloir bien assister à ses obsèques qui suront lieu demain vendredi 4 septembre 1931, à 10 heures, en église Saint-Sernin. On se réunira à la maison mortuaire 25, rue Rémusat. Il ne sera pas fait d'autre invitation. On ne reçoit pas, on s'inscrit." L'Express du Midi, edition de Toulouse, 08/09/1931, p. 4 "Les amis et connaissances de la famille BARON sont informés que la messe anniversaire de la mort de Monsieur Auguste BARON - Facteur de piano - sera célébrée le lundi 31 octobre, à 9 h. 30, en l'Insigne Basilique Saint-Sernin." La Dépêche, journal quotidien, 29/10/1932, p. 7 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr) TÊTES DE FACTURES Facture de 1896 Facture de 1941   Toulouse   29, boulevard de Strasbourg (xx1884)(1887) 44, rue d'Alsace-Lorraine (*1898) 9, rue Rivals (x1900)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909) [25], rue de Résumat (x1912)(*1913)(**1921)(*1931)(*1943)   'Facteur de pianos', orgues et harpes ca. 1884-1943 et compositeur 'Piano- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906) 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912) "MUSIQUE, PIANOS, HARMONIUMS ET INSTRUMENTS - MAISON BARON - FACTEUR DE PIANOS - 29, Boulevard de Strasbourg, TOULOUSE - Vente, échange, location, accords et réparations d'instruments de tout genre - ARTICLES DE LUTHERIE - Spécialités de cordes harmoniques, françaises et étrangères - GROS ET DÉTAIL." La Dépêche : journal quotidien, 06/10/1884, p. 4 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr) "Les pianos de la maison A. BARON se recommandent par leur puissance et la qualité de sonorité qui caracterise leur fabrication ainsi que par leur solidité garantie, et les prix modérés auquels ils sont livrés." (1887) "Pianos - Orges - Harpes - et instruments. A. Baron. Ancien Hôtel des ventes. Facteur de pianos. 9, rue Rivals, Toulouse. Maison de confiance. Médaille d'argent 1880. Pianos d'occasion depuis 200 fr. - Pianos neufs depuis 500 fr. Location - vente - achat - échange. Ateliers spéciaux pour réparations d'instruments de tous genres. Occasions exceptionnelles en pianos droits et à queue."  Express du Midi, 08/04/1900, p. 3 (rosalis.bibliotheque.toulouse.fr) "PIANOS - PHONOS - T. S. F. - MUSIQUE Tout ce qui concerne le Jazz Instruments neufs et d'occasion VENTE — LOCATION - ACCORDS ACHAT - ECHANGE - REPARATION M" A. 8 ROM Agent de la Maison PLEYEL - 25, rue de Rémusat — TOULOUSE AGENT REGIONAL DE LA MAISON GAVEAU Téléphone 241-53." Société des Artistes Méridionaux Toulouse : Catalogue illustré de la XXXIVe exposition : ouverte du 9 mai au 20 juin 1943 au Musée des Augustins, 1943, p. 84-85      JEANPERT E. | JEANFERT 1878   'Ex-employé de PLEYEL WOLFF & Cie." Pub dans un journal de Rio de Janeiro, Brésil : Aestaçao, 28/02/1900, p. 18   Paris 14, rue du Dragon (xx1868)(**1870)(**1871)(**1873)(arr.6) 18, Impasse du Maine (1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1881)(**1883)(**1885)(arr.14) 256, Boulevard Saint-Germain (**1880)(**1883)(**1888)(arr.7)  9, rue Saint-Simon (**1884)(**1885)(**1888)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(*1893)(**1898)(arr.7) Magasin : [113], Boulevard Haussmann (y1889)(xx1890)(*1895)(**1898)(z1900)(arr.9) 57, rue Rochehouart (*1902)(*1903)(**1904)(**1905)(arr.9)   'Facteur de pianos' ca. 1868-1905 Probablement c'était cette personne qui était le 'JEANPERT' égaliseur chez PLEYEL en 1860. (²⁰) Comme tant des autres marques français, ils ont vendu des pianos dans le sud d'Amérique, comme Brésil, et par GRUNEWALD à Nouvelle Orleans. "La commission de la grève des facteurs de pianos et orgues fait savoir à la corporation que MM. Crémer, Grandon, Jeanpert et Mussard ont adhéré au programme de la corporation dans toute sa teneur." Le Rappel, 02/12/1881, p. 1 (gallica.bnf.fr) JEANPERT Charles A. (1889)(x1890)(xx1890) 'Pianofabrikant' (xx1890) LE HAVRE - "2443. JEANPERT. —Piano droit, à cordes obliques, 14, rue du Dragon, à Paris." Exposition maritime internationale, Le Havre, Seine-Maritime, 1868, p. 308 (gallica.bnf.fr) PARIS - "Pianos d'un prix modéré et d'une qualité de son assez agréable." Chouquet, Rapport sur les instruments de musiques à l'exposition universelle de 1878 PARIS - "74: JEANPERT (Charles A.), à Paris, rue St-Simon, 9. — Piano." Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 6 (gallica.bnf.fr) PARIS - "Mons. Jeanpert, Paris - A pretty exhibit of a polished brown wood encased piano with silver mounts ; very neat workmanship." The Music Trade Review, 1889, p. 78 VOIR AUSSI ... ... autres avec le nom JEANPERT   Liste des exposants Le Havre, 1868 | Médaille de bronze Paris, 1878 | Médaille de bronze Paris, 1889 KANDOWSKI Georges Louis | JANDOWSKI (? - 1925)     1878   Brevet de 1912 : "7 mars 1912; Kandowski (H.-G.). représenté par Lavoix et Moses, à Paris, rue Blanche, n° 2. — Dispositif pour assurer la régularité et le controle du réglage du système durcisseur du clavier dans les pianos." Bulletin des lois. Partie supplémentaire, 1915, p. 1248 Brevet de 1912 : "Kandowski, 17 mai 1912. — Dispositif pour la fixation des pupitres sur les pianos." Revue industrielle - Volume 43, 1912, p. 532 Brevet de 1929 : "Perfectionnements Aux Machines Parlantes" "Guise : G. Kandowski et les pianos de ses aïeux", dans La Thiérache, 26/08/2010 "Gérard Kandowski : pour tout ce qui est moteur, il connaît la musique ! " dans La Voix du Nord, 23/08/2010   Paris   3, rue de Naples (**1883)(**1884)(arr.8) 37, rue de Rome (**1885)(**1888)(y1889)(xx1890)(arr.8) 12-14, Passage de Clichy (?)(arr.18) 36, rue Ballu (?)(arr.9) 40, rue Ballu (*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)(z1900)(z1902)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)(*1910)(**1912)(*1913)(arr.9) [67]-74, rue de Clichy (*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)(z1900)(*1902)(z1902)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(*1910)(x1912)(*1913)(yy1914)(**1921)(*1922)(x1922)(*1929)(*1933)(**1935)(arr.9) SUCCURSALE : 9 rue des Batignolles (yy1914)(**1921)(*1922)(x1922)(arr.17)     'Facteur de pianos Breveté' et éditeur de musique ca. 1883-1922 Repris par son fils Henri George KANDOWSKI (**1935), et compositeur et fabricant de pianos droits et des instruments de cuivre. Invention de 'Piano Artistic-Décor' (*1913) Sur certain moment fabriqué par THERSEN (°1899) KANDOWSKI Fils (*1903), 57, rue Turbigo 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912) KANDOWSKI H. (*1922)(*1929) 1925 - "Décès: premier janvier, M. Louis Georges Kandowski." La Dépêche de l'Aube : journal quotidien du monde du travail, 16/05/1925, p. 2 (gallica.bnf.fr) Un certain M. Kandowski était vice-président du Syndicat des pianos et orgues de France, ou Chambre syndicale des facteurs de pianos et orgues de France (163, rue Saint-Honoré) ca. 1923-1927. Le Matin, 27/06/1923, p. 5 (gallica.bnf.fr) et Bulletin de la Chambre de commerce de Paris, 07/05/1927, p. 621 (gallica.bnf.fr) COMPTOUR GÉNÉRAL D'INSTRUMENTS DE MUSIQUE (°1931) 1933 - Déclaration de faillite 21 avril 1933 : "Henri-Georges KÀNDOWSKI, exerçant le commerce de marchand d'instruments de musique à Paris, 74, rue de Clichy (9°), y demeurant (juge M. Chevallier; syndic. M. Corbasson)." Le Matin, 23/04/1933, p. 8 (gallica.bnf.fr) ou Le Temps, 28/04/1933, p. 6 (gallica.bnf.fr) 1935 - Faillite 11 mai 1935 : "Georges-Henri KANDOWSKI, exerçant le commerce de marchand d'instruments de musique à Paris, 74, rue de Clichy (9°) y demeurant (juge M. Chevallier; syndic M. Corbasson)." Le Matin, 14/05/1935, p. 8 (gallica.bnf.fr) INFO EXTRA KANDOWSKI Georges Louis     ST. MARC Dame 1878 Tarbes   51, rue des Grands-Fossés (**1889) 24, rue des Grands-Fossés  (**1890)(**1891)(**1893)(x1895)(x1896)(**1897)(x1898)(1899)(**1900)(x1905)(**1909)(x1910)(xx1911)(*1913)(***1914) 24, rue du Maréchal-Foch (*1929)     Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1889-1929 SAINT-MARC Veuve (**1890)(**1893)(x1895)(x1896)(**1897) ST. MARC Dame (18??) Repris par SCHLEIDEN P. en 1899. (Archives commerciales de la France, 29/07/1899, p. 963 (gallica.bnf.fr)) - 'Schleiden-pianos' (*1913)     WINTHER Nathaniel | WINTER (1839 - ? ) 1878   WINTHER sur ce site ARTICLES Cliquer sur le lien ci-dessus Paris 77, rue Denfert-Rochereau (**1880)(**1881)(**1883)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(arr.14) 77-[84], rue Denfert-Rochereau (x1883)(**1884)(**1885)(**1888)(*1893)(*1896)(**1898)(arr.14) 45, Boulevard Saint-Michel (magasin)(*1893)(arr.5) 46, Boulevard Saint-Michel (magasin)(*1896)(**1898)(z1900)(arr.5)     'Facteur de pianos' droits ca. 1880-1904 "736 Le sieur Winther (Nicolas-Nathaniel), fabricant de pianos, né le 30 décembre 1839 à Copenhague (Danemark), demeurant à Paris; 37° La dame Giesen (Marie-Charlotte-Clémence), femme Winther, née le 10 janvier 1853, d'une mère allemande, à Paris, y demeurant." Bulletin des lois de la République française, 1892, p. 531 WINTHER Nathaniel (xx1890)(z1900)  'Pianofabrikant' (xx1890) Succ. par CROISSANDEAU (°1880) vers (x1912) Selon Mario Pizzi (¹), un de ses descendants avait ouvert un magasin WINTHER Th., avenue de la Motte-Picquet et accordait des pianos chez Klein. ANVERS - "220 — Winther (Nathaniel), 77 et 84, rue Denfert-Rochereau. Fabricant de pianos. Un piano grand format, riche, cadre en fer et cordes croisées. Prix : 1,800 francs. Mention honorable à Amsterdam, médaille d'argent à Blois et médaille d'argent à Nice." Exposition d'Anvers 1885, p. 23 PARIS - "153. WINTHER (N.-Nathaniel), à. Paris, rue Denfert-Rochereau, 77. — Pianos." Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 10 (gallica.bnf.fr) PARIS - "132. Winther (Nathaniel), à Paris, rue Denfert-Rochereau, 77, et boulevard Saint-Michel, 46. — Un piano cordes croisées. Un piano oblique. Un piano demi-oblique. Un piano quart oblique. Fabricant de pianos. Paris 1889, Médaille de bronze ; Amsterdam 1883, Médaille de bronze ; Anvers 1885, Médaille d’argent." Catalogue général officiel. Tome troisième, Groupe III : instruments et procédés généraux des lettres, des sciences et des arts : classes 11 à 18, 1900, p. 529 (archive.org)   Hors concours médailles aux expositions :   Mention honorable Amsterdam, 1883 | Médaille d'argent, Blois 1883 | Médaille d'argent Nice, 1884 | Médaille d'argent Anvers, 1885 | Copenhague, 1886 | Médaille de bronze (ou mention honorable ?), Paris 1889 | Médaille d'argent, 1900 ZIMMER Louis 1878   VOIR AUSSI ... ZIMMER à Lausanne (Suisse)   Paris 131, boulevard Pereire (**1880)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(y1889)(xx1890)(*1893)(*1896)(**1898)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(arr.17)   Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1880-1912 'Pianohandlung' (xx1890)(x1906)(x1912) Repris par Albert DAVY en 1912 : 1912 - "Vendeur : Zimmer - Acquéreur : Davy - Domicile élu pour les oppositions : Davy, 25, b. Richard-Wallace, Puteaux - Entrée en jouissance : de suite - Fonds vendu : Pianos, 131, b. Pereire." Archives commerciales de la France, 03/02/1912, p. 164 (gallica.bnf.fr) - voir DAVY Albert       KLEIN Henri (1845 - 1910) STUDIUM-KLEIN (avec le miroir dessous il semble un piano à queue) 1879   Piano à queue n° 43279 de 1940, Musée du piano Limoux, France Piano-harmonium, ca. 1900, n° 3706-3523, Cité de la Musique, Paris, France KLEIN sur ce site EXPOSITIONS ARTICLES Cliquer sur les liens ci-dessus. Il a aussi fabriqué des pianos pour : BELHARTZ (°?) à Montreuil | HENRY (°?) à Besancon | WEINGARTNER (°1849)à Paris INFO EXTRA Numéros de série des pianos KLEIN Catalogue de 1911 Article de 21/10/2013 dans RTL. FR Montreuil-sous-Bois Paris Saclas vers 1892, fabrique : Montreuil sous Bois 29, rue des Ecoles (x1894)(**1898)(***1900)(x1903)(**1904) 74, rue de Fontenay (*1910) 122, rue de Lagny (*1913)(arr.20) 26-28-29, rue des Ecoles (x1906) 26-28-29, rue Arsène-Chéreau (photo)(**1907)(1910)(x1912)(**1914)(*1919)(**1925)(**1935)(*1938) Fabrique : 74, rue Fontenay (x1912) 29, rue Arsène-Chéreau (x1906)(x1911)(**1912)(yy1914)(**1921)(x1926)(z1931) 28, rue Arsène-Chéreau (z1931) 29, rue Robespierre (1950)(hors centre Paris) à Montreuil-sous-Bois 19, pasage Ménilmontant (x1880)(**1880)(1884)(**1885)(**1888)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(arr.11) 138, rue Oberkampf (x1880)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(*1893)(arr.11) 39, avenue de la République (z1902)(*1903)(**1904)(x1906)(arr.11) 141, rue Lafayette (*1941)(arr.10) 122, rue de Lagny (2010)(arr.20) à Paris FABRIQUE : à Saclas (*1913) 20 ouvriers et 20 pianos  en 1880 1500 pianos par an et 120 ouvriers 14.600 pianos en 1900 70 à 100 ouvriers en 1901 48 ouvriers en 1954   'Facteur de pianos' droits et pianos à queue ca. 1880-1938 [depuis 1879 (x1906)(x1912)(**1921)(x1926)] [depuis 1782] Henri KLEIN, créateur de la manufacture familiale. Opte pour la France en 1872 et s'installe à Montreuil, siège actuel de leur Socièté. Henri KLEIN II fût l'un des précurseurs du cadre métallique et de la conception contemporaine du piano, généralisé par Gaston KLEIN, qui exporte une large part de la production dès l'entre-deux-guerres. KLEIN achète LAVALLEÉ en 1884 KLEIN H[enri] (y1889)(xx1890)(x1903)(x1906) 'Pianohandlung' (xx1890) KLEIN Gaston (x1903)(*1909)(**1921)(**1925)(x1926)(**1935)(*1938) 'Piano-Fabrik, führt auch Billards' (x1906) KLEIN Fils (*1910) KLEIN Frères (1910)(x1912)(**1914)(yy1914), successeurs, ou Gaston & Charles KLEIN, successeurs de Henri KLEIN 1910 - "Montreuil-sous-Bois, —- Formation. — Soc. en nom collectif KLEIN frères, fab. de pianos, 29, Arsène-Chéreau. — 25 ans. — Capital non énoncé — 1 nov. 1910. — A. P." Archives commerciales de la France. 30/11/1910, p. 1835 (gallica.bnf.fr) 1910 - "Vendeur : Klein (Gaston) - Acquéreur : Klein frères (Soc.) - Domicile élu pour des oppositions : id. - Entrée en jouissance : 1 nov. - Désignation des fonds vendus : Apport d'un F. pianos, 29, Arsène Chéreau, montreuil-sous-Bois." Archives commerciales de la France. 30/11/1910, p. 1841 (gallica.bnf.fr) 'Piano-Fabrik' (x1912)(x1926) 1920 - Incendie, voir articles KLEIN achète GUILLOT (°1873) en 1930. (¹) ? PIANOS STUDIUM dès 1941 : 1941 - "[...] L'exploitation du fonds de commerce de location et vente de pianos, instruments de musique, phonographes, disques et. accessoires, qui lui a été apporté. [...] La dénomination, de la société est : « PIANOS STUDIUM » Le siège social est fixé à Paris, 141, rue Lafayette. [...][...]" Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 08/12/1941, p. 3208 (gallica.bnf.fr) PHOTO Photo de la fabrique, 26-28, rue Robespierre, Bas-Montreuil "KLEIN (H.), MÉDAILLES D'OR & DIPLÔMES D'HONNEUR. PIANOS DROITS - CADRES EN FER - de toutes grandeurs à cordes 1/4 obliques obliques et à cordes croisées. FABB!CATALOGUE SPÉCIALE POUR L'EXPORTATION ET PAYS CHAUDS. Pianos de tous styles sur commande. (Envoi franco du catalogue illustré) 29, rue des Écoles, 29, MONTREUIL-S/-BOIS (SEINE)." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1898, p. 2147 (gallica.bnf.fr) "KLEIN FRÈRES (MAISON FONDÉE EN 1879). 1re MÉDAILLE D'OR Exposition Univer.le PARIS 1900 GRAND PRIX Exp. de BORDEAUX 1907 - PIANOS DROITS ET Á QUEUE CORDES CROISÉES. FABRICATION SPÉCIALE POUR L'EXPORTATION ET PAYS CHAUDS. Pianos de tous styles sur commande. (Envoi franco du catalogue illustré). USINE, BUREAUX ET CHANTIERS : r. Arsène-Chéreau, 26, 28 et 29, à MONTREUIL S/ BOIS (SEINE). T. Roq. 18.50." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1914, p. 2786 (gallica.bnf.fr) "Les PIANOS KLEIN ont réalisé le rêve des cantatrices. Le studium piano, réduit enclos dans un meuble charmant qui a la belle sonorité et toutes les possibilités d'un Instrument de grande taille." Le Figaro, 31/01/1937, p. 4 (gallica.bnf.fr)     Médaille d'Argent - Exposition Internationale du Havre, 1887 | 1 ère Médaille d'Or (?) (ou bronze?) - Exposition Universelle Paris, 1889 | Diplôme de 1ère Classe - Exposition Française de Londres, 1890 | Médaille d'Argent - Exposition Universelle d'Anvers, 1894 | Diplôme de médaille d'argent Lyon, 1894 |  Médaille d'Or - XIII Exposition Internationale de Bordeaux, 1895 | Médaille d'Argent - Exposition internationale de Bruxelles, 1897 | 1ère Médaille d'Or Paris, 1900 | Médaille d'or Louisiane (État du Sud des États-Unis), 1904 | Diplôme d'Honneur - Exposition Coloniale Internationale de Paris, 1931  | Liste des exposants Paris, 1937 | Médaille de la Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie, 1938 | Médaille du Cinquantenaire de la Foire de Paris, 1954 | Médaille des Inventeurs au 7ème Salon International de Bruxelles, 1958 | 1ére Grand Prix Départemental des Métiers d'Art Médaille de l'A.N.V.A.R. (Agence Nationale pour la Valorisation de la Recherche), 1985   SCHILLIO magasin à Roubaix Magasin à Lille 1879   "Ad. Schillio, expert accordeur diplômé de la Maison Pleyel. 41, r. des Pyramides, Lille, informe sa nombreuse clientèle et tous piopriét. de pianos qu'ils s'exposent à de gros frais de réparat. s'ils négligent plus longtemps l'accord de leur instrument. Prix de l'accord 4 francs. Réparations. Prix modérés. [...] Immense choix d'occasions depuis 200 fr. Achat, vente, location, accords, réparations. Grandes facilités payement p. la guerre. Ad.Schillio. accordeur diplômé de la Maison Pleyel, 41, r. Pyramides. - Nota - . M. Schillio garantit l'instrument c. incendie, bombard., réquisition." Bulletin de Lille, 1915 "Cours pratique. - Vu les circonstances, nombre de familles sont embarrassées pour donner une situation à leurs enfants. Dans l'intérêt de ces familles, M. Schillio vient de transformer un de ses ateliers en école professionnelle où les jeunes gens apprendront la construction, la réparation et l'accord du piano. Tout en procurant à ces jeunes gens une occupation présente, le but de M. Schillio est de leur assurer un avenir des plus lucratifs, lucratif, en effet, car l'apprentissage soigné que réclame cette industrie trouvant peu d'adhérents, les spécialistes n'en sont que plus appréciés et d'autant mieux rétribués. Les familles soucieuses de procurer à leurs enfants une profession aussi intéressante que rémunératrice, peuvent s'adresser pour l'admission à cette école, qui s'ouvrira le 15 juillet à M. Ad. Schillio, facteur de pianos, accordeur dipl. de la maison Pleyel, 41, rue des Pyramides, Lille." Bulletin de Lille, 07/1916 Ces pianos sont été producé par les facteurs suivants: ELCKE (°1846) | LEGUERINAIS (°1856) | REGY (°1919) | SCHMITT (°1893)   Lille Paris Cambrai Douai  Dunkerque Reims Roubaix Rouen Valen-ciennes   MAISON PRINCIPALE : 194, rue Solferino (xx1890)(*1893) 3-5, rue Caumartin (x1906) 3, rue Caumartin (*1913) 41, rue des Piramides (x1912)(*1913)(1915)(1916)(**1921)(x1926)(*1929) 72, rue d'Arbrisseau (**1922) 26, rue de Rivage, Bethune(*1929) 54, rue de Longpont (avant 1931) à Lille SUCCURSALE : 21, boulevard Vauban (**1921) à Cambrai SUCCURSALE : 25, rue de la Boucherie (**1921) à Douai SUCCURSALE : 4, place de la République (**1921)(x1926) à Dunkerque SUCCURSALE : 24, rue Cadet (?)(arr.9) 38, rue de Maubeuge (**1921)(x1922)(z1931)(arr.9) 112, rue de Sèvres (**1921)(x1922)(arr.15)  siege social : 64, rue Amelot (*1929)(z1931)(*1935)(*1938)(arr.11) 2, rue de Babylone (1927)(1936)(arr.7) 68, avenue Kléber (z1931)(arr.16) 148, boulevard du Montparnasse (z1931)(arr.14) 97, boulevard Haussmann (z1931)(arr.8) à Paris SUCCURSALE : 93, rue de Vesle (**1921) à Reims SUCCURSALE : 3, Grande-Rue, près Grande-Place, Roubaix (x1912)(1916)(**1921) à Roubaix SUCCURSALE : 50 bis, rue de la Grosse-Horloge (*1929) à Rouen SUCCURSALE :  9, rue Ferrand (x1912)(**1921)(M. Joly, gérant - 1921 à Valenciennes     'Fabrique de pianos' ca. 1893-1929; (*1935) - Pianos droits et pianos à queue [depuis 1848 (x1912)(x1926) ou depuis 1879 (*1913) ou depuis 1878 (**1921)] Lille SCHILLIO (xx1890), 'Pianohandlung' SCHILLIO Ad. (x1906)(x1912)(**1921)(z1931)(*1935)(*1938) 'Piano-Händler u. -Stimmer' (x1906) ------- 'Piano- u. Harmonium-Händler' (x1912)(x1926) ------- 'Pianos' (**1921) SCHILLIO Ed. & Fils (x1926) 1931 - "La Société anonyme « Ad. SCHILLIO » ayant son siège social à Paris, rue Amelot, n° 64, et précédemment à Lille, rue de Longpont, n° 54, Représentée par M. Robert SCHILLIO, facteur de pianos, demeurant à Paris, avenue de la République, n° 59, spécialement délégué en vertu d'une délibération du Conseil d'administration en date du 7 mai 1931 [...]" Archives commerciales de la France, 057/06/1931, p. 2779 (gallica.bnf.fr) 1936 - "Vendeur : Schillio (Ad.) - Acquéreur : Schillio (L.) - Domicile élu pour les oppositions : Me Lanquest, notaire, 92 bd - Fonds vendu : Différents éléments d'un fonds de pianos, 2 rue de Babylone - J. S.S. (20 juillet)" Archives commerciales de la France, 4/07/1936, p. 3048 (gallica.bnf.fr) SCHILLIO L. dès 1936 SCHILLIO Henry (?) Douai 1921 - Gérant : C. MOREAU (**1921) Dunkerque SCHILLIO Ad. (x1926), 'Piano-Handlung' (x1926) Paris 1921 - Gérant : A. JOLY (**1921) Il achète le fonds de pianos de DORIA Vve., successeur de PEAUCELLE-COQUET (°1860) en 1927 : 1927 - "Vendeur : Doria Vve - Acquéreur : Ad. Schillio (Soc.) - Domicile élu pour les oppositions : Me Kastler, notaire, 116, fg St-Honoré - Entrée en jouissance : 1 juil. - Fonds vendu : Apport fonds pianos, 2, Babylone." Archives commerciales de la France, 23/09/1927, p. 2611 (gallica.bnf.fr) SCHILLIO Ad. & Fils (z1931), à Paris Roubaix 'Handlung mit Musikal., Pianos u. Musikinstr.' (x1912) à Roubaix 1921 - Gérant : G. DUSSAUT (**1921) Valenciennes 'Handlung mit Pianos' (x1912) à Valenciennes         CROISSANDEAU Emile Marie Paul 1880   "CROISSANDEAU - Pianos des meilleurs facteurs, neufs et d’occasion. Location, réparations, vente, payable par mois. Rue Clapeyron, 9, blv. Haussmann, 97 et r. Denfert-Rochereau, 77." Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce, 1907, p. 1667 (gallica.bnf.fr) "CROISSANDEAU, 97, bd Haussmann, Paris, 8°. T. Elys. 10-74. Manufacture de pianos. (17-26123)." Annuaire industriel. Répertoire général de la production française, 1925 (gallica.bnf.fr) Pianos producés par CHAMP-RAMEAU & CIE (°1905) et LEGUERINAIS (°1856) TÊTE D'UNE FACTURE   Paris   42, boulevard Malesherbes (**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1886)(**1888)(y1889)(x1890)(xx1890)(*1893)(xx1894)(*1895)(**1898)(z1900)(*1902)(z1902)(**1904)(**1905)(x1906)(arr.8) Dépôt : 9, rue Clapeyron (z1902)(**1904)(x1906)(x1907)(arr.8) 97, boulevard Haussmann (**1907)(x1907)(*1909)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921) (*1922)(**1925)(arr.9) 77, rue Denfert Rochereau (*1907)(**1907)(x1907)(*1909)(*1910)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(**1913)(**1914)(yy1914)(1920)(arr.14)     'Manufacture de pianos' droits ca. 1880-1925 [depuis 1877 (x1912)]; (**1925) CROISSANDEAU E. (y1889)(x1890)(xx1890)(**1898)(x1906)(**1907)(x1912)(**1914) 'Pianohandlung' (xx1890) CROISSANDEAU Paul (*1892) Successeur de Nathan WINTHER (°1878); (x1912) 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912) 1914 - "M. Vion, ouvrier accordeur dans la maison Croissandeau à Montrouge." Journal officiel de la République française. Lois et décrets, 20/03/1914, p. 2541 (gallica.bnf.fr) -  Voir VION 1920 - "Succession de Marie Paul Émile Croissandeau, négociant en pianos, décédé le 4 avril 1920, divorcé en premières noces de Marie Blanche Pujet et époux en deuxièmes noces de Julie Augustine Manaud, 1920-1938 : correspondance ; pièce de procédure ; inventaire après décès, 1920-1922 ; inventaire estimatif du matériel et des marchandises concernant le fonds de commerce de marchand de pianos ayant appartenu à M. Croissandeau." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹) 1929 - "Succession d'Édouard Théodore Croissandeau, ancien facteur de pianos, décédé le 17 juillet 1929, veuf en premières noces de Marie Isabelle Proust et en deuxièmes noces d'Ernestine Honorine de Suarce, 1904-1931 : titre de propriété d'une maison sise à Nanterre (Hauts-de-Seine), 1 rue Victor Hugo, 19 décembre 1913 ; prisée du mobilier ; état de fortune ; partage de la succession de Célestin Eugène Croissandeau, propriétaire, veuf de Pauline Céline Garreau, décédé le 7 juillet 1904, père d'Édouard Théodore Croissandeau, 15 décembre 1904 ; état civil ; correspondance, 1929-1931." siv.archives-nationales.culture.gouv.fr (³¹)      LÉVÊQUE & THERSEN | LEVEQUE | THIERSEN     1880   ANVERS - "207 — Lévêque et Thersen, 16, rue Duhesme, Paris. Manufacture de pianos. Un piano style Louis XVI." Exposition d'Anvers 1885, p. 21 BARCELONE - "Lévêque et Thersen, 16, rue Duhesmes, Paris. - Fabricants de pianos. - Pianos, cordes croisées, cadre en fer. - Anvers 1885, médaille d’argent ; Paris 1885, médaille d'argent." Catalogue officiel de la section française : Exposition universelle de Barcelone, 1888, p. 131 (archive.org) PARIS - "95. LEVÊQUE et THERSEN, à Paris, rue Duhesme, 15. — Pianos droits." Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 7 (gallica.bnf.fr) PARIS - "Messieurs Lefeque [sic] et Thersen, Paris - The interior of a well-made black-cased upright by this firm is a credit to them. Another made in two woods looks well; also one that has veneer panellings of dull polished wood upon a foundation of brightly polished wood. Several awards of silver and bronze medals are shown here." The Music Trade Review, 1889, p. 78    Paris 16, rue Duhesme (1882)(1885)(y1888)(arr.18) 32, rue de la Fontaine-du-But (**1880)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(arr.18)  15, rue Duhesme (xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(arr.18)  18, rue Duhesme (*1893)(*1895)(1896)(*1897)(**1898)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(arr.18) 'Facteurs de pianos' et facteur et/ou marchand de harmoniums ca. 1882-1907 LEVÊQUE & THERSEN en 1882 : 1882 - "Paris.— Formation de la Société en nom collectif LEVÊQUE et THERSEN, fab. de pianos, rue Duhesme, 16. — Durée : 10 ans. — Cap.: 20,000 fr. — Acte du 22 juin 1882. —A. P." Archives commerciales de la France, 13/07/1882, p. 947 (gallica.bnf.fr)   -  Journal des sociétés civiles et commerciales, 11/1882, p. 97 (gallica.bnf.fr) 'Pianofabrikant' (xx1890) LEVÊQUE & THERSEN & Cie en 1896 : 1896 - "Paris. — Formation. — Société en nom collectif LÉVÈQUE et THERSEN, fab. de pianos, 18, Duhesme. — 15 ans. — 30,000 fr. — 12 juin 96. —A. P." Archives commerciales de la France. 24/06/1896, p. 789 (gallica.bnf.fr) LEVÊQUE (z1900)(z1902) THERSEN & Cie (Successeur de LEVEQUE & THERSEN (°1899)) - voir ci-dessous Plus tard : 'THYSSEN & LEVÊQUE'   Médaille d'argent Anvers, 1885 | Médaille d'argent Paris, 1885 | Liste des exposants Barcelone, 1888 | Médaille d'argent Paris, 1889 | Liste des exposants Chicago, 1893 | Médaille d'argent Paris, 1889   PETITQUEUX Gustave (1871 - 1956) 1880   VOIR AUSSI ...   PETIQUEUX à Mézieres INFO EXTRA PETITQUEUX-HILLARD G.   Bagnolet (Seine) Lourdes 23, rue des Petits Champs (*1913)(**1914) à Bagnolet puis Domaine de Biscaye (x1926)(*1929) à Lourdes   Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1880-1929 Bagnolet PETITQUEUX Gustave (1871-1956) 1878 - "Paris. — Mme PETITQUEUX (Honoré-Gustave), née Lemarinier, a été séparée de son mari, accordeur d'orgues, ci-devant boul. Voltaire, 171 bis, et actuellement rue de Charonne, 105. — Jug. du 6 juin 1878. — A. P. du 15 juin 1878." Archives commerciales de la France, 16/06/1878, p. 772 (gallica.bnf.fr) PETITQUEUX-HILLARD [G.] (**1914)(x1926)(*1929) Lourdes PETITQUEUX-HILLARD (x1926) 'Harmonium-Fabrik, Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1926) ------- 'Manufacture d'harmoniums' & 'Organier d'Art'(*1929) - "Petitqueux-Hillard (G.), PIANOS « HARPE CÉLESTE » rue des Petits-Champs, 23. à Bagnolet (Seine)." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1914, p. 2787 (gallica.bnf.fr)     SAUVAGE A. 1880 Marseille 47, rue Terrusse (xxx1892)(xxx1893) 1, rue Barbaroux (xxx1897)(xxx1898)(xxx1906)(yy1907)(xxx1908)(xxx1909)(xxx1912)(*1913)(*1919)(**1921)   Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1892-1921 Il y avait un SAUVAGE qui était 'vernisseur' chez PLEYEL dès 1852 (²⁰) Et probablement élève de RODOLPHE (°1860) : 1862 - "Atelier de M. Rodolphe -  MM. Grimai, Rebourg, Thuault, Gamichon, Millet; Boudeaux, Jouffroy, Loidreau, Rouxel, Sauvage, Bib, H. Titeux." Rapports des délégués facteurs de pianos des délégués facteurs d'orgues-harmoniums et des délégués facteurs d'instruments en cuivre et en bois..., Délégations ouvrières à l'exposition universelle de Londres en 1862, p. 54 (gallica.bnf.fr) SAUVAGE A. (xxx1892)(xxx1893)(xxx1897)(xxx1898)(xxx1906)(yy1907)(xxx1908)(xxx1909)(xxx1912)(*1913)(*1919)(**1921) Voir aussi SAUVAGE Jouanin, mêmes adresses     STRANSKY Frères     Image d'un piano droit dans une pub de 1898-1901 : "STRANSKY FRÈRES, PIANO MÉCANIQUE ET ÉLECTRIQUE, piano (7 octaves) permettant aussi bien de jouer à la main que mécaniquement à l'aide de cartons changeables, et automatiquement par l'Electricité (Adaptation DIRECTE et INVISIBLE du mécanisme à tous les pianos), 20. RUE PARADIS, 20, et BOUL. DES ITALIENS, 12." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1901, p. 2310 (gallica.bnf.fr)     "PIANOS PNEUMATIQUES IDÉAL à électricité et à pédales PIANO-ARTISTE reproduisent d'une façon merveilleuse la musique jouée par le s grands maîtres; se jouent également au doigté." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1914, p. 2789 (gallica.bnf.fr) 1880   Pianos droits, pianos automatques et radios (Cinémaphone, Cyrano, Idéal, ... ) Piano mécanique, Musée de la musique mécanique des Gets Piano automatique n° 9695 de 1895-1900, Musée du piano Limoux, France "[...] M. Mugnier a pris, le 6 mai 1892, un brevet d'invention, pour un système de commande électrique pour pianos mécaniques et autres instruments analogues, et les 18 octobre 1893 et 3 mai 1893 deux certificats d'addition se rattachant à ce brevet. Prétendant que M. Stransky fabriquait des pianos semblables à ceux brevetés, il fit pratiquer une saisie chez ce dernier et l'assigna devant le tribunal correctionnel de la Seine. [...]" Annales de la propriété industrielle, artistique et littéraire, 1895, p. 292 (gallica.bnf.fr) - Voir MUGNIER. "À Paris, les frères Stransky, marchands de pianos qui avaient élargi leur domaine de vente aux matériels pour cinémas [appareils de bruitage, pianos mécaniques], avaient lancé, vers 1907-1908, un systeme de synchronisation." dans 'Cinémas de France', 1894-1918 : une histoire en images, Jean-Jacques Meusy, 2009. "Edmund and Charles Stransky are believed to be the manufacturers of a type of mechanical piano called the Pianotist de Hupfield. This property was formerly owned by the Stransky family and is by direct descent to the present owner." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1898, p. 338 (gallica.bnf.fr) "MAISON MUSICALE du Boul. des Italiens - Pianos mécaniques se jouant à la main et mécaniquement à l'aide de cartons perforés, et automatiquement par t'Electricité. Pianos mélodieux de ti et 6 octaves. Grand succès, STRANSKY FRÈRES, boul. des Italiens, 12, et rue Paradis, 20." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1898, p. 2147 (gallica.bnf.fr)   Paris 12, boulevard des Italiens (**1898)(z1900)(z1902)(x1906)(**1907)(**1912)(x1912)(**1913)(arr.9) 20, rue de Paradis (y1889)(xx1890)(x1894)(*1895)(*1898)(**1898)(z1900)(z1902)(x1906)(**1907)(x1907)(*1910)(*1911)(x1912)(*1913)(**1913)(arr.10) 1, Galerie du Baromètre, Passage de l'Opéra (**1910)(**1911)(**1912)(**1913)(arr.9)   Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1890-1913 Agents à Paris pour Hupfeld et Racca, pianos électriques, orchestrions, ... 'Pianohandlung' (xx1890)(x1906) 'Pianos mécaniques et électriques' (z1900)(z1902) 'Piano-Handlung' - 'Auch elektr. Klaviere, Phonolas' (x1912) "M. Edouard STRANSKY - Le fondateur de la maison bien connue Stransky frères, dont les pianos et instruments de musique mécanique font de par le monde la joie des grands et des petits; et le désespoir des virtuoses auxquels ils font une terrible concurrence. Installé à Paris depuis l'année 1877, il y a fondé, voilà plus de vingt ans, en 1880, la maison de la rue de Paradis dont la prospérité n'a cessé de grandir. Membre du jury aux expositions de 1885 et de 1889 et à celle de l'Enfance en 1901, il a fait partie en 1889 et en 1900 des Comités autrichiens de ces deux expositions universelles. Il est en outre, depuis 1889, membre du Comité de la Chambre de Commerce austro-hongroise, et collabore avec un grand dévouement, aux travaux de la Société de Bienfaisance, et de la Caisse des Ecoles du dixième arrondissement. M. DE LIGNEREUX." Le Figaro, 29/07/1902, p. 2 (gallica.bnf.fr) (la suite) "Autopianiste (L'), servant à jouer mécaniquement sur le piano tous morceaux complets à l'aide de cartons changeables (adaption directe et invisible du mécanisme à tous les pianos). Stransky Frères, rue de Paradis, 20. téléph. 218.11." Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce, 01/01/1907, p. 1666 (gallica.bnf.fr) "On descend au rez-de-chaussée où l'on entend un virtuose sur le piano. Le virtuose, c'est un piano mécanique de MM. Stransky frères, qui exposent aussi des pianos électriques. Pianos électriques Nous ne comprenons pas. On nous exlique c'est merveilleux. Nous avions étà, pendant l'Exposition, la cuisine à électricité dans tous les restaurants; nous avons maintenant la musique à l'électricité, et c'est une merveille ! Quel est l'artiste qui a réglé ces acéords et ces modulations ? Nous l'ignorons, mais le fait est que le résultat est parfait! Nous sommes même (quelque peu attrapé en voyant que cette musique qui nou's a attiré est le résultat d'un simple piano mécanique. Il est vrai que ce sont des pianos à queue d'une fabrique excellente." Le Figaro, 05/05/1901, p. 3 (gallica.bnf.fr) "STRANSKY FRÈRES - PIANOS PNEUMATIQUES IDÉAL à électricité et à pédales PIANO-ARTISTE reproduisent d'une façon merveilleuse la musique jouée par le s grands maîtres; se jouent également au doigté. PIANO À PÉDALES. Piano de 1re marque actionné par les pédales. PIANOS DROITS ET À QUEUE - des 1res marques du monde. Spécialité d'instruments-orchestre pour Cinémas avec 12 rouleaux de inchangé à l'intérieur. Orgues de salon automatiques électriques, 20, R. DE PARADIS, 20, et BOUL. DES ITALIENS. 12." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1914, p. 2789 (gallica.bnf.fr)   Médaille d'or Toulouse, 1881 | Diplôme Vienne, 1882 | Hors Concours Paris, 1889 | Médaille d'or Edimbourg, 1890 | Médaille d'or Toulouse, 1891 | Diplôme d'honneur Vienne, 1892 | Médaille de Vermeil Paris, Exp. du Livre, 1894 | Diplôme de médaille de bronze Lyon, 1894 SOUBEIRAN Joseph 1881 Marseille   152, rue de Rome (yy1882)(yy1883) 9, cours Lieutaud (xxx1885)(xxx1886) 15, cours Lieutaud (xxx1892)(xxx1893)(xxx1897)(xxx1898) 5, rue Grignan (x1906)(xxx1906)(yy1907)(xxx1912)(*1913)(*1919)(**1921)   Facteur et/ou marchand de pianos, harmoniums et facteur d'orgues ca. 1882-1921 'Musikal.-, Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1906) SOUBEIRAN J., GROS & MAYER (**1921)    COUESNON 1882   CATALOGUE Quelques modèles de pianos de COUESNON en 1894, dans Guide pratique des sociétés musicales et des chefs de musique, E. Guilbaut, 1894, p. 250-253 (gallica.bnf.fr)   Paris Château-Thierry MAGASIN : 90, rue d’Angoulème (1883)(arr.11) 94, rue d’Angoulème (1889)(x1890)(xx1894)(**1907)(x1912)(*1913)(**1914)(**1921)(arr.11) rue Lafayette (*1913)(arr.11) à Paris FABRIQUE : Quai de la Marne (x1912) à Château-Thierry   En 1896 : 200 ouvriers à sa fabrique de Château-Thierry En 1911 : 1000 ouvriers dans ses huit usines   Facteur (d'instruments) et/ou marchand de pianos droits et instruments de cuivre ca. 1883-1921 En 1882 établi par Amédée Auguste COUESNON fils reconnu de Gautrot Aîné (voir Gautrot Aîné, qui a assuré les fonctions de directeur de “Gautrot-Durand et Cie” la maison s’appellera “COUESNON, GAUTROT-DURAND et Cie”. - Voir un GAUTROT à Paris COUESNON-GAUTROT & Cie successeurs (1883) En 1888 elle devient “COUESNON et Cie”, et en 1890 elle se déclare comme “La plus importante manufacture d’instruments au monde”. COUESNON & Cie (Anc. Gautrot aîné & Cie) (1889)(x1890)(**1907)(x1912)(*1913)(**1914)(**1921) 'Holz- u. Metallblasinstr.-Fabrik' (x1912) 'Piano- u. Harmonium-Handlung' - 'Gebrauchte Pianos' (x1912) Les pianos de COUESNON pouvaient être fabriqué par LEGUERINAIS (°1856)   Médaille d'argent, 1883 | Médaille d'or Paris, 1889 HAYOTTE Pub de 1909 Pub de 1919 Pub de 1921 1882   1905 - "L'Incendie de la rue de Charonne. Un passant attardé, qui, hier matin, vers deux heures, remontait la rue de Charonne, aperçut une épaisse colonne de fumée s'élavant au-dessus d'ateliers situés au numéro de cette rue. Il donna l'alarme aussitôt. Le feu venait, en effet, de se déclarer dans une fabrique de pianos dirigée par M. Hayotte, installée au deuxième étage d'un bâtiment donnant sur la cour dite cour des Sureaux." Le Petit Parisien, 11/06/1905, p. 3 (gallica.bnf.fr) "HAYOTTE (Ernest Hayotte succ.). Maison fondée en 1882. Spécialité de réparations de pianos. Se chargeant de tous travaux sur plans ou sur modèles. Maison spéciale pour MM. les marchands et facteurs, r. de Reuilly, 125." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1907, p. 2494 (gallica.bnf.fr) VOIR AUSSI ... un certain HAYOTTE à Paris vers 1865   Paris 72, rue Crozatier (**1885)(**1888)(xx1890)(*1893)(*1895)(arr.12) 176, rue de Charonne (*1902)(z1902)(*1903)(**1904)(*1905)(x1906)(arr.11) 125 [bis], rue de Reuilly (*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914) (*1919)(1932)(*1935)(arr.12)   'Manufacture de pianos' droits ca. 1885-1935 [depuis 1882 (z1902)(**1907)] 'Spécialité de réparations, travaux sur plans et sur commande.' HAYOTTE Ch. (**1885)(**1888)(y1889)(xx1890) 'Pianofabrikant' (xx1890) HAYOTTE [Ernest] Fils, successeur (*1902)(z1902)(*1903)(*1905)(x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(x1912) 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912) HAYOTTE E. (1919) HAYOTTE M., successeur en 1932 : 1932 - "Vendeur : Hayotte (E. J.) - Acquéreur : Hayotte (M.) - Domicile élu pour les oppositions : Me Thouvenot, notaire, 22, Parc - Fonds vendu : Facteur en pianos, 125 bis, r. de Reuilly - A. P." Archives commerciales de la France, 23/05/1932, p. 2206 (gallica.bnf.fr) 1935 - "HAYOTTE, 125 bis, r. de Reuilly, Paris, 12e. T. Diderot 13-99. Réparation de pianos. Réparation et transformation des appareils pneumatiques. (17-241823)." Annuaire industriel. Répertoire général de la production française, 1935 (gallica.bnf.fr)   PLANCHAT 1883   VOIR AUSSI ... ... un autre  PLANCHAT à Paris   Cognac   8, Place de la Corderie (étiquette)(*1905)(*1906)(x1906)(*1910)(x1912) 2, rue Boulevard (*1913) 4, rue du Boulevard (**1921)(x1926)(*1929) Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1905-29 [depuis 1883 (x1926)] 'Manufacture de pianos' (voir étiquette à gauche) PLANCHAT E. (?) PLANCHAT de GRAEF (?) PLANCHAT Mme. Vve. [A.] (*1905)(*1906)(x1906) 'Facteur de pianos et d'orgues' (*1905)(*1906) ------ 'Musikal.- u. Piano-Handlung' (x1906) ------- 'Musikal.-, Piano-, Harmonium-, Musikinstr.- u. Phonographen-Handlung' (x1912) ------- 'Musikal.-, Piano-, Harmonium-, Musikinstr.- u. Sprechm.-Handlung' (x1926) PLANCHAT [Ed.] Vve. [Marguerite]  (*1910)(x1912)(*1913)(**1921)(x1926) PLANCHAT Louise (*1929)     BERMOND | BERMAND   1884   "BERMOND (A.), A., r. Ste-Catherine, 9, fournisseur du Conservatoire, pianos de tous facteurs, réparations, accords, vente et location." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1909, p. 718 (gallica.bnf.fr) "Pianos A. Bermond - 9, rue Ste-Catherine, Bordeaux - Principal agent des premières marques : Erard, Pleyel, Gaveau, Elcké, etc., depuis 600 francs. — Locations, ventes, échanges, etc. — Succursale à Royan, rue Gambetta, 26. — Ouvert toute l'année." Annuaire du tout Sud-Ouest illustré : comprenant les grandes familles et les notabilités de Bordeaux et des départements de la Gironde, de la Charente-Inférieure, de la Charente, de la Dordogne, du Lot-et-Garonne, des Landes et des Basses-Pyrénées, 1909, p. 1127 (gallica.bnf.fr)   Bordeaux Royan   MAISON PRINCIPALE : 8, rue Sainte-Catherine (xx1890)(*1893)(*1895)(*1896) 9, rue Sainte-Catherine (*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(*1910)(x1912)(*1913)(**1921)(x1926) 3, rue Saige (F1913) 27, rue Gambetta (*1929) à Bordeaux SUCCURSALE : 26, rue Gambetta (x1912) 27, rue Gambetta (**1921)(1930) à Royan     Facteur et/ou marchand de pianos et orgues ca. 1884-1929 [depuis 1845 (*1913)(x1926)] Bordeaux BERMOND A[lbert] (*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(*1910)(x1912)(*1913)(**1921)(*1929) 'Pianohandlung' (xx1890) ------- 'Geigenbauer, Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung u. Reparatur-Werkstatt' (x1906) ------- 'Händler mit Pianos, Harmoniums u. Musikinstr.' (x1912)(x1926) BERMOND Jean, fils et successeur, dès 1931 (*1957). 1930 - Succursale à Royan : repris par PETIT en 1930. (Archives commerciales de la France, 15/12/1930, p. 6720 (gallica.bnf.fr)) Royan 'Musiklehrer, handelt auch mit Pianos u. Harmoniums' (x1912) à Royan TÊTE D'UNE FACTURE   LAULETTA 1884 "LAULETTA, Spécialité de pianos d’occasion de toutes marques, très bon marché, réparations et location, rue des Fossés-St-Jacques, 26." Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce, 1900, p. 1307 (gallica.bnf.fr) Paris   26, rue des Fossés-Saint-Jacques (z1900)(z1902)(arr.5) 24, rue Bonaparte (**1904)(arr.6) 84, rue Bonaparte (*1903)(x1906)(**1907)(*1909)(*1910)(*1913)(yy1914)(arr.6)     Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1900-13 LAULETTA A. (*1903) Repris par MASINI & LAULETTA (yy1914) - Voyez MASINI       POULALION   1884 "MAISON MUSICALE (LA), fondée en 1884. Pianos, location et vente 10 {r. et 25 fr. par mois. Musique, mandolines, violons, r. des Petits-Champs. 35, 37 et 39. - Succursale à Vichy, pass. Giboin, 2." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1898, p. 2147 (gallica.bnf.fr) Paris Vichy   MAISON PRINCIPALE : 35, rue des Petits Champs (1894)(arr.1) 37-39, rue des Petits Champs (1897)(arr.1)  35-37-39, rue des Petits Champs (*1893)(*1896)(*1897)(**1898)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(*1910)(x1912)(*1913)(**1921)(arr.1) 35-37, rue des Petits-Champs (z1902)(arr.1) SUCCURSALE : 2, Passage Giboin (**1898)(x1906)(*1913) à Vichy     Facteurs et/ou marchand de pianos droits et editeurs de musique ca. 1893-1921 [depuis 1884 (**1898)] Vendait des pianos sous le  nom 'MAISON MUSICALE." POULALION  & J. ACCURSI [ACCURCI] (*1893) 1893 - "Dissolution de Sociétés. [...] Poulalion et J. Accuri (maison musicale) vente et achat de pianos, rue des Petits-Champs, 35, 37, 39." Le Radical, 08/07/1893, p. 4 (gallica.bnf.fr)  - "Paris. — Dissolution. — 2 mai 93. — Société POULALION et J. ACCURSI, édition de musique, pianos, lutherie, instruments dé musique, 35, 37, 39, Petits-Champs.— L. M. Poulalion. — G. P." Archives commerciales de la France. 10/06/1893, p. 698 (gallica.bnf.fr) POULALLION J. (x1906) 'Musikal.- u. Piano-Handlung' (x1906)(x1912)   Médailles pour l'éditeur de musique : Liste des exposants Anvers, 1894 | Médaille d'argent Bruxelles, 1897 SCHINDLER A.             1884   "A. SCHINDLER - Médailles d'or. Maison spéciale grand choix de pianos et harmoniums d'occasion de tous facteurs : Erard, Pleyel, Herz, etc. Achat, vente, location, échange, accords. RUE DE RIVOLI, 9. Téléph. 137.39. SUCCURSALES : R. DE MONCEAU, 3. Téléph. 519.59. & R. FRANÇOIS-MIRON, 39, ATELIERS : R. DE JOUY, 8." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1907, p. 2495 (gallica.bnf.fr) PIANOS - A. SCHINDLER - Pianos dr tous facteurs neufs et d'occasion: ERARD, PLEYEL, GAVEAU. Grand stock de pianos. PIANOS PNEUMATIQUES ET ÉLECTRIQUES D'OCCASION DES MEILLEURES MARQUES. REPRÉSENTANT DU CÉLÈBRE PIANO PLAYER AMÉRICAIN ANGELUS. Achat, vente, location. ÉCHANGE, ACCORDS. Facilités de paiement. R. DE MAUBEUGE, 7bis. T. Gut. 37.39. SUCCURSALE : R. DE MONCEAU, 3. T. Wagram 19.59." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1914, p. 2788 (gallica.bnf.fr) PUB Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce, 01/01/1931, p. 1967 (gallica.bnf.fr)   Paris 11, rue Vieille-du-Temple (xx1890)(arr.4) 9, rue de Rivoli (***1894)(**1898)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(arr.4) SUCCURSALE : 1 & 3, rue de Monceau (1894)(arr.8) 39, rue François-Miron (**1898)(z1900)(z1902)(**1907)(arr.4) ATELIERS : 59-39, rue François-Miron (x1906)(arr.4)  7 bis, rue de Maubeuge (*1910)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(x1922)(z1931)(1934)(arr.9) USINE : 72, rue Brillat-Savarin (*1922)(arr.13) ATELIERS : 8, rue de Jouy (z1902)(x1906)(**1907)(arr.4) USINE : 72-76 rue Brillat- Savarin (z1931)(*1935)(*1938)(arr.13) SUCCURSALE : 3, rue de Monceau (**1898)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(**1913)(**1914)(**1921)(x1922)(*1929)(z1931)(1934)(arr.8)   Facteur de pianos droits, pianos à queue et harmoniums ca. 1890-1938 [depuis 1884 (z1931)] En 1884, Auguste SCHINDLER fabrique le premier piano SCHINDLER. Il a construit "des pianos solides et de bonne sonorité", selon Mario Pizzi (auteur de 'Histoire du piano de 1700 à 1950). "Quelques petits facteurs français ont essayé de continuer, comme Schindler, fondé en 1884 par Auguste Schindler. Il avait construit son usine à Paris en 1922, 72, rue Brillat Savarin." (¹) Après 1930 il a repris la manufacture de Ernest FOCKÉ (°1860)(¹). SCHINDLER A[uguste] (1894)(z1900)(z1902) SCHINDLER Jacques Auguste (x1906)(x1912) 'Piano-Handlung' (x1906)(x1912) 1921 - 'Pianos et pianos pneumatiques' (**1921) SCHINDLER A[d.] (yy1914)(x1922)(z1931) SCHINDLER J. (avant 1934) SCHINDLER P. en 1934 : 1934 - "Vendeur : Schindler J. - Acquéreur : Schindler P. - Domicile élu pour les oppositions : Me Chauvin, notaire à Suresnes, 81, rue de Verdun - Entrée en jouissance : de suite - Fonds vendu : Clientèle et achalandage du fonds de location et vente de pianos, 7 bis, rue de Maubeuge - Ann. S. (19 janv.)." Archives commerciales de la France, 24/01/1934, p. 528 (gallica.bnf.fr) SCHINDLER G. Fils en 1934 : 1934 - "Vendeur : Schindler (J.) - Acquéreur : Schindler (G.) fils - Domicile élu pour les oppositions : Me Chauvin, notaire, 81, rue de verdun - Fonds vendu : Donation des éléments incorperels d'un fonds de pianos, 3, rue de Monceau. - Ann S. (29 déc.)" L'usine est alors située à Paris, dans le 13ème arrondissement. La production de pianos a été maintenue par les descendants directs: Paul, Gaston, ses deux fils et plus tard, vers 1946 avec Jacques et Claude SCHINDLER, ses petits-fils. En 1946 le petit-fils du fondateur Claude SCHINDLER repris la suite et fabriqua encore quelques années, jusqu'à l'incendie de l'usine qui a conduit à l'arrêt définitif de l'activité. C'était Claude SCHINDLER qu'a construit un bon piano droit pendant quelques années, qu'était solide et avec une bonne sonorité, selon Mario Pizzi. Les pianos SCHINDLER sont connus pour leur modèle de piano meuble avec clavier rabattable, dont certains modèles ont été installés sur des bateaux. Ils doivent également leur notoriété aux témoignages de compositeurs et pianistes (Maurice Ravel ...). Ce facteur a aussi fabriqué des pianos pour : ROSSI VIALLIS (°?) | SEEGER (°?) | WEINGARTNER (°1849)   Mention honorable Anvers, 1894 | Grand prix fact. coll. Bruxelles, 1897 HANEL, BENARD & Cie     1885 PARIS - "138. Société des Facteurs de pianos de Paris, Hanel Bénard et Cie, à Paris, rue des Poissonniers, 54. — Pianos modèles grand oblique, cordes croisées, quart oblique." Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, p. 9 (gallica.bnf.fr) "HANEL BÉNARD ET Cie, Société des Facteurs de pianos de Paris, fondée en 1849, Manufacture de 1er Ordre, médailles d'or et d'argent à toutes les expositions universelles et nationales de Paris, Londres, Nice, Bordeaux, etc., fabrique et magasin, rue des Poissonniers, 54." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers : Firmin Didot et Bottin réunis, 1889, p. 1830 (gallica.bnf.fr) Une société des marques différents : BOUVIER, CARRÈRE, CASTELAIN, CHAMP-RAMEAU & CIE (°1905), CORNIBÉ, DÉTIR, GERVEX (°1848), HANEL BENARD & Cie (°1885), LECLERC, LISSARRAGUE de Versailles, LOUBENS, LOWELS, PETERSDORFF, REITTER, SCHLACHTER, YOT-SCHRECK (°1849), ZINKERNAGEL, ... HANEL-BÉNARD & Cie Société des Facteurs de Pianos de Paris (anc. HANEL-Ansel & Cie).   Paris 64, rue des Poissonniers, Paris (18??)(arr.18) 54, rue des Poissonniers  (**1888)(xx1889)(x1890)(xx1890)(*1893)(x1894)(*1895)(*1896)(*1897)(arr.18) Magasins : rue Lafayette (*1893)(*1895)(*1896)(*1897)   'Facteurs de pianos' droits et pianos à queue ca. 1888-97 SOCIÉTÉ DE FACTEURS DE PIANOS DE PARIS p. 363-364 ('Manuel du Spéculateur à la bourse', 1855) "Il est assez rare qu’une association ouvrière ait une existence durable, la 'Société des facteurs de pianos'  fondée en 1849 s’est cependant maintenue 50 ans. En 1867, sous la raison sociale YOT, SCHRECK et Cie, elle obtint une mention honorable ; vers 1870, M. HANEL  remplaça M. SCHRECK (°1849) (et vers 1873 M. ANSEL remplaca M. YOT), et aux expositions de 1889, il représenta l’association avec M. BÉNARD (méd. de bronze). Leurs instruments sont bons et de prix raisonnables." Les facteurs d'instruments de musique: les luthiers et la facture instrumentale : précis historique, Constant Pierre, E. Sagot, 1893 Successeurs des anciens maisons YOT E., SCHRECK (°1849) et YOT HANEL & Cie (°1870) HANEL-BÉNARD & Cie Société des Facteurs de Pianos de Paris (anc. HANEL-Ansel & Cie) Association ouvrière (1889), pour information de la Société, voyez 1849. 1885 - "Paris. — Modification de la Société HANEL, ANSEL et Cie dite Société des facteurs de pianos de Paris, rue des Poissonniers, 54, devenue HANEL, BENARD et Cie.— Délib. du 23 avril 1885. J.g.d'A." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 30/04/1885, p. 571 (gallica.bnf.fr) 1886 - "Paris. — Réélection de M. Ackermann comme gérant de la Société des facteurs de pianos HANEL, BÉNARD et Cie, rue des Poissonniers, 15 ; — admission de MM. Mouillon et Vaquier et démission de M. Muller. — Délib. des 30 juin et 16 juil. 1886. — J. g. d'A." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 28/07/1886, p. 931 (gallica.bnf.fr) 1886 - "Paris. — Modification de la Société : des facteurs de pianos de Paris HANEL, BÉNARD et Cie, rue des Poissonnière, 54, par l'admission de M. Achille Graus. Délib. du 12 oct. 1886. — J. g. d'A." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 27/10/1886, p. 1474 (gallica.bnf.fr) 1889 - "Paris. — Modification de la Société des facteurs de pianos de Paris HANEL, BENARD et Cie, rue des Poissonniers, 54, par suite du retrait de MM. Ackermann, Jenger, Jeannin et Pop. — Délib. du 15 mai 1889. — J. g. d'A. " Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 01/06/1889, p. 707 (gallica.bnf.fr) 'Pianofabrikant' (xx1890) 1892 - "Paris. — Modification. — Société HAKEL, BENARD et Cie, Société des Facteurs de Pianos, 54, Poissonniers. — Nomination de M. Hanel comme gérant, en remplacement de M. Champ. — Délib, du 1,8 août '92. — P. A. " Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 27/08/1892, p. 1078 (gallica.bnf.fr) 1893 - "Paris. — Modification. — Société HANEL, BENARD et Cie. Société des Facteurs de Pianos, de Paris, 54, Poissonniers, Admission de MM. Rameau et Nicolle, comme sociétaires. - Délib. 26 oct. 93.— P. A." Archives commerciales de la France, 15/11/1893, p. 1358 (gallica.bnf.fr) 1894 - "Paris. — Modifications des statuts; — Société HANEL, BÉNARD et Cie, facteurs de pianos, 54, Poissonniers.— Radiation par suite de décès, de M. Patrocle-Aulauvre. — Délib. du 15 oct. 94." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 07/11/1894, p. 1350 (gallica.bnf.fr) 1897 - "Paris. Modification. Société HANEL, BÉNARD et Cie, Société des facteurs de pianos de Paris, 54, Poissonniers. Retrait de M. Belhache de la société. Délib. du 16 fév. 97." (*1897), voyez BELHACHE. CHAMP BENARD & Cie ou BÉNARD CHAMP & Cie dès 1897, voir sur cette page, ci-desous.   Médaille de bronze Paris, 1889 | Diplôme de médaille d'argent Lyon, 1894 BESNARD | BENARD 1886     Paris   26, rue Bertrand (**1901)(*1902)(z1902)(**1904) (arr.7)  Magasin : 112, rue de Sèvres (x1906)(**1907)(x1907)(*1909)(*1910)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912) (*1913)(**1914)(arr.6) 85, rue Blomet (***1910)(arr.15) ATELIERS : 155, rue de Sèvres (**1898)(x1906)(x1907)(**1907)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1914)(arr.6)   'Facteur de pianos' droits ca. 1898-1914 BESNARD L. (***1910), 'Facteur de pianos' BESNARD F. (x1906)(**1907)(x1907)(*1910)(*1913)(**1914), 'Réparateur de pianos' 'Marchand de pianos et orgues' (x1912) "BESNARD (F.), pianos neufs à cadres en fer, d'une grande richesse de sonorité et d'un clavier agréable, pianos d'occasion de toutes marques. Spécialité de réparations. Achats, échanges, accords; ateliers, r. de Sèvres, 155 ; maison de vente, 112, R. DE SÈVRES, 112." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1907, p. 2492 (gallica.bnf.fr)   BURGASSER Lucien (1853 - 1922)   &   THEILMANN             1887   Piano droit ca. 1907, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique Piano droit début 20ème, Hôpital Général, Dijon, France BURGASSER sur ce site   EXPOSITIONS ARTICLES Cliquer sur les liens ci-dessus. "PROUW-AUBERT (de), boulevard du Temple, 35. — Fabrication de premier ordre, médaillée aux Expositions universelles de Paris, Havre, Amsterdam. — Cadres en fer, Cordes croisées. — Facilités et grande remise aux artistes." Annuaire général de la musique et des sociétés chorales et instrumentales de France, 1888, p. 122 "Manufacture de Pianos - FONDÉE en 1846 - L. BURGASSER & Cie - BUREAUX ET MAGASINS : 37, boul. du Temple - FABRIQUE : 50, rue des Orteaux (XX° arrondissement) RÉCOMPENSES OBTENUES AUX EXPOSITIONS INTERNATIONALES : Paris 1878, Médaille de bronze; Amsterdam 1883, médaille d'argent ; Paris; 1889, mention honorable; Chicago 1893, hors concours ; Anvers 1895, médaille d'or ; Amsterdam 1893, médaille d'or. -  RÉCOMPENSES OBTENUES AUX EXPOSITIONS RÉGIONALES : Havre 1868, médaille d'argent; Paris 1875, médaille de bronze; Paris 1894, Palais de l'Industrie, hors concours, membre du jury ; Paris 1894, Champ de Mars, médaille d'or. TÉLÉHONE." L'Exposition du théâtre et de la musique, Paris, 1896 : catalogue officiel de l'Exposition, 1896, p. 85 (gallica.bnf.fr)   Paris 37, boulevard du Temple (xx1889)(x1890)(*1893)(***1894)(*1895)(*1896)(*1897)(**1898)(y1898)(z1900)(*1902)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(x1907)(*1909)(*1910)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(1923)(**1925)(z1931)(a)(z1932)(*1935)(*1938)(arr.3) USINE : 93, rue Oberkampf (xx1889)(arr.11) 33, boulevard du Temple (xx1894)(arr.3)  Fabrique : 50, rue d'Orteaux (1896)(**1898)(z1900)(z1902)(x1906)(**1907)(x1907)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(1923)(**1925)(z1931)(b)(z1932)(*1935)(1938)(arr.20) 50 ouvriers et 23.000 pianos en 1939   'Manufacture de pianos', 'Facteurs de pianos' droits et pianos à queue ca. 1889-1938 [depuis 1889 (DE PROUW) ou depuis 1846 (x1906)] En 1889, il prend la succession de la maison De PROUW AUBERT (°1844), 'ancienne fabrique de piano et pianoforte'; (x1912) BURGASSER L. a été apprenti-facteur de piano dans plusieurs ateliers parisiens avant fonder sa propre marque. Il établit une manufacture rue d'Orteaux à Paris avec une cinquantaine d'ouvriers et un associé qui dirige la fabrication, Mr. THEILMANN, alors qu'il conçoit lui même les plans de ses pianos. BURGASSER L. & Cie (x1890)(*1895) "M. Burgasser, qui est un élève de la maison Herz et qui travailla plusieurs années dans la manufacture Pleyel, entra ensuite, il y a vingt ans, dans la maison de Prouw-Aubert en qualité d'égaliseur-accordeur. Puis il passa, en 1883, chef de l'atelier de construction des tables d'harmonie, et, un peu plus tard, contre-maître de la maison ; enfin, directeur de la fabrique. [...] M. H. Theilmann, qui était l'un des ouvriers de la maison et qui avait donné les preuves de ses capacités, comme tableur-finisseur et égaliseur." Revue illustrée de l'Exposition universelle. Organe de l'Exposition de 1900, 25/01/1898, p. 8 (gallica.bnf.fr) Ils construisaient ses premiers pianos à queue en l'année 1898. 1902 - Mais en 1902, on trouve BURGASSER comme : BURGASSER & Cie, L. BURGASSER & THEILMANN (z1900)(*1902)(*1913)(**1921) "Burgasser (Lucien), président de la chambre syndicale des fabricants de pianos et orgues à Paris." Bulletin officiel, Volume 74, 1904, p. 460 'Piano-Fabrik' (x1912) 1923 - "Vendeur : Burgasser (Vve) - Acquéreur : Theilmann - Domicile élu pour les oppositions : Hussenot - Desenonges, not., 393, Pyrénées - Fonds vendu: Nue-Propriété moitié Société Veuve Burgasser et Theilmann (fonds de pianos), 37, Temple et fab. 50, Orteaux." Archives commerciales de la France. 01/08/1923, p. 1191 (gallica.bnf.fr) BURGASSER & Cie (z1931)(z1932)(a) L. BURGASSER & THEILMANN (z1931)(b) "BURGASSER (L.) et Cie, 37, bd du Temple, Paris, 3e. T. Arch. 33-16. Usine : à Paris, 50, rue des Orteaux. H. Theilmann, directeur. Facteurs de pianos. (17-13/197)." Annuaire industriel. Répertoire général de la production française, 1935 (gallica.bnf.fr) Ses pianos droits son équipés du cadre en fonte et cordes croisées dès 1920 avec mécanique SCHWANDER. Pub. de 1921 Ce facteur a fabriqué des pianos pour les marques suivantes :  DELANERIE (°?)(Paris) | MANUFACTURE PEAUCELLE-COQUET (°1860)(Paris) INFO EXTRA Burgassers in Paris (pono.ucsd.edu)    Mention honorable Paris, 1889 | Médaille d'argent Amsterdam, 1893 | Hors concours Chicago, 1893 | Hors concours Paris, 1894 | Médaille d'or, Champ de Mars, Paris, 1894 | Médaille d'or Anvers, 1894 | Médaille d'or Amsterdam, 1895 | Médaille d'or Anvers, 1895 | Grand prix Calais, 1896 | Diplôme d'honneur Bruxelles, 1897 | Médaille d'or Paris, 1900 | Grand Prix Louisiane, 1904 | Grand Prix Liège, 1905 Hors concours, Milan, 1906 | Liste des exposants Bruxelles, 1910 | Liste des exposants Turin, 1911 | Liste des exposants Gand, 1913 PLEYEL-LYON Gustave LYON (1857 - 1936)                                                         Piano-harmonium, Pleyel-Croissandeau           1887   TITRES 1889 : Gustave Lyon est nomme Chevaller de la Légion d'honneur. 1892 : Gustave Lyon est nomme Chevalier de l'Ordre royal du Danebrog. PPiano droit n° 37712, Ringve Musikkmuseum, Norvège Piano à queue n° 42423 ca. 1866, The Smithsonian Institution, Washington, D.C., U.S. Piano droit n° 47432,, Cité de la Musique, Paris, France Piano à queue ca. 1870 avec pédale tonale, autre photo, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique Piano à queue n° 68941 ca. 1877, Pianomuseum Haus Eller, Bergheim, Allemagne Mécanique de Pleyel ca. 1878, Galleria dell’Accademia, Venezia, Italie Piano bureau ca. 1875-1880 de Massenet, Cité de la Musique, Paris, France Piano à queue ca. 1880, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique Piano à queue, n° 80835 ca. 1882, Fernanda Guilini Collezione, Briosco, Italie Piano à queue concert n° 85093 ca. 1885, Ad Libitum, Etobon, France Piano à queue n° 98830 de 1887, Musée du piano, Limoux, France Pleyel Scolaire n° 17 de 1890, Musée du Piano, Limoux, France Clavecin ca. 1889-1900, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique Piano à queue n° 104198 ca. 1894, Pianomuseum Haus Eller, Bergheim, Allemagne Piano carré n° 113896 ca. 1896, Cité de la Musique, Paris, France Piano à queue n° 121091, Collection Dominique Chalmin, France Piano à queue, double clavier avant 1900, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique Piano à queue vis-à-vis n° 149296 ca. 1910, autre photo, Germanisches Nationalmuseum, Nürnberg, Bayern, Allemagne Piano pneumatique ca. 1910-20, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique Piano à queue avant 1910, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique Piano à queue luthéal avant 1911, une page avec plus d'info, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique Piano droit Oïkos, signé en grec Pleyel, dont la mécanique de 1913 fut placé dans un coffre en citronnier, Villa Kérylos, France Piano droit - double clavier Pleyel-Hans n° 174454 ca. 1920, Chris Maene Collection, Ruiselede, Belgique Piano à queue de concert ca. 1920, Chris Maene Collection, Ruiselede, Belgique Piano à queue avant 1925, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique Piano à queue avant 1929, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique Piano vis-à-vis n° 185292 de 1929, Cité de la Musique, Paris, France Piano droit début 20ème, Lycée Raymond Poincaré, Bar-le-Duc, France Projet de décoration de piano à queue Pleyel, Süe Louis, 1920, Cité de la Musique, Paris, France Piano à queue n° 183346 ca. 1927, Geelvinck Collection, Geelvinck Muziek Musea, Heerde, Pays Bas PHOTOS EXTRA Piano à queue n° 121091 de 1900, peint par Henri Bonis   PLEYEL-LYON sur ce site PLEYEL Fabrique ARTICLES INVENTIONS PUBLICITÉ EXPOSITIONS 1887 - 1905 SALLE DE MUSIQUE Cliquer ici sur les liens ci-dessus. NÉCROLOGIE "M. Auguste Wolff, chef de la maison Pleyel, a été douloureusement frappé cette semaine dans ses plus chères affections. Il a perdu une petite fille qui touchait à sa septième année, enlevée subitement à l'affection de ses parents désolés." Le Ménestrel, 17/05/1874, p. 192 (gallica.bnf.fr) "Un artiste fort distingué, un galant homme, un homme de coeur, de bien et de talent, le chef d'une des plus importantes entreprises industrielles de Paris, de la France et du monde, M. Auguste Wolff, directeur de la célèbre maison Pleyel-Wolff, est mort dans la nuit de mardi à mercredi, à l'âge de 65 ans. M. Wolff, qui était connu de tout le Paris artiste, avait commencé par être un artiste pratiquant. Élève de Zimmermann et d'Halévy au Conservatoire, il remportait en 1839, avec notre pauvre Massé, qu'il aura suivi de près, un brillant premier prix de piano. Bientôt, et tout en s'occupant de composition, il devenait lui-même professeur de piano dans l'école dont il avait été l'élève; mais, étant devenu l'associé de Camille Pleyel dans sa fabrique de pianos, la mort de celui-ci le laissa à la tête de cette importante maison, à laquelle il se consacra désormais tout entier. Il montra dans cette nouvelle carrière autant d'initiative, autant de talent, autant d'intelligence et d'activité qu'il en avait déployé dans sa carrière artistique. On lui doit, dans la facture de pianos, des perfectionnements et des inventions remarquables, entre autre la « pédale tonale » qui rend de très réels services, et la haute situation que M. Wolff s'était acquise lui valut le ruban de chevalier de la Légion d'honneur. Il faisait partie des jurys de toutes les expositions, dont il était souvent nommé président. Mais si, chez M. Wolff, l'artiste était remarquable, l'homme était digne de tous les respects et de toutes les sympathies. Adoré de ses ouvriers, qu'il avait, par le fait d'une participation intelligente, associés à la prospérité de sa maison, il était toujours prêt à s'employer pour tout et pour tous. Toujours bon. charitable et dévoué, ce n'est jamais en vain qu'on frappait à sa porte et qu'on s'adressait à lui. Nous n'oublierons jamais, à la Société des compositeurs de musique, les services sans nombre qu'il n'a cessé de nous rendre et l'expansion que, grâce à lui, à son inépuisable générosité, a pu prendre notre compagnie Ce n'est pas une phrase banale que de dire que l'art et les artistes perdent plus qu'on ne saurait dire en perdant cet excellent homme, au coeur si haut placé. IL n'est pas besoin de dire si tout le Paris artiste s'était rendu aux funérailles d'Auguste Wolff. Faure y a chanté son Pie Jesu au milieu du profond recueillement de l'assistance." ARTHUR POUGIN. Le Ménestrel, 13/02/1887, p. 88 (gallica.bnf.fr) 1875 - "Un journal racontait dernièrement une touchante anecdote au sujet de Saïb, le cheval d'Auber, il commettait cependant une petite erreur. Ce n'est pas chéz M. Sax que le cheval fut caché pendant la guerre, afin d'éviter l'état du boucher. C'est à Saint-Denis, dans un hangar de la fabrique de pianos de M. Pleyel, où Auber allait le voir, toutes les semaines, et lui porter du sucre." Le Figaro, 15/11/1875, p. 1 (gallica.bnf.fr) 1879 - L'Industrie des pianos (Pleyel) dans La Nature, 1909, 37e année, 1° semestre : n° 1854-1879, p. 151-156, avec des images de la fabrique. 1896 - "On a signalé, hier matin, un accident dans la banlieue nord. La foudre est tombée route de la Révolte, 15, à Saint-Denis, sur la cheminée, pourvue cependant d'un paratonnerre, de la fabrique de pianos de MM. Pleyel, Wolff et Cie. La partie supérieure de cette cheminée s'est abattue sur les toits environnants qui ont été assez sérieusement endommagés. Personne, heureusement n'a été blessé. Les dégâts sont importants." Le Figaro, 29/05/1896, p. 4 (gallica.bnf.fr) et La Presse, 29/05/1806, p. 1 (gallica.bnf.fr) 1910 - "LA PLAINE-SAINT-DENIS. Cent cinquante ouvriers se sont mis eu grève, dans ]a fabrique de pianos Pleyel, route de la Révolte. Ils réclament la suppression du marchandage un salaire de 0 fr. 80 par heure de travail et la diminution du salaire des contremaître." Le Petit Parisien, 09/11/1910, p. 3 (gallica.bnf.fr) 1915 - "Lors de la mobilisation, la maison Pleyel et Wolf, fabricants de pianos, congédia son personnel. Néanmoins, comme elle avait dans ses ateliers une quantité considérable de bois de choix, elle crut devoir, par mesure de prudence, conserver un certain nombre de veilleurs de nuit dont, plus tard, elle se sépara. Parrni ces derniers était Adolphe Durel. Celui-ci, père de famille, se voyant désormais sans ressources imagina, dans l'espoir de se faire restituer son emploi, le procédé suivant il adressa au directeur des lettres anonymes de menaces, lui annonçant que l'usine allait être dynamitée et incendiée. La surveillance devait donc être reprise. Le 7 février, en effet, le feu se déclarait aux ateliers, à Saint-Ouen. Le sinistre fut rapidement enrayé et l'enquête ouverte ne tarda pas à démontrer que l'incendie avait été volontairement allumé. Les soupçons se portèrent sur Adolphe Durel. Arrêté, l'ancien veilleur de nuit ne tarda pas à faire des aveux et fit connaître les motifs qui l'avaient fait agir et que nous venons d'exposer. Il espérait mettre la puce à l'oreille de son directeur et le forcer à reprendre ses veilleurs. Adolphe Durel a comparu, hier, devant le jury sous les accusations d'incendie volontaire et de menaces d'incendie. Il a beaucoup pleuré et mis son acte sur le compte de la misère. Après plaidoirie de Me Henn Geraud, il a été acquitté." Le Petit Parisien, 25/04/1915, p. 2 (gallica.bnf.fr)   GRIEG "La seule difficulté que j'ai éprouvée avec le superbe piano Pleyel, que j'utilisais pour mes concerts, était de m'en séparer ..." Paris Saint Denis Nice Bruxelles Londres Sydney, Australie 22 -[24], rue Rochechouart (**1871)(*1876)(x1890)(xx1890)(**1896)(**1898)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(*1925)(*1925-26)(arr.9) 65, rue de  Richelieu (x1873)(arr.2) 95, rue de Richelieu (**1871)(*1876)(arr.2) 52, rue Chaussée d'Antin (**1888)(arr.9) 252, boulevard St. Germain (xx1890)(arr.6) 242, boulevard Saint-Germain dès 1889 (*1893)(**1898)(***1896)(z1900)(x1906)(arr.6) 243, boulevard Saint-Germain (z1902)(arr.6) SUCCURSALE : 7, rue Meyerbeer (xx1890)(*1893)(***1896)(**1898)(z1900)(z1902)(x1906)(**1907)(**1911)(**1912)(x1912)(**1913)(**1914)(yy1914)(*1925-26)(arr.9) SUCCURSALE : 20, avenue de l'Opéra (Successeur de PASDELOUP & VIET)(*1925)(z1931)(arr.1) à Paris Boulevard d'Epinay (xx1890) USINE : 153, route de la Révolte (*1896)(x1906)(**1911)(**1912)(x1912)(**1925) Usines : [217], boulevard Ornano (**1898)(z1902)(x1906)(**1907)(*1913)(**1914) (**1921)(*1922)(Boulevard Anatole) rue Pleyel (z1931) à Saint-Denis rue Grimaldi (*1871) à Nice 99, rue Royale - Dépôt chez DE SMET (°1885)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(**1898)(*1903)(**1907)(*1909)(xx1911)(x1912)(**1914)  101, rue Royale (*1925) à Bruxelles, Belgique 170, New Bond Street (y1887)(**1898) 79-80, Baker Street, W. (**1898)(1903)(x1906) (**1907)(x1907)(*1914)(**1914)(y1914) [51], George Street, Portman Square, W. (**1898)(x1906)(**1907)(x1907)(*1914)(**1914)(y1914) 15-17, Baker Street (*1925) à Londres, Angleterre  325, George Street (**1898), Sydney, Australie 2500 par an pianos en 1870      totale de 47.500 (vers 1870)     600 ouvriers en 1925   [depuis 1807] 'Facteur de pianos' [depuis 1870 (x1912)] Aménagement de l'usine de St. Denis par A. WOLFF PLEYEL en 1855 1887 - C'est le moment que Gustave LYON (1857-1936), ingénieur acoustien vient dans la manufacture. Voir Wikipedia 'Gustave LYON' PLEYEL, WOLFF & Cie (x1890)(xx1890) 'Pianofabrik' (xx1890) PLEYEL, LYON & Cie (dès 1887)(z1900)(x1912)(yy1914) 1889 - "Dans le but de répondre aux besoins toujours croissants de sa clientèle de la rive gauche, la maison Pleyel-Wolff vient d'ouvrir, pour la location et la vente de ses pianos, une succursale qui est située 242, boulevard Saint-Germain." Le Ménestrel, 20/10/1889, p. 335 (gallica.bnf.fr) PLEYEL, WOLFF, LYON & Cie (z1900)(z1902) 'Piano-Fabrik' - 'Auch Fabrik von chromatischen Harfen u. mechan. Pianos «Pleyelas»' (x1912) 1925 - "« PLEYEL », 22 et 24. r. Rochechouart, Paris, 9°. T. Trud. 07-89 et 33-27. Ad. t. Pleyel-Paris. Soc. an. au cap. de 12.500.000 fr. Adm.-délégué : M. G. Lyon. Usine électrique. 300 HP, à St-Denis, rte de la Révolte (carrefour Pleyel). 600 ouvriers, pensionnés aux 30 ans de service. Succursales à Paris, 20. av. de l'Opéra (service du Pleyela), T. Gut. 39-08; à Londres, 15 et 17, Baker Street; à Bruxelles. 101, r. Royale. Pianos droits et à queue. Pianos doubles, démontables, scolaires, de yacht, à double clavier. Pianos de luxe. Harpes et harpes-luths chromatiques sans pédale. Appareils à jouer du piano, pneumatique et électrique. Musique perforée, métronomique ou enregistrée. Clavecins. Orthophonie des salles. Acoustique architecturale. (17-7115)." Annuaire industriel. Répertoire général de la production française, 1925 (gallica.bnf.fr) PLEYEL & Cie (z1931) - ou PLEYEL, LYON & Cie (z1931) "A sa mort [d'Auguste WOLFF] en fevrier 1887, c'est M. Gustave Lyon, ancien élève de l'école polytechnique, ingénieur breveté du Gouvernement, gendre de A. Wolff et son collaborateur depuis cinq années, qui a pris la direction de la maison. M. Lyon, fidèle aux traditions dont il est le gardien, a continué à travailler dans la voie que lui avaient tracée ses predecesseurs, et, tout en conservant avec un soin jaloux aux instruments modernes la nature propre, l'individualité des anciens « Pleyel », il leur a ajouté dans des types nouveaux qui doublent, mais ne suppriment pas les types consacrés, des ressources nouvelles, de nouvelles richesses. C'est à lui qu'est due la troisième pédale, indépendante des deux autres, la pedale harmonique, qui permet de maintenir au piano la tenue d'une note ou d'un accord comme à l'orgue. On doit encore à M. Lyon deux im entions toutes récentes qui facilitent l'étude du piano un mécanisme qui assourdit le son du piano de manière a ce qu'il ne gène pas même les personnes qui sont dans la pièce voisine de celle ou l'on joue; et le durcisseur, autre appareil applicable a tous les pianos et qui sert à rendre à volonté le clavier plus résistant pour les exécutants qui ont besoin de developper la vigueur de l'attaque. Sous sa direction, l'usine de Saint-Denis se transforme de jour en jour; on y installe les machines les plus perfectionnees et on applique à la fabrication les procédés les plus nouveaux. Ne perdant de vue aucun des progrès de l'industrie moderne et sachant les juger et les utiliser, M. Lyon est arrive à introduire l'acier coulé dans la fabrication des pianos, les rendant ainsi susceptibles de résister à tous les climats. Ses recherches incessantes sur les lois délicates de l'acoustique appliquées à la facture des pianos l'ont amené à construire, grâce à cet acier coulé, un instrument de concert dont la sonorité dépasse de beaucoup celle des pianos connus jusqu'à ce jour. Membre du jury des récompenses aux Expositions du Havre et de Toulouse en 1S87, secrétaire rapporteur du jury à l'Exposition de Bruxelles en 1888, M. Lyon a été nommé en 1888 Chevalier de l'ordre royal de Léopold de Belgique, en avril 1889 Chevalier de la Légion d'honneur, et, en 1892, Chevalier de l'ordre royal du Danebrog. Une institution de l'importance de la maison Pleyel, avec son passé, ses traditions, son rôle dans l'histoire artistique du siècle et sa constante activité, constitue pour ainsi dire une personnalité vivante dont les oeuvres attestent l'âme, et qui a pour organisme les ressorts admimstratifs qui font aboutir les manifestations de cette âme. On comprend dès lors toute l'importance du choix du personnel dans un établissement de ce genre et l'on peut due que si depuis un siècle la Maison Pleyel a toujouis atteint le but de ses efforts, si elle a acquis la puissance d oiganisation qui la distingue, c'est parce que ses directeurs ont toujours su s'adjoindre des collaborateurs de haut mérite. Cette tradition s'est conservée avec soin. Aussi trouvons-nous aujourd'hui, groupé autour de M. Lyon, un état-majoi devoué a la tête duquel sont deux noms bien connus MM. Ernest Lantelme et Georges Pfeiffer, qui, depuis longtemps déjà, apportent à la Maison Pleyel le précieux concours de leur collaboration et ont puissamment contribué l'élever au rang qu'elle a atteint. Certes les résultats obtenus par la Maison Pleyel, ses innovations et ses perfectionnements dans la factute du piano, son influence dans l'évolution musicale de notre époque, sont ses plus beaux titres de gloire, et les récompenses officielles ne pouvaient rien ajouter à la haute notoriété qu'elle s'est acquise. Elles ne lui ont pas manqué, toutefois. On pourra s'en convaincre en consultant en tête de ce chapitre le tableau des récompenses qu'elle a obtenues aux expositions. Elles ont sanctionné le mérite de ses oeuvres et les étapes de sa réputation. L'Exposition Universelle de 1880 a mis le comble aux honneurs et au renom de la Maison Pleyel. On sait le succès que ses instruments y ont obtenu. Ses modèles de piano lui ont valu un Grand Prix, la plus haute récompense en outre, pour l'ensemble de ses fondations avant pour but l'amélioration du sort des ouvriers, elle a obtenu une médaille d'or. En 1890, la Maison Pleyel fètait la construction de son cent millième piano, le labeur de tout un siècle. Si l'on considère ce qu'elle a su faire de cet instrument au cours de cette période, le point de perfection ou elle l'a élevé, les innovations qu'elle est capable d'y apporter encore et pendant longtemps, car sa puissante organisation garantit la durée de son existence, on peut affirmer que le piano est un instrument de bel avenir." La Salle Pleyel Pradel Léon, 1893, p. 136-139 (gallica.bnf.fr) "Les journaux ont annoncé à tort que, dans la nuit du vendredi au samedi, le feu s'était déclaré dans les ateliers de la fabrique de pianos Pleyel-Wolff, situés à Saint-Denis. L'incendie en question, qui a pris les proportions d'un véritable désastre, a éclaté dans une fabrique de bougies à 200 mètres de la manufacture Pleyel." Le Ménestrel, 31/12/1876, p. 39 (gallica.bnf.fr) "S. M. l'Impératrice du Brésil a visité cette semaine la maison Pleyel Wolff et Cie ; elle a admiré les instruments et écouté avec grand intérêt les effets produits par la nouvelle pédale tonale qui a le mérite de prolonger seulement les sons qui vivent en bonne harmonie. S. M. s'est fait aussi expliquer l'emploi du transpositeur et les derniers perfectionnements apportés aux petits pianos à queue à cordes croisées. L'impératrice a parcouru enfin, avec un plaisir marqué, la collection d'autographes de musique dont se trouve illustré le grand foyer des artistes et a exprimé toute, sa satisfaction de cette visite à une fabrique dont les remarquables produits sont si recherchés au Brésil par les dilettantes et les artistes de mérite." Le Ménestrel, 17/06/1877, p. 230 (gallica.bnf.fr) 'Histoire de Cent Mille Pianos et d'une Salle de Concerts', Oscar Comettant - Paul Laurin, 1890 Ensuite le nombre des adeptes des pianos PLEYEL ne cesse d'augmenter. Parmi les compositeurs on peut trouver les noms de Charles Gounod, qui a traité gentdepuis "Crapaud" le petit modèle 3bis, Camille Saint Saëns, Jules Massenet, Claude Debussy, Igor Stravinsky. 1885 - "Une tentative d'incendie a été commise avant-hier, dans l'Usine du MM. Pleyel et Wolff, fabricants de pianos, à Saint-Denis. Le hasard seul a protégé l'immeuble, un ouvrier habitant lysine ayant, aperçu les premières lueurs du feu. Une enquête est ouverte. Les directeurs de la Fabrique avalant, parmit-il, reçu il y a quelques jours des lettres contenant des menaces." Le Petit Parisien, 02/08/1885, p. 4 (gallica.bnf.fr) DOCU Le centenaire de la Maison PLEYEL : dans 'L'Art décoratif'. Revue de la Vie artistique ancienne et moderne, janvier-juin 1909, p. 175-188 INFO EXTRA  Pleyel catalogue des pianos décoratifs de 1909 dans Art-decoratif, 1909 Piano à queue Pleyel muni du mécanisme 'Luthéal', dans le MIM, à Bruxelles (avec des fragments audio) Le Pleyel clavecin de Wanda Landowska (Pdf Angl.)  Le auto-PLEYELA   'Revue PLEYEL'  La sience au service de la musique et des musiciens, par Christian Surre, 1998 Catalogue de 1892 (gallica.bnf.fr) PUB Pub de Pleyel Bijou Grand, à Londres, Angleterre ca. 1903 (museumcollections.rcm.ac.uk) LA SUITE PLEYEL & LEMMÉ en 1799 PLEYEL en 1807 PLEYEL en 1824 PLEYEL en 1855 PLEYEL en 1887 PLEYEL en 1931 - maintenant    Hors concours Toulouse, 1887 | Liste des exposants Manchester, 1887 | Hors concours Bruxelles, 1888 | Hors concours Melbourne, 1888 | Hors concours Copenhague, 1888 | Grand Prix, médaille d'or Paris, 1889 | Membre du jury Moscou, 1891 |  Hors concours, Anvers, 1894  | Hors concours, Amsterdam, 1895 | Hors concours, Bruxelles, 1897 | Hors concours Paris, 1900 | Grand prix Louisiane (État du Sud des États-Unis), 1904 : Hors concours Liège 1905 CESTIN P. 1888     Alger (maintenant Algérie) 16, rue d'Isly (*1893)(*1913) 11, rue Michelet (**1921) 'Facteur de pianos' droits ca. 1893-1921   DURAND Manuel 1889     Trouville-sur-Mer 35, rue Carnot (*1913)(**1921) 12, rue Rossini (*1913)(**1921) Facteur aveugle et/ou marchand de pianos droits ca. 1906-21 'Orgel- u. Piano-Bauanstalt' (x1906) 'Orgel- u. Pianobauer' (x1912)   ERARD             PeriodPiano         Pub dans Musique-Adresses de 1921, p. 96 1889   TÊTE D'UNE FACTURE Facture ca. 1889-1930 : Blondel & Cie, Successeurs Piano à queue de concert n° 78477 ca. 1898, Chris Maene Collection, Ruiselede, Belgique Piano à queue n° 82778 ca. 1901, Chris Maene Collection, Ruiselede, Belgique Piano à queue n° 82849 of 1901, Collection Wim Van Moerbeke, Belgique Piano à queue ca. 1904, appartenu à Maurice Ravel, Collection Gisclard, Château Bauzille, France Piano à queue n° 95623 de 1909, Collection Wim Van Moerbeke, Belgique Clavecin n° 3084 de 1912, Chris Maene Collection, Ruiselede, Belgique Erard 'orchestre' fin 19ème siècle, Musée de la Musique, Paris, France Piano à queue de 1925, Musée Ingres, Montauban, France Piano bureau ca. 1930, Collection Musée des Instruments de Musique, Bruxelles, Belgique Piano à queue n° 4096 -114876 1er quart 20e siècle, Maison de Pierre Loti, Rochefort, France ERARD sur ce site EXPOSITIONS INVENTIONS BIOGRAPHIE Cliquer sur les liens ci-dessus. La marque ERARD a longtemps fabriqué des pianos à cordes parallèles. Elle considérait ce montage comme étant largement supérieure au pianos à cordes croisées. Finalement, elle abandonne sa production dans les années 1925. NÉCROLOGIE "Hier ont eu lieu les obsèques de M. Scheffer chef de la maison de pianos Erard. Un Pie Jesus composé par M. Elwart pour cette triste circonstance, a été exécuté pendant la messe." Le Petit Journal, 31/01/1873, p. 2 (gallica.bnf.fr) "Le neveu, de Mme veuve Erard, M. Pierre Scheffer, qui était le directeur de la grande fabrique de pianos, est mort subitement hier au château de la Muette, à Passy. M. Pierre Scheffer était dans toute la force de l'âge; il a succombé à une congestion cérébrale." Le Figaro, 14/12/1878, p. 3 (gallica.bnf.fr) [1878 ???] "La maison européenne Erard vient de perdre son nouveau chef, celui qui succéda si dignement à Pierre Erard, le célèbre facteur de pianos. Ancien bâtonnier de l'ordre des avocats de Strasbourg, M. A-E. Schaeffer, au point de vue de la fabrication, et cela se comprend, ne s'attacha qu'à faire respecter, religieusement on peut le dire, l'oeuvre de son prédécesseur, en s'associant son fils Pierre Schaeffer, aujourd'hui le jeune chef de cette importante maison." Le Ménestrel, 02/02/1873, p. 80 (gallica.bnf.fr) Paris Bruxelles (Belgique) 13 (magasins) et 21 (ateliers), rue du Mail (yyy1855)(xx1889)(y1889)(x1890)(xx1890)(**1898)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(x1907)(**1911)(**1912)(***1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(z1931)(z1932)(arr.2) 14, boulevard Poissonnière (x1868)(arr.9) 3 et 87, rue Saint-Maur (*1844) (*1913)(arr.11) Ateliers et Chantiers : 110-112, rue de Flandre (1886-1922)(arr.19) la Vilette (manufacture dès 1855)  FABRIQUE : 112, rue de Flandre (y1889)(xx1890)(**1898)(z1900)(z1902)(x1906)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(x1922)(arr.19) à Paris salle et magasin Erard : 4, rue Latérale (1885)(xx1889)(x1890)(*1893)(*1895)(*1896)(*1897)(*1905)(1180B), représentant d'Erard : M. Théroine  salle et magasin Erard : 6, rue Latérale (*1903)(1180B) 6, rue Lambermont (chez Alex. BÉON)(x1906)(xxx1911)(***1912)(x1912)(1180B) 14, rue Arenberg (1930) chez GUNTHER (°1845) à Bruxelles, Belgique   [depuis 1775] 'Facteur de pianos' ca. 1855-1922 [depuis 1779 (y1889)(x1906)(x1912)] 1889 : mort de Mme. P. ERARD.  La société continue avec BLONDEL Albert-Louis, né le 19 mai 1849, à Blaynac (Haute-Garonne)(²²) et Mme. la Comtesse de Franqueville (¹²), sa nièce et fille adoptive (¹⁷) et en 1903 par BLONDEL O. et C. & Cie: transformation. Grades dans la Légion d’honneur : chevalier le 27 décembre 1888, officier le 12 avril 1900, commandeur le 30 avril 1926. (²²) 1890 : fin de la manufacture ERARD à Londres. (¹⁷) ERARD & Cie (xx1890), 'Pianofabrikant' - 'Gegr. 1779' 1895 : Le premier piano à cordes croisées. 1900 : mort de Mme. de Franqueville. 1903 - "Paris.—Modification au prorogation de 30 ans et 2 mois du du 30 avril 1907. — Société ERARD et Cie, pianos et harpes, 43, Mail. — Par suite du décès de dme Vve Erard, la raison sociale devient BLONDEL et Cie. — Capital réduit à 4,000,000 de fr. — 45 mai 4903. — G." Archives commerciales de la France, 13/06/1903, p. 742 (gallica.bnf.fr) ERARD & Cie (x1906), Directeur : M. BLONDEL 'Auch Fabrik von Harfen' (x1906)(x1912) ERARD (BLONDEL & Cie Succs.) (x1912)(z1931)(z1932) 'Piano-Fabrik' (x1912) 1913 : Un certain M. Guichard devient associé en nom collectif. (¹¹) Il y a été quelques autres marques avec presque le même nom après le grand succès d'ERARD, par example EVRARD, EBRARD, etc. ... Le «MEZZO», un petit piano avec double échappement fonctionnant horizontalement. (1845) (¹) (la suite) "Un facteur de pianos de la maison Erard, Mathias Kross, âgé de seize ans, est mort hier d'une congestion causée par le froid." Le Figaro, 17/01/1905, p. 4 (gallica.bnf.fr) "Le service de la Sûreté vient de découvrir et d'arrêter les auteurs du vol dont la maison de pianos Erard avait été victime il y a quatre mois et demi. Rappelons brièvement dans quelles circonstances fut commis ce vol, aussi merveilleusement combiné qu'exécuté. Le 31 janvier, deux individus qui, quelques jours auparavant, avaient réussi à prendre l'empreinte de la serrure placée derrière la caisse de la voiture servant, chaque samedi, à transporter rue de Flandre la somme nécessaire pour la paye des ouvriers, suivirent le fourgon, attendant une occasion favorable pour mettre à exécution leur projet. Rue Réaumur, le fourgon se trouva arrêté par un embarras de voitures. L'un des malfaiteurs, Jeandel, ouvrit le caisson et s'introduisit à l'intérieur sans que le cocher s'en aperçût. Il en ressortit place de la République où un nouvel arrêt eut lieu. Il passa à son complice Schedroffër, qui avait suivi le fourgon, le sac renfermant 25,000 francs en pièces d'or et d'argent et tous les deux s'éloignèrent le plus tranquillement du monde. Si ces deux habiles coquins ne s'étaient dénoncés à la police par les dépenses exagérées qu'ils firent, jamais peut-être on ne les aurait découverts. M. Cochefert, chef de la Sûreté, les a cueillis avant-hier chez la mère de Jeandel, au moment où celui-ci allait signer l'achat d'un fonds de marchand de vin et d'une propriété y attenant, situés en Seine-et-Oise. On n'a retrouvé que mille francs en leur possession. C'est M. le juge Lemercier qui est chargé de l'instruction de cette affaire." Le Figaro, 16/06/1897, p. 3 (gallica.bnf.fr) "ERARD & Cie - fondée en 1779, seule grande méd. exp. univ. Londres 1851, hors concours exp. univ. 1867, méd. d'or exp. univ. 1878, Grand prix Exposition Univer'le Paris 1889 - bureaux et magasins, rue du Mail, 13; fabr., r. de Flandre, 112." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1898, p. 2146 (gallica.bnf.fr) LA SUITE L'histoire d'ERARD en 1931   Membre du Jury, Hors concours Barcelone, 1888 | Grand prix Paris, 1889 | Hors concours Anvers, 1894 | Hors concours Bruxelles, 1897 | Hors concours Paris, 1900 FOCKÉ Georges 1896   Pub de 1921 PUB Paris-adresses : annuaire général de l'industrie et du commerce, 01/01/1931, p. 1966 (gallica.bnf.fr) Paris   83, avenue Victor-Hugo (y1889)(xx1890)(*1902)(arr.16) 34, rue de Saint- Pétersbourg (**1898)(z1900)(z1902)(**1904)(arr.8) vente & location : 37, boulevard de Clichy (x1906)(**1907)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(x1922)(z1931)(arr.9) 83, boulevard de Clichy (x1906)(*1909)(*1910)(*1913)(arr.9) usines : 63, boulevard de Ménilmontant (**1912)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(*1922)(x1922)(**1925)(*1929)(z1931)(*1935)(*1938)(arr.20)     'Facteur de pianos' droits ca. 1889-1922; (**1925) Successeur d' ANGENSCHEIDT ??? Cousin de  FOCKÉ Ernest (°1860) 'Pianohandlung' (xx1890) 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1906)(x1912) Georges FOCKÉ a quelque chose à faire avec la société de son cousin : 1911 : "Le Pré-St-Gervais, — FOCKÉ (Georges), membre de la soc. FOCKÉ frères, fab. de pianos, 27, Danton. — 29 mars 1911.— Abandon de l'actif réalisé. — Sont intervenues: 1° dame Focké; 2° Costil lesquels abandonnent, au profit des créanciers, les dividendes leur revenant sur leurs créances." Archives commerciales de la France, 01/04/1911, p. 428 (gallica.bnf.fr) - Voir COSTIL (°1876) sur cette page. Avait repris la maison DUBRECK-JOUFFROY en 1903   CLAVEAU Émile Paul Francis     1890   Piano mécanique Lacape-Claveau, Musée de la musique mécanique des Gets, France "CLAVEAU, «PIANO-PODOPHONE», vente, locations, accords, r. Mazagran, 1." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1898, p. 2146 (gallica.bnf.fr)     Paris 1, rue Mazagran (1895)(**1896)(**1898)(z1900)(z1902)(**1904)(arr.10) 18, boulevard Bonne- Nouvelle (z1900)(z1902)(arr.10) 5, rue de la Lune (x1906)(**1907)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(**1913)(**1914)(yy1914)(x1922)(arr.2) 39, rue Beauregard (x1906)(**1907)(**1910)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921) (*1922)(x1922)(arr.2)   'Facteur de pianos' droits et pianos mécaniques ca. 1895-1922 [depuis 1890 (*1913)] 1895 - "Vendeur : Claveau - Acquéreur : X. - Domicile élu pour les oppositions : Boiteaux, 16, Jeûneurs - Entrée en jouissance : 1 déc. - Fonds vendu : Mat. agence, facteur de pianos, 1, Mazagran." Archives commerciales de la France, 11/12/1895, p. 1542 (gallica.bnf.fr) LACAPE-CLAVEAU, successeur de LACAPE, pour pianos mécaniques vers 1900. Voir LACAPE (°1855) CLAVEAU Père & Fils (1904) 1904 - "Paris. — Formation. — Société en nom collectif CLAVEAU père et fils - louage de pianos, fab. d'instruments de musique, 39, Beauregard, et 5, Lune. —10 ans. — 5,000 fr.— 1 avril 1904." Archives commerciales de la France. 16/04/1904, p. 471 (gallica.bnf.fr) 1908 - "Paris — Dissolution — 15 sept. 1908 — Société CLAVEAU père et fils, pianos, 39, Beauregard et 5,  Lune. — L. M. Emile Claveau. — 15 sept. 1908. — L." Archives commerciales de la France. 07/10/1908, p. 1278 (gallica.bnf.fr) LACAPE-CLAVEAU, pour pianos mécaniques vers 1898, LACAPE (°1855) CLAVEAU E. (x1906)(x1912)(*1913)(**1921) 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912) CLAVEAU A. (x1922)     GROLLEAU 1890   1894 - "Un violent incendie a dévoré ce matin les ateliers de fabrication de pianos de MM. Lépicier et Grolleau. Les pertes sont considérables; le feu n'est pas encore éteint." Le Figaro, 13/11/1894, p. 3 (gallica.bnf.fr) "Incendie d'une Manufacture de pianos. Angers, 11 novembre. - Un violent orage a éclaté cette nuit, de minuit à deux heures du matin, sur la ville d'Angers. Vers cinq heures, les dépôts de bois et autres matières servant la fabrication des pianos de la maison Lepicier-Groleau [sic] situés rue de la Préfecture avaient été la proie des flammes. Les ateliers et deux maisons voisines ont été atteints. Les dégats sont considérables. Selon toute probalité la foudre est la cause de ce sinistre." LE NOUVEAU LYON, Première Année - N°109, 12/11/1894, p. 2 TÊTE D'UNE FACTURE Facture de 1890   Angers Le Mans Paris MAISON PRINCIPALE : rue des Lices (1837) 10, rue Voltaire (*1895)(*1896)(*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)(**1921)(x1926)(*1929) 46, boulevard du Roi René (mainte-nant) à Angers SUCCURSALE : 8, rue de Barillerie (*1895)(*1896)(*1897) au Mans 119, rue de Montreuil (F1890)(1892)(arr.11) 13, boulevard Saint-Denis (*1895)(arr.10) à Paris   'Manufacture de pianos' ca. 1895-1929 [depuis 1890 (*1913) ou depuis 1840 (x1926)] Angers GROLLEAU était le successeur de HERDING  (°1837) LÉPICIER & GROLLEAU (F1890)(*1893)(1894)(*1895), voir LEPICIER (°1866) 1894 - "Paris. — Dissolution. — Société LÊPICIÉR, GROLLEAU et Cie, pianos, musique:, 43, b.. St-Denis,- à Paris.; 8, Barillerie, au Mans et 25, Prélecture et 10. Voltaire, à Angers. — M. Lépicier continue seul à Paris et au Mans, et MM. Grolleau et Lacroix à Angers, sous la raison Grolleau et Cie. — 3 déc. 93. — C." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 10/01/1894, p. 35 (gallica.bnf.fr) LÉPICIER & GROLLEAU & Cie (*1895) - ou PELICIER & GROLLEAU (*1895) GROLLEAU & Cie, successeur de GILLET, BRESSEAU et VYGEN : 1897 - "Maisons GILLET, BRESSEAU et VYGEN réunies." Revue de Champagne et de Brie, 1897, p. 976 GROLLEAU & Cie (x1906)(x1912)(x1926), successeur de LEPICIER & GROLLEAU 'Piano-Fabrik, Musikal.- u. Musikinstr.-Handlung' (x1906) ------- 'Handlung mit Musikal., Pianos u. Musikinstr.' (x1912)(x1926) à Angers PHOTO Immeuble Lépicier-Grolleau, 10, rue Voltaire, Angers   KNOTH & SEDANO 1890     Paris   70, rue du faubourg Saint-Honoré (*1891)(*1895)(*1896)(*1897)(arr.8) 224, boulevard Saint-Germain (*1896)(*1895)(*1897)(*1903)(*1905)(*1906)(*1907)(*1909)(*1910)(x1912)(*1913)(**1914)(**1921) (arr.7) 9, Avenue Mozart (*1913)(z1931)(arr.16)   Facteurs de pianos droits et éditeurs de musique ca. 1891-1929 KNOTH & SEDANO (*1891), Successeurs de SCHOTT (°1818), parfois écrit comme SCHOTT, KNOTH & SEDANO vers 1891. Probablement associé que pour un an. 1891 - "Ventes de fonds de commerce du 6 au 9 mars 1891. - vendeur : Schott - Acquéreur : Knoth et Sedane - Domiciles élus pour les oppositions : Au fonds - Entrée en Jouissance : de suite - Fonds vendus : Pianos et œuvres musicales, faub. St. Honoré, 70." Archives commerciales de la France. Journal hebdomadaire, 11/03/1891, p. 293 (gallica.bnf.fr) 1892 - "Paris. — Modification. — Sociélé P. SGHOTT et Cie, édition, publication el vente d'oeuvres musicales, pianos el harmoniums, — Retrait de M. Sedano. — 25 janv. 92. — L." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 13/02/1892, p. 199 (gallica.bnf.fr) KNOTH & Cie (1893) LAUDY & ROY (*1895)(*1896)(*1897)(*1906) KNOTH & LAUDY (18??) QUEREUIL P. & A. LAUDY (*1896)(*1897), voir QUEREUIL LAUDY & Cie (1905)(*1909) LAUDY F. (*1910)(*1913)(**1914)(**1921) 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912) LAUDY F. Vve. (*1929) LAUDY A. (z1931) - Voir aussi PICHOT-QUEREUIL F. (°1872)     MULLET Victor | MULLER 1890 Paris   SUCCURSALE : 53, rue Monge (**1898)(z1900)(z1902)(*1903)(**1904)(*1905)(*1906)(*1907)(**1907)(*1910)(**1910)(**1911)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(x1922)(z1931)(arr.5) 86, rue Bobilotte (**1898)(z1902)(**1907)(**1911)(**1912)(*1913)(**1914)(**1921)(x1922)(z1931)(arr.13)   Facteur et/ou marchand de pianos droits et réparations de pianos ca. 1898-1931 [depuis 1890 (**1921)] MULLET V[ictor] Fils (**1898)(z1900)(z1902)(**1907)(**1911)(x1912)(*1913)(**1914)(x1922) 'Piano-Handlung' (x1912) MULLET V. (**1921) MULLET Fils (z1931) Il avait aussi laisser producer des pianos chez : HANSEN (°1873), sur cette page.   LÉGERET Albert | LEGERET | LIGERET 1890   1912 - "SAINT-CLOUD. Une agression. Hier, M. A. Legeret. 46 ans, marchand de pianos, 22, rue de Londres, à Paris, faisait la rencontre, dans un café près la gare Saint-Lazare, de deux individus avec lesquels il lia bientôt connaissance. Une heure après, les trois nouveaux amis prenaient un auto-taxi qui les conduisit à Versailles. En revenant par la Celle-Saint-Cloud, les deux individus, après avoir porté deux coups de couteau au marchand de pianos, le dévalisèrent d'une somme de 150 francs en billets de banque, de 60 francs en or, d'une bague, de sa chaîne et de sa montre. Ayant découvert sur lui un carnet de chèques, ils voulurent, sous menace de mort, lui en faire signer un en blanc, mais au même moment un accident arrivé à la direction de l'auto fit culbuter la voiture dans un fossé où elle se brisa en partie. Le chauffeur et les voyageurs s'en tirèrent avec quelques contusions, et les deux bandits, après avoir conduit leur victime chez un docteur de la Celle-Saint-Cloud, prirent ensuite la fuite. Les deux malfaiteurs sont activement recherchés." La Croix, 15/02/1912 (gallica.bnf.fr)   Paris Saint-Cloud   13, rue de l'Université (**1871)(**1873)(arr.7) 14, rue de l'Université (*1875)(*1876)(**1876)(**1877)(**1878)(**1879)(**1880)(**1881)(**1883)(**1884)(**1885)(**1888)(y1889)(xx1890)(arr.7) 13, boulevard Péreire (*1896)(arr.17) 13, rue des Saints-Pères (*1896)(**1898)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(*1909)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(x1922)(z1931)(arr.7) 12, rue de Moscou (***1898)(z1900)(z1902)(arr.8) 32, rue de Londres (z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(*1910)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(**1913)(**1914)(yy1914)(arr.9) 22, rue de Londres (1912)(*1913)(arr.9) à Paris à Saint-Cloud     Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1871-1926 LÉGERET L[ouis] (z1900)(z1902)(x1906) 'Pianohandlung' (xx1890) PAIN Eugène, successeur de Louis LEGERET en 1909 : 1909 - "Vendeur : Légeret - Acquéreur : Pain - Domicile élu pour les oppositions : Motte et Penet, 28, b. Poissonnière - Entrée en jouissance : de suite - Fonds vendu : Pianos, 13, Saints-Pères." Archives commerciales de la France, 30/06/1909, p. 937 (gallica.bnf.fr) 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912) et la même histoire dans Le Petit Parisien, 16/06/1912, p. 4 (gallica.bnf.fr) : "LES AGRESSEURS DU COURTIER EN PIANOS Dans l'après-midi du 14 février dernier, M. Albert Légeret, facteur en pianos, rue de Londres, 22, à Paris, louait un taxi-auto près de la gare Saint-Lazare et se faisait conduire à Rueil, puis à Bougival en cours de route, le chauffeur, Alexandre Mirouel, accepta de prendre également comme voyageur un de ses amis, un ouvrier électricien, nommé Charles Bourry. Dans le bois de la Celle-Saint-Cloud, ce dernier se précipita sur M. Légeret, et, aidé du chauffeur, se mit en devoir de le dévaliser. Roué de coups, M. Légeret fut abandonné dans un pitoyable état sur la route de Versailles, à l'entrée de Bougival. Après deux audiences, cette affaire, jugée à huis clos, a eu, hier, son épilogue devant le tribunal correctionnel de Versailles. Bourry a été condamné à treize mois de prison et à cinq ans d'interdiction de séjour Mirouel s'en est tiré avec six mois de prison."     1890     De 1890 à 1899, la France a exporté 51000 pianos droits et à queue; ->         l'importation, pendant la même période, n'a pas dépassé le chiffre de 2 200 instruments de même nature.   BARTHÉLEMY Jules (1848 - 1913)   Magasin 64, rue Stanislas ca. 1900 Bulletin de Société Artistique de l'Est, 01/1902, p. 219 (gallica.bnf.fr) 1891   TITRE "Fournisseur de l'Armee et du Conservatoire de Musique de Nancy" TÊTE D'UNE FACTURE   VOIR AUSSI ... à Paris BARTHELEMY Henri vers 1844 Nancy Saint Dié 6, rue de Monbois (début ?)(⁸) ateliers : 19, rue Molitor (1914) magasins : 64, rue Stanislas (1891)(*1903)(*1905)(x1906)(x1912)(*1913)(**1921)(*1922)(xxx1922)(*1926) à Nancy succursale : 11, Quai du Parc (**1902) à Saint Dié   'Facteur de pianos' droits ca. 1891-1926 [depuis 1891 (*1913)] "Jules Barthélemy s’installe à Nancy au 64 rue Stanislas en 1891, venant de Paris où il est né le 18.9.1848. Le couple aura deux fils qui deviendront tous deux facteurs de pianos : Victor, né le 8.8.1875 à Paris, et Louis né le 19.12.1876 à Paris. Jules Barthélemy a été ancien élève de PLEYEL. Il disposait d’un atelier à Nancy au 6 rue de Monbois, puis 19 rue Molitor d’où sont sortis des pianos sous sa marque jusque vers 1914. Les instruments connus de cette maison étaient des pianos droits à sommier en bois. La maison, qui avait une succursale à Neufchâteau, a existé jusqu’après 1930, menée par ses fils après le décès de Jules Barthélémy le 23 avril 1913." (⁸) Les facteurs de pianos à Nancy, J. M. Stussi 'Geigenbauer u. Musikinstr.-Händler u. Reparatur-Werkstatt für Pianos u. Musikinstr.' (x1906) 'Händler mit Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u. Saiten' (x1912)   "J. BARTHÉLEMY - 64, rue Stanislas - Instruments de musique, Lutherie - Réparations de tous instruments - Pianos neufs depuis 2.800 francs." Annuaire administratif, statistique, historique et commercial de la Meurthe, 01/01/1922, p. 727 (gallica.bnf.fr) Médaille d'or, Exposition ouvrière en Collaboration, Paris 1878 BILDÉ Charles (1861 - 1947) 1892 INFO EXTRA Charles BILDÉ dans WIKI HARMONIUM Paris Annecy Orly   Salle d'exposition : 17, rue de Lancry (*1905)(*1906)(*1913)(**1921)(x1926)(arr.10) 129bis, rue de la Pompe (x1912) à Paris USINE : [1], avenue de Chambéry (*1905)(*1906)(x1906)(*1913) 2, avenue de Chambéry (x1912)(x1926) Clos St. Joseph (**1921) à Annecy 15, rue des Caves (***1900) 129bis, rue de la Pompe (x1906) à Orly   'Facteur de pianos' ca. 1892-1926 [depuis 1892 (x1906)(x1912)(x1926)] Paris 'Facteur de pianos droits, harmoniums et orgues, lutherie' (*1905)(*1906) ------- 'Manufacture d'orgues et harmoniums' (*1913)(**1921) 1906-12 - Représentant à Paris : [Gabriel] CLÉMENT (x1906)(x1912) Annecy 'Musikal.-Händler, Orgel- u. Pianobauer' (x1906) ------- 'Spez. : Zusammenlegb. Harmoniflûtes' (x1912) ------- 'Orgel- u. Harmonium-Fabrik' (x1912)(x1926) Orly 'Orgel- u. Harmonium-Bauanstalt' (x1906) Harmoniums et orgues : Liste des exposants, Paris, 1900 BRÛ Léon Casimir, Jeune | BRU (1837 - ?)   Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1896, p. 352 (gallica.bnf.fr) 1892   "PIANO BRÛ - AUCUNE COMPARAISON ne peut être faite avec ce nouvel et delicieux instrument qui. complété par 3 nouvelles, inventions b.s. g.d.g. la sourdine graduée, le pupitre automatique et le grand couvercle, en font le plus parfait et le plus complet de tous les pianos. Location depuis 10 fr. par mois - Location Vente 20 fr. par mois Grosse remise au comptant PIANOS DE TOUS FACTEURS TROIS GRANDS MAGASINS, 14, RUE de CLICHY, 14." Annuaire du commerce Didot-Bottin, 1914, p. 2787 (gallica.bnf.fr) INFO EXTRA Un Cordais créateur de poupées célèbres, descendant d'un tisserand.   Paris   14, rue (place) de Clichy (*1895)(*1896)(*1897)(**1898)(z1900)(*1902)(z1902)(**1904)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(**1907)(x1907)(*1909)(*1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(x1922)(z1931)(1935)(arr.9)   'Facteur de pianos' droits - 'Manufacture de pianos droits' ca. 1895-1935; (*1896) Il était le successeur de Alphonse BLONDEL (°1839) "Léon Casimir Brû, originaire de Cordes, dans le Tarn, épouse en 1866 Apollyne Comyn, de Tours, cédera son entreprise des poupées de caoutchouc en 1884 pour devenir, six ans plus tard, facteur de pianos 14 rue de Clichy, à Paris ... Léon Casimir BRU, négociant, loueur de pianos demeurant 2, rue Largillière (Paris), veuf non remarié de Mme Apolline Comyn." (dans : Lucie Cousturier, les tirailleurs sénégalais et la question coloniale: actes ..., Roger Little, 2009) BRU Jeune (z1900)(z1902)(x1906)(*1910)(x1912) : C'est la nouvelle Société BRU Jeune & Cie qu'il vendra également en plein succès avant de se tourner vers un nouveau domaine : la fabrication et la réparation de pianos. Il donne ainsi en moins d'un demi-siècle son nom à des poupées' ('Les jouets', François Theimer, 1996). 'Piano- u. Harmonium-Handlung' (x1912) Repris par JARNY (x1922)(x1930) 'Marchand de pianos' (z1931) 1935 - "Liquidation judicaire - Noms: Société de Gérance des Ét. BRU S.A.R.L. - Profession : pianos, T.S.F. - Adresse : 14, rue de Clichy." Archives commerciales de la France, 03/07/1935, p. 2870 (gallica.bnf.fr) Il y a un BRÛ à Agen vers 1906-13.     CURTIL A. 1892   "Prix de Gros - Au bon marché musical - A. Curtil, 65, boulevard St-Germain. Le plus grand choix d'Instruments anciens et modernes de tout Paris. Violons, archets, mandolines, instruments de bois et de cuivre, neufs et d'occasion, de toutes marques. Location de pianos : 8 francs; par mois; Neufs : 10 francs. Vente, échange, accords, réparations. Seule Maison qui échange et reprend les instruments au même prix." Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1902, p. 355 (gallica.bnf.fr)   Paris   65, boulevard Saint-Germain (*1902)(*1903)(**1904)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(arr.5)  70, boulevard Saint-Germain (**1907)(*1909)(*1910)(x1912)(**1914)(**1921)(*1922)(x1922)(arr.5) à Neuilly sur Seine   Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1902-22 'Piano- u. Harmonium-Handlung' - 'Auch Violinlehrer' (x1912) Repris par COIFFIER Edouard (*1913)(**1921)(x1922) 'Le clavi-harpe', 1922 'BESCHSTEINWEY  - Seul Dépositaire : A. CURTIL - Paris' - Sous-marque ? (la suite) "CURTIL, PIANOS, perfectionnements d'après Erard, Peyel [sic], solidité, sonorité. Garantie exceptionnelle de 25 années. Pianos neufs, location depuis 8 fr. par mois. Bonnes occasions, boul. St-Germain, 70." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1907, p. 2493 (gallica.bnf.fr)     STIEHR Joseph H.   1892 TÊTES DE FACTURES Vesoul Gerardmer MAISIN PRINCIPALE : 6, rue Carnot (*1897)(*1898)(*1903)(*1905)(*1906)(x1906)(*1907)(*1909)(x1912)(*1913)(**1921) 12, rue Georges-Genoux (*1929)(1933) SUCCURSALE : Gerardmer (*1913)   'Facteur de pianos' droits ca. 1897-1933 STIERH Joseph (x1906), 'Pianobauer, -Händler u. -Stimmer' 'Piano- u. Harmonium-Händler' (x1912) STIERH J. & Fils (**1921)(*1922) STIERH Marcel (*1929)     BERTON Joseph 1893   PARIS - "14. Berton frères, à Paris, rue d’Amsterdam, 74. — Piano droit." Catalogue général officiel. Tome troisième, Groupe III : instruments et procédés généraux des lettres, des sciences et des arts : classes 11 à 18, 1900, p. 515 (archive.org) "PIANOS G. BERTON - élève de Hertz [sic] et Caveau [sic] - 74, vue d'Amsterdam, PARIS - Vente, location, Occasion. — Facilitsé [sic] de paiements." Le Pays : journal des volontés de la France, 22/05/1896, p. 3 (gallica.bnf.fr) Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1905, p. 336 (gallica.bnf.fr) Paris Pontoise Magasin et dépôt : 74, rue d' Amsterdam (xxx1896)(**1898)(***1900)(z1900)(*1902)(z1902)(*1903)(**1904)(*1905)(x1906)(arr.9) Dépôt & fabrique à Pointoise : 21, rue Gambetta (*1903)(*1905)(x1906)   'Manufacture de pianos' ca. 1896-1905 [depuis 1892 (x1906)] BERTON G. (xxx1896)(**1898), 'élève de Herz et Gaveau' 1898 - "Paris. —Formation. —Société en nom collectif BERTON frères, manufacture de pianos, 74, Amsterdam. — Durée illimitée. — 93,000 fr. — 30 juin 98. —P. A." Archives commerciales de la France, 27/07/1898, p. 930 (gallica.bnf.fr) BERTON Frères en 1898, successeurs (***1900)(z1900)(z1902)(*1903)(**1904)(x1906) 1900 - "Pontoise. — Formation. — Société en nom collectif BERTON frères, pianos, 21, Gambetta. — Durée illimitée. — 16 juil. 1900." Archives commerciales de la France, 11/08/1900, p. 1013 (gallica.bnf.fr) Propriétaires : Gaston, Lucien & Léon BERTON (x1906) 'Piano-Fabrik' (x1906) Mention honorable Paris, 1900 FAUGER Henri 1893   ANGOULÊME - "ANGOULÊME - EXPOSITION - LES RÉCOMPENSES - DE L'INDUSTRIE ET DES ARTS DÉCORATIFS [...] médailles d'argent : [...] Fauger, facteur de pianos à Cognac." La Charente, 14/07/1893, p. 2 (gallica.bnf.fr) Cognac Paris   58, rue Saint-Martin (***1893)(*1895)(*1896) à Cognac 77-79, rue Turbigo (x1912)(*1913)(**1914)(*1922)(arr.3) à Paris   Facteur et/ou marchand de pianos droits et luthier ca. 1893-1922 [depuis 1898 (x1912) ou depuis 1893 (*1913)] 'Piano- u. Harmonium-Handlung' - 'Photo-Musical-Turgot' (x1912) "PIANOS « HENRI FAUGER» - Exposition nationale, Angoulême 1893, Médailles d'argent et bronze - REPRÉSENTANT DES PRINCIPAUX FACTEURS DE PARIS - Ateliers et Magasins, 58, rue Saint-Martin, COGNAC - Fournitures générales pour tout ce qui concerne la Musique, Pianos, Harmoniums, Instruments en tous genres, Librairie musicale, etc., etc., Vente, Echange, Location, Accords et Réparations. — Envoi franco des Catalogues. - Représentant à Angoulême, veuve FAYE, Musique et Pianos - 16, rue de Beaulieu." L'Écho : grand quotidien d'information du Centre Ouest, 31/10/1893, p. 4 (gallica.bnf.fr) - Voir FAYÉ Vve. à Angoulème   Médaille d'argent Angoulème, 1893 « GAVEAU Frères »                   Deux pianos exposées sur l'Expo de Liège en 1905       1893   Piano à queue de concert n° 44430 de 1908, Chris Maene Collection, Ruiselede, Belgique GAVEAU sur ce site EXPOSITIONS LA FAMILLE GAVEAU ARTICLES Cliquer sur les liens ci-dessus. "PIANOS GAVEAU Maison fondée en 1847, ayant obtenu les plus hautes récompense aux principales expositions — Membre du Jury, Hors concours DEPOT Á LILLE, 7 ter. rue de Roubaix — A. WASSENOVE, professeur, agent géneral. — Tous les modèles fabriqués par la Maison se trouvent en magasin. Pianos d'occasion ayant peu servi, complètement remis à neuf, hauteur 1m22. largeur 1m37, profondeur 0m60. Prix net : 700 fr. Un piano à queue pour concerts est mis gracieusement à la disposition des sociétés. Catalogue illustré franco sur demande." Journal de Roubaix, 24/12/1895, p. 4 (www.bn-r.fr) "Les amateurs sont invités à visiter les nouveaux modèles de pianos créées par la maison Gaveau, 27, rue Fossé-aux-Loups [Bruxelles]. Tout ce qu'il y a de mieux réussi dans le genre s'y trouve réuni et il y a pour les acheteurs intérêt véritable à se rendre compte des avantages offerts par la célèbre marque française." L'éventail théatral, artistique et mondain 1903-04, p. 35 NOTA BENE "Y a-t-il un Parisien qui ne connaisse la maison Gaveau, dans laquelle ont été réalisés, depuis plus de cinquante ans, les perfectionnements qui ont valu à ses pianos leur réputation universelle? Aussi apprenons-nous sans surprise que MM. Gaveau viennent d'acquérir pour s'y transporter dès le commencement du mois prochain, dans le cœur même de Paris, rue Blanche, n° 32 et 34, un hôtel dont l'aménagement, tout particulièrement approprié, surpassera de beaucoup, en confort et en élégance, ce que les plus luxueuses installations analogues ont pu nous offrir jusqu'ici. Bref, en abandonnant la rue Servan pour un quartier plus central, à portée de leur élégante et fidèle clientèle, MM. Gaveau ont voulu en même temps installer leurs magasins avec le luxe qui correspond à l'importance de l'Usine Modèle de Fontenay-sous-Bois." Le Figaro, 20/10/1898, p. 3 (gallica.bnf.fr) Chez VAN DER ELST (Successeur de VAN HOECK)(°1875) à Bruxelles, et   GUNTHER (°1845), dès 1953 SITE FAMILLE GAVEAU L'histoire de la famille GAVEAU LA SUITE La suite d'histoire GAVEAU  sur la date 1909 Paris Fontenay- sous-Bois Bruxelles, Belgique Usine & bureaux : 47-49, rue Servan (1885)(*1893)(*1896)(*1897)(**1898)(arr.11) [32-] 34, rue Blanche (z1900)(*1902)(z1902)(**1904)(*1905)(x1906)(arr.9) 8, boulevard Montmarte (**1898)(arr.9) Succursale - magasin : 230, boulevard St. Germain (**1898)(z1900)(z1902)(**1904)(x1906)(**1907)(arr.7) 45-47, rue Servan (*1909)(**1910)(**1911)(**1912)(**1914)(arr.11) 45-47, rue de la Boëtie (dès 1er Octobre 1906) (x1906)(**1907)(x1912)(**1921)(x1922)(arr.8) à Paris FABRIQUE : 68, rue Castel (**1911)(**1912)(x1912) 76-78, rue, Marcel et Jacques Gaucher (*1913) à Fontenay- sous-Bois SUCCURSALE : 27, rue Fossé-aux-Loups (*1903-04) à Bruxelles, Belgique 21.000 (vers 1890) 1500 unités par an (vers 1890) 2000 unités par an (vers  1896)   'Facteur de pianos' ca. 1893-1922 [depuis 1847] (Voir le début) Retraite de Joseph GAVEAU, le fondateur des pianos GAVEAU en 1893. En puis, ses fils qui sont au nombre de 6 : Edme, Augustin, Gabriel, Paul, Eugène et Etienne constituent la Société «GAVEAU Frères». Mais très rapidement, Edme (en 1897), Augustin (en 1902 ) et Paul (en 1897) se retirent de l'affaire. 1893 - "Paris. — Formation. — Société en nom collectif GAVEAU frères, facteurs de pianos 47 et 49, Servan, —18 ans. du 1 avril 93. — 1,000,000 de fr. — 10 mai 93. — D." Archives commerciales de la France. 10/06/1893, p. 698 (gallica.bnf.fr) 1894 - En 1894, Joseph Gabriel GAVEAU, le père, a été nommé Chevalier de la Légion d'Honneur (¹⁸) GAVEAU Frères (1894)(**1898)(z1900)(z1901)(z1902) 1895 - 7 novembre 1895 : "Paris. — Modification. — Société GAVEAU frères, pianos, 47 et 49, Servan. — La société devient en commandite à l'égard de M. Edme Gaveau. — 7 nov. 95.. — D." Archives commerciales de la France. 07/12/1895, p. 1522 (gallica.bnf.fr) 1896 - 19 juin 1896 : "Paris. — Modification.— Société GAVEAU frères, facteurs de pianos; 47 et 49, Servan. — Cession par M. Marie-Joseph Emmanuel Gaveau à ses co-associés de tous ses droits dans la société." Archives commerciales de la France. 24/06/1896, p. 790 (gallica.bnf.fr) - Probablement ce n'était pas Marie Joseph Emmanuel GAVEAU, mais Marie Joseph Augustin GAVEAU ou simplement Augustin GAVEAU. Parce qu'il n'y avait pas un fils avec ce nom. 1897 - 31 décembre 1897 : "Paris. — Modifications des statuts. — Société GAVEAU frères, facteurs de pianos, 47 et 49, Servan. — Cession par MM. Paul et Edme Gaveau à leurs co-associés de tous leurs droits dans la société. —31 déc. 96 et 19-janv. 97." Archives commerciales de la France. 03/02/1897, p. 134 (gallica.bnf.fr) "L'excellente maison de pianos Gaveau quitte les lointains quartiers de la rue Servan et vient s'installer 32 et 34, rue Blanche, dans un superbe hôtel dont elle a fait l'acquisition, et qui est aménagé avec un confort et une élégance remarquables. Il est question d'y joindre une salle de concert." Le Ménestrel, 30/10/1898, p. 352 (gallica.bnf.fr) 1898 - "A L'HOTEL GAVEAU - Rappelons que la maison Gaveau vient de transférer son siège social 32 et 34, rue Blanche. Ceux de nos lecteurs et il s'en trouve beaucoup appartenant aux relations et à la clientèle de la célèbre Maison qui désireraient voir les magasins et les pianos qui y sont exposés, peuvent se rendre à l'Hôtel Gaveau; ils y recevront l'accueil le plus aimable et le plus empresse." Le Figaro, 27/11/1898, p. 3 (gallica.bnf.fr) 1905 - 8 novembre 1905 : "Paris.— Formation. — Société anonyme dite Société IMMOBILIÈRE GAVEAU, 32 et 34, Blanche. - 35 ans. — 1,500,000 fr. — 8 nov. 1905." Archives commerciales de la France. 15/11/1905, p. 1435 (gallica.bnf.fr) 1905 - 22 novembre 1905 : "Paris.—Modifications et Prorogation de 26 ans jusqu'au 4 avril 1937 — Société GAVEAU frères pianos, 47,et 49, Servan. — Transfert du siège, 32 et 34, Blanche.—8 nov. 4903. — D." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire..., 22/11/1905, p. 1467 (gallica.bnf.fr) GAVEAU J. G. (x1906), propriétaires : Gabriel, Eugène et Etienne GAVEAU (x1906) 1908 - 13/03/1908: Incendie (lisez l'article plus bas). 22 avril 1908 - "Paris. — modifications aux statuts Soc. GAVEAU frères, facteurs de pianos, 32, 34, Blanche. — Transfert du siège 45, 47, La Boétie." Archives commerciales de la France. 22/04/1908, p. 518 (gallica.bnf.fr) - ca. veut dire qu'Eugène GAVEAU n'était plus un associé, après l'incendie. La suite d'histoire GAVEAU sur la date 1909 1908 - "L'incendie de fontenay-sous-bois - 2,000 pianos brûlés Un immense incendie, dont les flammes ont éclairé pendant deux heures toute la banlieue est de Paris, a éclaté hier soir, à neuf heures, rue Castel et rue Pasteur, à Fontenay-sous-Eois, dans l'usine de pianos de MM. Gaveau frères, qui occupe une étendue d'un hectare. A huit heures vingt, les gardiens de nuit avaient fait leur ronde habituelle, le départ des ouvriers, et ils n'avaient rien j'ai remarqué d'anormal, quand tout à coup le feu a éclaté dans le magasin central, où l'on fabrique boiserie des instruments. Le concierge donna aussitôt l'alarme, mais avant l'arrivée des pompiprs, les trois étages de l'immeuble étaient en feu. [...] Grâce ù la présence d'esprit et au courage des pompiers de Fontenay et de Vincennes, accourus les premiers sur le théâtre de l'incendie, une véritable catastrophe fut évitée. Ils retirèrent temps des caves une quantité considérable de vernis et d'esèencès qui eussent fait explosion. Ce n'est qu'à une heure du matin qu'on a été maitre du feu. Un seul bâtiment de l'usine Gaveau a pu être préservé. Les magasins et les 2,000 pianos qu'ils contenaient sont détruits. La comptabilité a pu être sauvée. Cette usine, qui avait été construite il y a trois ans, avait été surélevée l'année dernière. Elle occupait 350 ouvriers, qui vont se trouver momentanément sans travail. On n'a eu u déplorer aucun accident de personnes. Seul, un pompier de Fontenay a été légèrement blessé aux mains. Les dégâts matériels couverts par plusieurs assurances, s'élèvent à près de deux millions. L'enquête ouverte par le commissaire de police de Vincennes n'a.pas encore établi coinment le feu avait pris. Une maison occupée par de nombreux ouvriers et située 70, rue Castel, avait, au début de l'incendie, été menacée par le feu, et tous les locataires avaient dû l'évacuer, mais, grâce aux efforts des pompiers elle a pu être épargnée." Le Figaro, 13/03/1908, p. 5 (gallica.bnf.fr)   Médaille de bronze Paris, 1855 |  Médaille d'argent, présente un piano droit dont une partie de bois de la caisse est remplacée par des glaces sans tain pour permettre d'étudier les détails intérieurs d'un mécanisme particulier), 1867 | Liste des exposants, Lyon, 1872 | Médaille d'or pour un système de barrage équilibré dans les pianos droits, Paris, 1878 | Liste des exposants Paris, 1882 | Diplôme d'honneur Amsterdam, 1883 | Diplôme d'honneur Anvers, 1885 | Médaille d'or Paris, 1889 | Hors Concours Lyon, 1893 | Liste des exposants Chicago, 1893 | Liste des exposants Anvers, 1894 | Hors  concours Amsterdam, 1895 | Hors concours Paris, 1900 | Liste des exposants Hanoi, 1902 |  Exposition internationale des Arts Décoratifs et Industriels Modernes : Grand Prix, 1925 SCHMITT | SCHMIT Pub de 1913 Pub de 1921 1893   Paris 3-5, Cité des Bleuets (x1906)(*1907)(**1907)(*1909)(*1910)(**1911)(arr.11) 7, rue des Pruniers (x1912)(arr.20) 12, rue des Pruniers (**1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(**1921)(x1922)(**1925)(z1931)(*1935)(*1938)(arr.20) Avenue Gambetta (**1921)   'Manufacture de pianos' droits ca. 1906-38 SCHMITT François (x1912), 'Piano-Fabrik' & 'Piano-Handlung' SCHMITT P. (*1913) SCHMITT Père & Fils (**1921) SCHMITT & Fils (**1925)(*1935)(*1938) 1935 - "SCHMITT et fils, 12, r. des Pruniers, Paris, 20° Manufacture de pianos. (17-37029)." Annuaire industriel. Répertoire général de la production française, 1935 (gallica.bnf.fr) Ce facteur a aussi fabriqué des pianos pour SCHILLIO (°1879) VOIR AUSSI ... Il y avait un autre, SCHMITT avant lequel.     LEROUX Frères 1894 "Facteur, accordeur de pianos. Lutherie. Musique. Vente, location. Atelier de réparations pour pianos, lutherie el autres instruments. Conditions spéciales pour les membres des Amicales et de l'Union Fraternelle." Annuaire de l'Union fraternelle du commerce et de l'industrie, 1915 (gallica.bnf.fr) EXTRA INFO Un siècle de facture de pianos à Nantes, par Jean-Marc STUSSI Nantes Saint-Nazaire   [7 ?],rue Cambronne (*1896) 5, rue Bréa (*1897) Place Royale (*1898) 23, rue Racine (près de l’Apollo) (*1913) 6, rue Copernic (*1913)(*1915)(**1921)(*1929)  10, rue Cassini (*1913)(*1915)(**1921)(*1929) 11 [ou 14], Place Royale (*1905)(x1906) 3, rue du Calvaire (*1907)(*1909)(x1912) à Nantes 19, rue de l’Amiral Courbet dès (*1896)(*1897)(*1898) 28, rue de l’Amiral Courbet (*1905)(*1907)(*1909) à Saint-Nazaire     Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1896-1912 LEROUX Frères (1894)(Archives commerciales de la France. 18/08/1894, p. 1038 (gallica.bnf.fr)) 'Musikal.-, Piano- u. Musikinstr.-Händler' (x1906) LEROUX Ferdinand 'Facteur et accordeur de pianos' (1905)(x1906)(x1912)(**1921) 'Händler mit Musikal., Pianos, Harmoniums, Musikinstr. u. Phonographen' (x1912) Et Repris par le fils Jacques LEROUX,– Facteur de Pianos - Elève de Gabriel GAVEAU (°1911) – Ex-Accordeur à la Maison ERARD. "Les Frères LEROUX - Natifs de Nantes Fernand Jacques LEROUX (6.6.1862) et son frère (sans doute Auguste Henri Marie LEROUX né le 17.6.1859, comptable) s’installent comme réparateurs de pianos en 1894 à la rue Bréa sous la raison sociale « LEROUX Frères, Facteurs de pianos » (Archives commerciales de France 18/8/1894). Ils produiront des pianos sous le nom « LEROUX Nantes » ou « Fernand LEROUX ». En 1915, Fernand LEROUX se qualifie comme « Facteur, accordeur, lutherie, musique, vente, location. Atelier de réparation pour pianos, lutherie et autres instruments. Conditions spéciales pour les membres des Amicales de l’Union fraternelle ». Dès 1897, les LEROUX sont aussi marchands de musique et de pianos à Saint-Nazaire, 19 rue de l’Amiral Courbet, ville dans laquelle Didion dispose également d’un représentant chez Danays, rue Thiers. La maison a été continuée par le fils de Fernand LEROUX, Jacques LEROUX (4.2.1896 – 16.4.1964 Nantes) « Jacques LEROUX Successeur, facteur de pianos, élève de Gabriel GAVEAU, ex-accordeur de la maison Erard », au moins jusqu’en 1929 (site L. Verbeeck)." J. M. Stussi, communication personnelle.     L'UNION 1894     Paris 6-[8], rue Marc-Seguin (**1911)(*1913)(**1913)(**1921)(x1922)(arr.18)   Fabrique de mécaniques et claviers pour pianos fabriqué par HERRBURGER. Fabriquait probablement aussi des pianos !     BOVARD L. & GRIMA J. 1895 Constantine (maintenant Algérie) 1, rue Casanova (*1913) 3, rue Morès (**1921)   Facteur et/ou marchand de pianos droits EXCELSIOR (?) GRIMA (**1921), successeur de BOVARD & GRIMA BOVARD-GRIMA à Constantine (*1929) "Consessionaire pour l'Algerie et la Tunisie à Constantine" sur l'inscription. Leurs pianos Excelsior sont fabriqués par LEGUERINAIS (°1856)   Médaille d'or, Paris, 1900 VANLERBERGHE A. | VANDERBERGHE 1895 Cambrai 43, rue des Carmes [Cannes] (x1906)(x1912)(*1913) 11, boulevard Faifherbe (**1921)(*1929)   Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1906-29 VANLERBERGHE L. (x1906), 'Piano- u. Musikinstr.-Handlung' VANLERBERGHE A. (*1907) VANLERBERGHE Richard (*1913) VANLERBERGHE L[éopold] (x1912)(**1921)(*1929) 'Piano-, Harmonium- u. Musikinstr.-Handlung' (x1912)   LACOSTE Marcel 1896 Paris   72, rue Rochechouart (arr.9)(*1909)(*1910)(*1913)(**1921)   Facteur et/ou marchand de pianos ca. 1909-21 'Facteur' (*1909)   LEFÈVRE Henri 1896 Saint-Quentin   MAGASIN : 5 - 7, rue des Frères Desains (?) Atelier : 6, rue Dissenghien (?)   Facteur et/ou marchand de pianos droits ca. 1896-??   TRANCHANT F. 1896     Pomponne | Lagny (Seine et Marne) 6bis, rue de Marne (*1904) 23, rue du Chemin de Fer (*1913) 'Facteur de pianos' droits et/ou marchand de harmoniums ca. 1904-13; (*1904)(x1906) 'Piano-Handlung' (x1906) 'Händler mit Pianos u. Harmoniums' (x1912) Un autre avec le même nom : TRANCHANT à Paris.   BENARD-CHAMP & Cie | BÉNARD CHAMP & Cie 1897   "BÉNARD, CHAMP ET CIE, MAISON FONDÉE EN 1849, MANUFACTURE DE 1er ORDRE, médailles d'or et d'argent à toutes les expositions universelles et nationales de Paris, Londres, Nice, Bordeaux, etc., fabrique, rue des Poissonniers, 54." Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration, 1898, p. 2147 (gallica.bnf.fr) SOCIÉTÉ DES FACTEURS DE PIANOS Une société des facteurs différents : BOUVIER, CARRÈRE, CASTELAIN, CHAMP-RAMEAU & CIE (°1905), CORNIBÉ, DÉTIR, GERVEX (°1848), HANEL BENARD & Cie (°1885), LECLERC, LISSARRAGUE de Versailles, LOUBENS, LOWELS, PETERSDORFF, REITTER, RIDOUX, SCHLACHTER, YOT-SCHRECK (°1849), ZINKERNAGEL, ... RÉVENDEURS Ce facteur a aussi producé des pianos pour autres marques : BEUSCHER (Paris)(°1850) | BRUDERMANN (Paris)(°1900) | CHENAUD (Evreux)(°1896) | CROISSANDEAU (°1880) | DESFORGES (Le Havre)(°?) | GERVAIS (Paris)(°?) | JAVELIER (°1879) | KÖCHLY (Bourges)(°1818)   Paris 2-4, Impasse Oran (z1900)(z1902)(arr.18) 54, rue des Poissonniers (*1897)(**1898)(1899)(z1900)(z1902)(*1903)(*1905)(arr.18)   'Facteur de pianos' droits vers 1897-1905 Membre et successeur de SOCIÉTÉ DE FACTEURS DE PIANOS DE PARIS (°1849) et Manuel du Spéculateur à la bourse, 1855, p. 363-364 Successeur de HANEL, BENARD & Cie (°1885) sur cette page ci-dessus, dès 1897. 1897 - "Paris. — Modification. — Société HANEL, BÉNARD et Cie, Société des facteurs de pianos de Paris, 54, Poissonniers. — Nomination de M. Champ en remplacement de M. Hanel démissionnaire, comme membre de la société dont la raison devient BÉNARD, CHAMP et Cie. : — Délib. du 2 mai 97. — A. P." Archives commerciales de la France. 22/05/1897, p. 630 (gallica.bnf.fr) 1898 - "Paris. — Modifications dés- statuts. —, Société BÉNARD, CHAMP et Cie, Société dès facteurs, de pianos de Paris, 54, Poissonniers. : — Délib. du 2 avril 98. — A. P." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 09/04/1898, p. 435 (gallica.bnf.fr) 1899 - "Paris. — Modification. — Société BÉNARD-CHAMP et Cie, Société des facteurs de pianos de Paris, 54, Poissonniers. — Nomination de M. Champ comme gérant en remplacement de M. Bénard. —Délib. du 19 janv. 99. — P. A." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 08/02/1899, p. 166 (gallica.bnf.fr) 1901 - Modification de société BENARD CHAMP & Cie en 16 avril 1901, Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 28/12/1901, p. 91 (gallica.bnf.fr) Repris par CHAMP-RAMEAU dès 1904     GAVEAU Edme, fils 1897   VOIR AUSSI ...   Frères GAVEAU (°1893), les frères GAVEAU associés, ci-dessus sur cette page Etienne GAVEAU qui a repris la grande fabrique «GAVEAU» (°1909) Autre frère est Gabriel GAVEAU (°1911), la signature puis pour l'année 1911. Aussi Eugène partait la firme en 1908, avec l'incendie. Mais son adresse était dans la même coté de la fabrique de GAVEAU, à Fontenay sous Bois.  Voir l'histoire de la famille GAVEAU LA SUITE La suite d'histoire GAVEAU  sur la date 1911   Paris 4, avenue de Fontenay (**1897)(arr.12) 171, rue Saint-Honoré (z1900)(z1901)(z1902)(arr.1)   'Fabricant de pianos' ca. 1897-1913 19 janvier 1897 - "Paris. — Modifications des statuts. — Société GAVEAU frères, facteurs de pianos, 47 et 49, Servan. — Cession par MM. Paul et Edme Gaveau à leurs co-associés de tous leurs droits dans la société. — 31 déc. 96 et 19-janv. 97." Archives commerciales de la France : journal hebdomadaire, 03/02/1897, p. 134 (gallica.bnf.fr) Edme GAVEAU, - fils du connu Joseph GAVEAU (°1847) -, est un des frères GAVEAU ou le frère d'Etienne GAVEAU qui a repris la maison en 1909. GAVEAU Fils (z1900)(z1901)(z1902) 1911 - Edme GAVEAU fonde son propre atelier en 1897. Mais dès 1911, il s'associe à son frère Augustin. «GAVEAU AÎNÉS» dès 1911, pour voir la suite Mais Edme meurt déjà en 1913. Puis son frère Augustin GAVEAU (°1911), a ensuite continué à travailler sous son propre nom.     JORIO Désiré     Le Museobar Modane 1898   Piano mécanique, Musée de la Musique Mécanique, Les Gets, France VOIR AUSSI ... un JORIO à Giuliano di Roma, Italie INFO EXTRA Musée à Modane   Modane (Savoie) Gare 5 ouvriers et 52 pianos par semestre   Facteur de pianos à manivelle ca. 1906-12 'Fabrik von Dreh-Pianos' (x1906)(x1912) "Il ait commencé par vendre des sanwiches sur le quai de la gare, aux convoix d'émigrés en partance  via le port du Havre, pour l'Amérique. Très vite, il apparaît ensuite comme 'répresentant de commerce', puis crée dans les années 1885 une affaire de vente et location de pianos à manivelle'. Il importait alors des pianos d'Italie pour les revendre en France. En 1898, installée dans le quartier de la gare, la fabrique de pianos à manivelle Jorio à Modane', qui emploie cinq ouvriers bénéficiant d'un salaire  3 franc 80, produit 52 pianos par semestre. Les pièces constitutives de ces pianos, importées, faisant l'objet de taxes élevées. Désiré Jorio envisagea d'installer à Modane un atelier de fabrication." Savoie‎, Alain Boucharlat, 1997 Il transfère progressivement son activité à Chambéry pour créer la Manufacture de Pianos Automatiques de Buisson-Rond, qui connut son apogée vers 1925.   Diplôme de médaille de bronze Lyon, 1894   THERSEN & Cie Pub de 1919 Pub de 1921   1899   "[...] Ils ont provoqué un conflit dans la maison Thersen. Le 2 novembre, les ouvriers dits plaqueurs plaquaient le boulot pour une augmentation de salaires à la pièce. Refus de là direction d'augmenter les plaqueurs. Il existe une Organisation de syndicalistes nationaux qui combat les extrémistes de l'Internationale dans les grèves, quand celles-ci sont provoquées au profit de Moscou et de ses capitalistes internationaux. Le syndicaliste national examine les but de la grève et ses origines. Il donne raison aux grévistes s'il s'agit d'augmenter des salaires. vraiment insuffisants. Il les dissuade de continuer la grève si elle n'a qu'un but politique ou de chambardement au profit d'individus qui veulent être le gouvernement, avoir des pelisses, des chronomètres et des poules de luxe. C'est ainsi que les grévistes reçurent cette circufaire qui intéresse aussi les bourgeois au point de vue des salaires de certaines corporations : « Paris, le 5 novembre 1923. « Camarade facteur de piano, « Sous prétexte d'une augmentation de six francs par plaque, les ouvriers plaqueurs de la maison Thersen ont quitté le travail. C'est une manoeuvre concertée et sournoise de quelques extrémistes unitaires qui voudraient, pair une grève partielle limitée actuellement aux plaqueurs, arrêter la production dans sa manufacture. «Vous ne vous laisserez pas conduire par quelques agitateurs, dont la moindre prétention est de passer à l'action directe si les plaqueurs en grève n'obtiennent pas satisfaction. Ces camarades gagnent 5 francs par heure étant aux pièces, et, avec la meilleure volonté du monde, on ne conçoit pas que ce gain soit insuffisant pour vivre honorablement».  (la suite ) Ce fabricant a fabriqué des pianos pour les marques/revendeurs suivants :   BLANC (°?) à Paris | EQUILBEY & MAGNE (°?) à Cherbourg | KANDOWSKI (°1878)  à Paris | LAILLON (°?) à Paris | MAGNE (°?) à Cherbourg | TRIQUET Vincent (°?) à Paris Paris 18, rue Duhesme (1901)(*1903)(*1905)(*1906)(*1909)(*1910)(**1910)(**1911)(**1912)(x1912)(*1913)(**1913)(**1914)(yy1914)(*1919)(**1921)(*1922)(x1922)(**1925)(z1931)(1934)(arr.18) 5, Place de Ternes (1931)(arr.17)   plus de 23.000 pianos     'Manufacture de pianos' droits, pianos à queue et autopianos ca. 1901-1934 Successeur de LÉVÊQUE & THERSEN (°1880) 1901 - "Paris. — Modification. — Société LEVEQUE et THERSEN, fab. pianos, 18, Duhesme. — Par suite du décès de M. Lévêque la raison sociale devient THERSEN et Cie. — 11 oct. 1901. — L." Archives commerciales de la France. 16/10/1901, p. 1302 (gallica.bnf.fr) 'Piano-Fabrik' (x1912) Succ. en 1931 par ODOBEY Vve. : 1931 - "Vendeur : Thersen et Cie (Soc.) - Acquéreur : Odobey (Vve) - Domicile élu pour les oppositions : Soc. Fiduciaire de Contrôle, 51, rue Chausée d'Antin - Entrée en jouissance : de suite - Fonds vendu : Pianos, 5, pl. Ternes - ? août." Archives commerciales de la France, 05/08/1931, p. 3842 (gallica.bnf.fr) 1934 - Déclaration de faillite en 1934: (Archives commerciales de la France, 28/03/1934, p. 1604 (gallica.bnf.fr)) (la suite) Tu parles ! Combien de bourgeois se trouveraient riches eu travaillant huit heures à 5 francs de l'heure, ce qui fait 1.200 francs par mois! « Il y a une question d'agitation révolutionnaire derrière cette grève ! » ajoutait la circulaire, qui disait encore : « Le syndicat ne doit pas être un instrument révolutionnaire, s'il veut vivre et être utile. Le syndicat national des Facteurs de pianos et orgues se recommande par ses principes sensés et féconds. C'est à lui qu'ils doivent venir tous ceux qui aspirent à des améliorations légitimes et durables. Sa devise est : Ordre et progrès. « Camarade facteur, « Ne vous laissez pas débaucher par quelques esprits malfaisants qui veulent faire de vous des instruments passifs. S'ils tentent de vous débaucher répondez calmement mais fermement : « J'ai le droit de. travailler et personne ne m en empêchera; ma famille, mon travail, passent avant vos faux principes et vos perfides manoeuvres. » « Camarade, au travail... où t'appellent ta dignité et le respect des contrats. « Le secrétaire : « L. COQUEREL ». L'appel a été entendu et la grève a avorté. Mais pourquoi, direz-vous, un gréviculteur s'en va-t-il soulever des ouvriers qui gagnent 5 francs par heure et qui sont des magnats ? La grève ne peut être qu'impopulaire dans le publie et les ouvriers craignent de perdre trop gros en faisant la grève. Parce qu'une grève ne peut se faire qu'avec des réserves, pour nourrir le gréviste qui ne travaille plus. Où sont les plus grosses réserves ? Chez les syndicats donties membres gagnent le plus ! Une grève n'est pas ou n'est plus un soulèvement de la misère. C'est une affaire financière, comme les révolutions elles-mêmes qui ne sont que des coups de bourse. Aux plus gros les plus belles affaires ! Voilà pourquoi le gréviculteur communiste a sondé du côté des ouvriers en pianos. Il parait que les poires ne sont pas mûres. UN BOURGEOIS qui va fourrer son fils ouvrier en pianos. Et au trot !" Le Javelot. Illustré par Sirat, 1923, p. 4 (gallica.bnf.fr)   Sources :     (x1862): 'Annuaire administratif, statistique, historique, judiciaire ...', Volumes 40-41, 1862, p. 316 (**1864): 'Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration', 1864, p. 1050-1051 (gallica.bnf.fr) (xx1868): 'Exposition maritime internationale, Le Havre, Seine-Maritime', 1868, p. 308 (gallica.bnf.fr) (**1870): 'Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration', 1870, p. 1231-1233 (gallica.bnf.fr) (*1871): 'Annuaire des Alpes-Maritimes', 1871 (gallica.bnf.fr) (*1871-73): 'Annuaire administratif, statistique, historique', 1871-73, p. 320 (babel.hathitrust.org) (**1873): 'Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration', 1873, p. 1240-1241 (gallica.bnf.fr) (x1873): 'Almanach des 40,000 adresses des fabricants de Paris et du département : contenant les noms et domiciles des principaux fabricants', 1873, Paris p. 206, Reims p. 587, Marseille p. 419 (gallica.bnf.fr) (*1875): 'Annuaire musical et orphéonique de France', 1875, p. 66-68, Bordeaux p. 174, Grenoble p. 189, Nancy p. 215, St. Etienne p. 195 (archive.org) (y1875): 'L'Espérance : courrier de Nancy', 26/04/1875, p. 3 (kiosque.limedia.fr) (*1876): 'Annuaire Musical et Orphéonique de France', 1876, Angoulème & La Rochelle & Rochefort & Saintes p. 138-139, Besançon p. 148, Bordeaux p. 166, Caen & Bayeux p. 135, Carcassonne p. 126, Grenoble p. 178, Marseille p. 129-130, Montpellier & Béziers p. 171, Nancy p. 201, Nantes p. 185, Orléans p. 189, Périgueux p. 146, Reims p. 197, Saint-Etienne p. 183, Toulouse p. 160, Tours p. 175 (archive.org) (**1876): 'Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration', 1876, p. 1345-1347 (gallica.bnf.fr) (y1876): 'L'Espérance : courrier de Nancy, 13/10/1876, p. 4 (kiosque.limedia.fr) (**1877): 'Annuaire-almanach du commerce, de l'industrie, de la magistrature et 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