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CLUESMAN Jean Baptiste
à Paris (°1823)


1827 - 1839

1827

PARIS - "M. Cluesman, rue des Fossés-Montmartre, n°5, a adapté à l'instrument qui nous occupe, une modification, en apparence légère, qui produit un excellent effet.

Les châssis d'étouffoirs y sont complètement supprimés, et les chevilles y sont autrement disposées que dans les pianos ordinaires, de manière que les cordes, frappées moins obliquement, produisent des sons plus purs et plus étendus." Histoire de l'Exposition des produits de l'industrie française en 1827, Adolphe-Jérôme Blanqui, M. Blanqui, Blanqui (Adolphe-Jérôme), A la Librairie du commerce, chez Renard, 1827

PARIS - "M. Cluesmann, à Paris, rue de la Grande-Truanderie, n.° 48. Pour piano présentant un mécanisme particulier." Rapport sur les produits de l'industrie française, 1828, p. 391-392

1834

PARIS - "MM. koska, Pfeffel et Cluesmann sont du nombre de ceux qui méritent une mention particulière." La Quotidienne, 27/06/1834, p. 3 (retronews.fr)

PARIS - "M. CLUESMAN, à Paris, rue Favart, n° 4. - Deux pianos, l'un à queue, l'autre vertical : ils peuvent s'accorder par des vis agissant sur un bras de levier auquel la corde est attachée.

Cette disposition paraît peu favorable à la pureté, à l'intensité des sons; mais elle ouvre la voie pour accorder les pianos aussi facilement que les harpes, et c'est un résultat éminemment désirable.

Le jury renouvelle la mention honorable accordée en 1827 à M. Cluesman" Expo 1834, Rapport du jury central sur les produits de l'industrie française exposés en 1834, Charles Dupin, p. 291

PARIS - "1468 (321). M. Cluesman, à Paris, rue Favart, 4, obtint une mention honorable en 1827; la même distinction lui a été accordée en 1834.

Son exhibition consistait en deux pianos, l'un à queue, l'autre vertical, qui s’accordaient tous deux par des vis de pression agissant sur un bras du levier auquel s’attache la corde. C’est une invention dont M. Cluesman est auteur, et qui a été brevetée à son profit." Le musée artistique et industriel: exposition 1834, p. 190

PARIS - "LES PIANOS DE CLUESMAN. -  M. Cluesman est un facteur de pianos, demeurant rue de Favart, n° 4. Il n'a reçu ni médaille d'or ni médaille d'argent, et pourtant il s'est présenté à l'exposition avec une idée nouvelle. C'est que le jury l'a oublié : ce qui ést quelquefois une recommandation.

Il appartient à La Presse de réparer les fautes de l'aréopage industriel, et de signaler à l'attention du monde musical une invention utile et féconde en résultats.

On sait les perfectionnemens sans nombre qui se sont succédé depuis quinze ans dans la fabrication des pianos; et malgré cela, ils laissaient toujours quelque chose à désirer : c'était de pouvoir les accorder soi-même sans le secours d'un accordeur.

M. Cluesman a résolu ce problème par un procédé aussi simple qu' ingénieux. Son mécanisme consiste en vis de pression qui tendent et détendent les cordes et remplacent les anciennes chevilles. Une même clé s'adapte à chacune de ces vis de pression, et on la fait agir avec la plus grande facilité.

Par ce moyen, les cordes ne peuvent plus casser, n'étant plus, comme autrefois, roulées et déroulées sur les chevilles.

Avec l'ancien procédé, pour alonger la corde de 6 lignes, par exemple, il fallait tourner la cheville une seule fois; il faudra tourner trente fois la vis de pression, avec le mécanisme actuel, pour arriver au même résultat.

L'avantage de la vis de pression est de ne point céder à l'effort de la corde, et d'empêcher celle-ci de se relâcher, inconvénient inséparable du système de chevilles, employé jusqu'ici pour tous les pianos.

Or, la corde ne pouvant plus se relâcher, conservera parfaitement l'accord. Le procédé de M. Cluesman s'adapte avec un égal succès à toutes les formes de pianos.

C'est un véritable progrès dans l'art de la fabrication. Déjà ce précieux mécanisme a obtenu les suffrages d'une foule de notabilités musicales, et nous ne doutons pas qu'il ne soit bientôt généralement adopté." Le Ménestrel : journal de musique, 24/08/1834, p. 40

PARIS -"M. Cluesmann a exposé une nouvelle invention, qui ne pourrait manquer de succès , si elle présentait réellement l'immense avantage qu'en proclame l'inventeur. Malheureusement, elle n'est pas a l'abri d'objections difficiles a détruire.

Le piano, dit M. Cluesmann, laissait jusqu'ici quelque chose a désirer; c'était de pouvoir l'accorder soimême sans le secours d'un accordeur.

Regardant le maniement de la cheville pour tendre les cordes, comme principal obstacle à la facilité de l'accord, M. Cluesmann croit y avoir remédié par un procédé aussi simple au ingénieux, en substituant à ces chevilles des vis de pression qui, très-faciles à tourner avec une clef pareille a celle d'une montre, permettent de tendre ou de détendre les cordes d'une manière presque imperceptible.

Au moyen de ces vis de pression, tout le monde pourra, selon lui, dorénavant accorder soi-même son piano; pour cela, il ne faudra au avoir l'oreille juste.

C'est comme si l'on disait : pour cela il ne faut que... savoir accorder.

L'accord du piano présente des difficultés; mais elles consistent moins dans l'adresse a manier la cheville (adresse toute mécanique, qui s'acquiert bientôt avec un peu d'habitude), que dans l'opération qu'on appelle partition et tempérament.

Il faut pour cela nonseulement une oreille juste, mais une oreille bien exercée à cette sorte de travail.

L'avantage des vis dépression se réduit donc a n'être qu'un moyen plus commode pour la partie purement mécanique de l'accord; et cet avantage sera encore limité aux cas où il s'agit de petites nuances de hausse ou de baisse.

Car, comme il faut tourner trente fois la vis de pression pour obtenir le résultat d'un seul tour de cheville; on conçoit que l'usage des vis deviendra au contraire incommode toutes les fois qu'il s'agira de tendre ou de détendre les cordes considérablement. Pour monter une corde nouvelle, il faudrait des tours innombrables de la vis dépression.

Aussi M. Cluesmann a-t-il reconnu la nécessité de conserver les chevilles pour cet effet.

Dans ses nouveaux pianos, la corde s'attache au mécanisme destiné à être mû par la vis de pression; puis elle est roulée , comme d'ordinaire, sur une cheville, qui sert à la fixer. Ce n'est qu'alors, après avoir été accordée préalablement au moyen de cette cheville, qu'on emploie la vis de pression pour rectifier l'accord, ou pour le saisir au degré le plus parfait.

Remplacer les chevilles d'un côté pour les replacer de l'autre, et puis venir nous vanter l'avantage de ce changement qui consiste à empêcher les cordes de se relâcher, inconvénient inséparable du système de chevilles employé jusqu'ici : c'est, il faut en convenir, une singulière contradiction.

Nous craignons que le système de M. Cluesmann ne soit pas si favorable au maintien de l'accord qu'il voudrait le faire croire.

Car, dans les pianos ordinaires, les cordes sont invariablement fixées d'un côté, tandis que dans les siens, elles peuvent se relâcher des deux côtés.

M. Cluesmann a pris un brevet d'invention. Nous croyons qu'il aurait pu se dispenser d'en faire les frais, car nous doutons fort que ses confrères se fussent emparés de son invention.

Il en sera comme de tant d'autres qui ont été abandonnées par les inventeurs eux-mêmes avant l'expiration du brevet." Gazette musicale de Paris, Volume 1, 1834, p. 247-248

PARIS - "Pianos que l'on peut accorder soi-même, inventés par M. Cluesmann. Nous avons, à propos de l'exposition où ils ont été admis, donné quelques détails sur cette belle invention, qui ne tend à rien moins qu'à opérer une révolution complète dans la fabrication des Pianos; mais nous croyons devoir encore y revenir, afin d'engager les artistes et les exécutans à s'enquérir des résultats de cette innovation si importante.

La difficulté d'accorder des Pianos à chevilles tient à ce qu'il est presque impossible à une personne qui n'en fait point son métier de tourner la grosse clé avec laquelle on obtient l'accord. Il y a beaucoup d'exécutans qui ont l'oreille plus juste qu'un accordeur, et cependant ils ne peuvent parvenir à fixer exactement le ton.

L'invention de M. Cluesmann obvie à tous ces inconvéniens, quoique les vis de pression qui remplacent les chevilles tournent avec la plus grande facilité, et ce à l'aide d'une très-petite clé. Chacun peut ainsi accorder son instrument, et saisir l'accord au degré le plus parfait, sans efforts, sans courir le risque de casser les cordes, et sans avoir recours à un tiers.

Le mécanisme de M. Cluesmann s'adapte indifféremment aux Pianos à queue, carrés et droits. Les pianistes les plus diqtingués, MM. Zimmermann, Pradher, Chaulieu, Panseron, Rifaut, Plantade, Listz [sic], Paër, Mayer, Sor, etc., etc., sont allés examiner cette ingénieuse invention, et l'ont proclamée, par écrit, l'une des découvertes les plus importantes dont la fabrication des Pianos ait été l'objet. Le prix des Pianos à vis de pression n'est pas plus élevé que celui des Pianos ordinaires de nos facteurs à la mode, sur lequels ils doivent obtenir désormais la préférence. Les magasin de M. Cluesmann sont rue Favart, n° 4 (Extrait du Massager des Chambres du 2 août.)" Gazette du Bas-Languedoc, 31/08/1834, p. 3 (Bibl-numm.nimes.fr)

1835

PARIS - "[...] M. Cluesmann, facteur de pianos, rue Favart, n° 4, a imaginé des vis dépression qu'il substitue aux pointes ordinaires des sommiers, et qui font agir une bascule sur laquelle la corde est fixée, ce qui donne la facilité de la tendre ou de la détendre d'une manière progressive si douce qu'il faut trente tours de clé pour opérer le même effet qu'avec un seul tour de la cheville ordinaire, le levier, joint à cette vis de pression, ne pouvant auçunement se déranger, il en résulte que l'instrument accordé reste dans cet état aussi longténts que possible.

Ce procédé, pour lequel l'auteur est breveté, et qui a déjà été l'objet de rapports très favorables de la part des sociétés gavantes, donne les moyens d'accorder parfaitement les pianos sans plus d'efforts qu'il n'en faut pqur monter une montre ordinaire.

Il a en outre l'avantage de conserver les cordes, de diminuer les frais d'entretien; et donne à chacun, même aux enfans, la facilité d'accorder soi-même son instrument.

On voit que les pianos fabriqués par M. Cluesmann put un grand avantage sur-ceux-de ses confrères, c'est-à-dire, qu'ils-peuvent se passer d'un accordeur ad hoc. Il en résulte économie de tems et d'argent, car il arrive.souvent que l'accordeur, que l'on paie fort cher, se fait attendre, surtout à la campagne, et l'on est ainsi privé du plaisir de toucher son instrument.

Toutes ces considérations jointes à l'excellente-qualité des pianos de M. Cluesmann, doivent déterminer le sucées dé ce nouveau procédé, qui a mérité récemment àson inventeur une médaille d'argent, de la part de l'Académie de l'industrie. Une qualité de son assez bonne, et, nous croyons, une très-grande solidité, sont leurs qualités distinctives." L'Indépendant, 16/07/1835, p. 3 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "Or, il advint que l'autre jour, un de nos plus zélés fabricans de pianos, demeurant rue Favart, M. Cluesman, qui accapare depuis quelques années toutes les médailles en disponibilité il arriva, dis-je que cet homme, au génie inventif, imagina une machine destinée également à donner de l'aplomb aux doigts et de largueur au poignet; et puisque M. Herz a fouillé dans le Lexicon grec.

M. Cluesman aurait pu exploiter le Dictionnaire latin. Mais non: M. Cluesman, qui est un brave et honnête Allemand, s'en est tenu à la langue française. Il a donné à sa mécanique le prosaïque et modeste surnom de moteur des doigts. Là-dessus grande rumeur dans les ateliers du faubourg Poissonnière!

Le Dactylion n'en dormit pas pendant quatre jours; le cinquième il courut chez un juge de paix, le sixième il fit apposer les scellés sur son impertinent Sosie de la rue Favart, et il se reposa le septième jour, comme s'il voulait contrefaire la création.

Nous nous garderons bien d'anticiper sur l'issue de ce singulier procès, dont la décision a été renvoyée à quinzaine.

Mais il faudrait la plume d'un Gresset ou du jovial curé de Meudon pour donner dignement les détails drolatiques de la première audience.

D'abord l'avocat de M. Cluesman a exhibé un de ces objets si précieux dans tout ménage où les chais méconnaissent leurs devoirs les plus sacrés. Oui, l'avocat a prouvé, clair comme le jour, que le Dactilion de M. Herz n'est autre qu'une souricière perfectionnée, destinée à attraper le monde musical.

Puis, prenant la défense du moteur des doigts, il a démontré l'incontestable supériorité du procédé de M. Cluesman tant pour la solidité de l'instrument que sous le rapport de ses résultats.

L'avocat de M. Herz s'est levé aussitôt pour réfuter les raisons de son adversaire, et telle a été la puissance de son argumentation, qu'un des ressorts du Dactylion s'est brisé entre ses mains : preuve évidente de l'admirable solidité de cette machine.

Vous pensez bien que l'hilarité a été complète et générale; le magistrat lui-même n'a pu s'empêcher de la partager; et voilà pourquoi le moieur de M. Cluesman et la souricière de M. Herz ont été renvoyés à quinzaine. -

(1) M. Cluesman, inventeur des pianos à vis de pression, a obtenu, en 1835, une médaille d'argent, et cette année une médaille en or et une autre en platine; la première lui a été décernée cette semaine par l'Académie de l'Industrie manufacturière et commerciale; la seconde; par la Société d'Encouragement." Le Ménestrel, 10/07/1836 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "Pianos Cluesmann. — L'Académie de l'industrie avait nommé une commission pour examiner les pianos à vis de pression de ce facteur, rue Favart, n° 4.

Cette commission ayant reconnu les nombreux avantages de ce nouveau procédé, l'Académie a dans sa séance du 21 mai, décerné une médaille d'honneur à M. Cluesmann." La France industrielle: encyclopédie des arts, du commerce, de l'agriculture, 1836, p. 95

1836

PARIS - "25. - CLUESMAN, facteur de pianos, breveté, rue Favart, n° 4, à Paris, ayant obtenu une mention honorable à l'exposition de 1834, et une médaille d'argent à l'Académie de l'industrie en 1835.

Il a inventé des pianos à vis de pression, facilitant l'accord de l'instrument, amélioration fort importante, pouvant même être adaptée aux anciens pianos à queue.

Ces pianos à vis de pression se vendent, en raison de leur luxe, depuis 800 francs jusqu'à 2.000 fr.

Il expose en outre un piano à chevalet suspendu, dont a table d'harmonie est placée derrière le barrage au lien d'être près des cordes, ce qui lui donne beaucoup plus de son.

Il a de plus, dernièrement, inventé le moteur des doigts mobile, dont il expose des modèles, permettant d'exercer les doigts sur toute la longueur du clavier, et se vendant 30 fr., chez l'auteur." Exposition des produits des membres de l'Académie de l'industrie à l'Orangerie des Tuileries, en 1836, Joseph-Jacques Odolant-Desnos, 1836, p. 31

1839

PARIS - "M. Cluesman a aussi exposé cet année plusieurs pianos d'un système neuf. Nous avons examiné les instrumens de ce facteur avec soin. Nous avons trouvé une bonne qualité de son, un mécanisme facile, et une grande égalité de jeu.

Mais ce qui nous a le plus frappé dans les pianos de M. Cluesman, c'est leur construction intérieure. Le sommier, la table d'harmonie ainsi que les chevilles reposent sur un des barreaux de fer, artistement disposés pour former le fond du piano, de sorte que l'humidité et la trop grande chaleur restent sans effet, sur les instrumens de M. Cluesman.

Ce facteur habile n'a cessé de travailler à l'amélioration des pianos. Celle année encore on a pu juger delà supériorité de ses instrumens sur ceux des années précédentes.

Aussi l'Académie de l'Industrie s'est-elle empressée de récompenser de si louables succès, en faisant cette année le rappel de la médaille d'or qui lui a été décernée en 1836." Le Ménestrel, 11/08/1839, p. 4 (gallica.bnf.fr)

PARIS - "M. Cluesman, à Paris, rue Favart, 4. - Il expose un piano droit, un piano carré et un pianino; il occupe habituellement trente ouvriers et confectionne environ cent pianos par an. M. Cluesman avait obtenu une mention honorable aux précédentes expositions, le jury lui décerne une nouvelle récompense du même ordre." Rapport du Jury Central, Exposition, des produits de l'Industrie Française en 1839, M. Savart, rapporteur, 1839, p. 344

PARIS - "M. Cluesman s'est proposé pour but principal la solidité du corps de l'instrument et la facilité des moyens de l'accorder. A cet effet il a adopté depuis quelques années une carcasse en fonte de fer et de petits leviers munis de vis à pression.

La carcasse de fer a été employée, rejetée et reprise à diversesépoques par plusieurs facteurs. On lui a reconnu l'inconvénient d'alourdir l'instrument et de nuire au son. M. Cluesman ne partage pas cet avis. A chacun sa conviction.

Quant au système d'accordage imaginé par M. Cluesman, nous en avons parlé à l'occasion du concours de 1834, et notre opinion n'a pas changé à cet égard.

Nous dirons ici en peu de mots que ce système ne nous semble pas présenter les avantages que l'inventeurs efforce de démontrer. D'abord M. Cluesman, qui relire les chevilles ordinaires pour les remplacer par les vis à pression, est obligé de retirer les pointes pour les remplacer par les chevilles.

Ainsi les chevilles dont il signale les défauts restent toujours dans ses instruments, seulement elles se trouvent placées d'un autre côté.

Il ne peut s'en passer; car, comme il faut tourner trente fois la vis de pression pour obtenir le résultat d'un seul lourde cheville, les vis ne peuvent servir pour accorder les cordes nouvellement montées.

Cet accord préliminaire se fait à l'aide des chevilles, puis on emploie les vis pour saisir l'accord au degré le plus parfait.

Cette opération, il est vrai, se fait avec facilité, mais l'instrument gardera-t-il long-temps son accord ?

Dans les pianos à système ordinaire de chevilles, les cordes sont invariablement fixées d'un côté du côté des pointes : dans les pianos de M. Cluesman, au contraire, elles peuvent se relâcher des deux côtés, ce qui est un grave inconvénient.

Du reste, nous aimons à reconnaître le zèle que M. Cluesman apporte à la fabrication de ses instruments, qui sont généralement bien exécutés.

Ce facteur a reçu pour la quatrième fois une mention honorable, distinction qu'il a justement méritée par ses travaux." Revue et gazette musicale de Paris, Volume 6, 1839, p. 324

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pianos français 1800 - 1829


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